http://www.franceculture.fr/emission-la-grande-table-2eme-partie-y-a-t-il-une-tyrannie-du-bonheur-2013-12-23
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Errare France Culture est Page 32 sur 92
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Invité
311Y a-t-il une tyrannie de l'inculture ? - Mer 25 Déc 2013, 10:30
« ''Ces résistance ont peu les rattacher à d’autres valeurs concurrentes (...).'' »
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312« Nous, les journalistes de France Culture, on fait hyper attention à comment on parle » - Lun 30 Déc 2013, 20:02
ADADA
IMAMI
ANONA
IMAMI
ANONA
Dernière édition par Antoine Arnoux le Ven 12 Mai 2017, 14:42, édité 1 fois
Alain Machefert
313Re: Errare France Culture est - Lun 30 Déc 2013, 20:44
Comme l'a déja relevé Philaunet me concernant, la connaissanceAntoine Arnoux a écrit:« Pour rester factuelle [sic]
de langues étrangères, notamment l'anglais, va entrainer ce genre de "barbarisme", comme vous le dites. Personnellement, cela ne me gêne pas. Je ne suis pas un "puriste" en la matière. La connaissance d'une langue me permet de mieux communiquer. Le prix a payer, une petite perte de sa propre langue, n'est rien en comparaison de ce que cela m'apporte. Je suis certainement moins bon en grammaire et en orthographe, mais je suis meilleur dans ma compréhension de "l'autre".
Pou traduire Heidegger, l'usage de barbarismes est pratiquemment indispensable pour essayer de faire comprendre certains termes.
Philaunet
Admin
314C'est celui qui dit qui y est... - Mar 31 Déc 2013, 12:48
Dans la sorte de texte baptisée "objet intermédiaire" par son auteur, Toutes les époques ont-elles eu peur de leur technologie ? on lit dans une traduction (faite par l'auteur ?) :
« La condition intellectuelle contemporaine est caractérisée par un cerveau incapable de travailler normalement. Du dans une grande mesure à l’empressement et à l’excitation de la vie moderne, avec ses facilités pour la locomotion rapide et la communication presque instantanée entre des points très éloignées du globe »
« L’art de la correspondance est en train de mourir. Quand une lettre coutait 9 pences, il semblait normal de faire en sorte qu’elle les vaille….(...) »
« (...).Les hommes d’aujourd’hui vivent, pensent et travaillent à grande vitesse. Ils ont leur Mercury ou leur Post sur leur table de petit déjeuner et s’ils sont trop pressés pour en retirer les informations nécessaires pendant leur repas, il l’emporte pour le lire d’un air boudeur dans les transports… Ce qui ne laisse pas le temps de conserver avec l’ami qui partage peut-être leur compartiment… L’empressement et l’affairement de la vie moderne… »
« La paresse intellectuelle et la précipitation de notre époque ont produit une appétence pour des textes raccourcis. Le cerveau engourdi est devenu trop faible pour une pensée soutenue » [suivez mon regard...]
(...)
Ces citations sont extraites de la presse, de manuels de savoir-vivre, de livres d’éducation ou encore d’un discours à des étudiants. Elles ont toutes été publiées entre 1871 et 1907 et rassemblées par un ingénieur en physique américain sur son blog. Il est frappant de constater à quel point on y retrouve des critiques portées à notre époque, mais en attribuant les causes à d’autres technologies : (...)
A vous, historien médiéviste qui vous intéressez aussi à ce que vous appelez « l’entretemps », à ce qui se passe entre l’historien et l’époque qu’il étudie, je pose les questions que je me pose chaque jour ? Toutes les époques ont-elles eu l’impression qu’avec elles quelque chose mourrait et que donc aussi, éventuellement, qu’avec elles quelque chose naissait ?
Bref, toutes les époques ont-elles eu peur de leurs technologies, pas seulement peur, mais peur aussi ? [ ? ? ?]
« La condition intellectuelle contemporaine est caractérisée par un cerveau incapable de travailler normalement. Du dans une grande mesure à l’empressement et à l’excitation de la vie moderne, avec ses facilités pour la locomotion rapide et la communication presque instantanée entre des points très éloignées du globe »
« L’art de la correspondance est en train de mourir. Quand une lettre coutait 9 pences, il semblait normal de faire en sorte qu’elle les vaille….(...) »
« (...).Les hommes d’aujourd’hui vivent, pensent et travaillent à grande vitesse. Ils ont leur Mercury ou leur Post sur leur table de petit déjeuner et s’ils sont trop pressés pour en retirer les informations nécessaires pendant leur repas, il l’emporte pour le lire d’un air boudeur dans les transports… Ce qui ne laisse pas le temps de conserver avec l’ami qui partage peut-être leur compartiment… L’empressement et l’affairement de la vie moderne… »
« La paresse intellectuelle et la précipitation de notre époque ont produit une appétence pour des textes raccourcis. Le cerveau engourdi est devenu trop faible pour une pensée soutenue » [suivez mon regard...]
(...)
Ces citations sont extraites de la presse, de manuels de savoir-vivre, de livres d’éducation ou encore d’un discours à des étudiants. Elles ont toutes été publiées entre 1871 et 1907 et rassemblées par un ingénieur en physique américain sur son blog. Il est frappant de constater à quel point on y retrouve des critiques portées à notre époque, mais en attribuant les causes à d’autres technologies : (...)
A vous, historien médiéviste qui vous intéressez aussi à ce que vous appelez « l’entretemps », à ce qui se passe entre l’historien et l’époque qu’il étudie, je pose les questions que je me pose chaque jour ? Toutes les époques ont-elles eu l’impression qu’avec elles quelque chose mourrait et que donc aussi, éventuellement, qu’avec elles quelque chose naissait ?
Bref, toutes les époques ont-elles eu peur de leurs technologies, pas seulement peur, mais peur aussi ? [ ? ? ?]
Yann Sancatorze
315La marque du France Culture d'aujourd'hui - Jeu 02 Jan 2014, 11:54
C'est Vincent, l'autre jour, je crois, qui voyait dans la Grande Table une belle manifestation du France Culture d'aujourd'hui (je crois que c'était à but d'éloge). Voici une autre très belle manifestation du FC contemporain d'aujourd'hui actuel du présent de son temps. C'est un Atelier de la Création intitulé "France Culture est une femme de 50 ans" (pourquoi s'arrêter là, d'ailleurs ? "France Culture est une femme de 50 ans végétarienne écolo humanitaire durable anticapitaliste etc. etc. etc.")
Il faut lire le texte de présentation pour le croire:
http://www.franceculture.fr/emission-l-atelier-de-la-creation-france-culture-est-une-femme-de-50-ans-2014-01-01
De Perrine Kervran et Delphine Saltel
A la réalisation : Véronique Samouiloff
5 décénnies pour tisser la biographie imaginaire d'une femme, de sa naissance à sa maturité.
5 décénies pour mettre à l'honneur les femmes quinquagénaires.
5 décénies comme un pretexte pour se promener dans le patrimoine culturel commun.
5 décénies pour faire entendre des textes originaux d'auteurs d'aujourd'hui, comme des adresses à cette femmes, par des écrivains qui l'incarnent ou ecrivent comme s'ils l'avaient connue.
Le pretexte pour écouter des archives : la mort de de gaulle, ménie grégoire, Les manifestations féministes
Pour écouter des extraits de films de Pialat, Truffaut ou Rochant
Pour écouter des chansons : Etienne daho, Marianne Faithfull, Christophe
Pour entendre des textes forts : Duras, Darrieussecq, Beauvoir, Ernaux
Le tout comme une matière sonore pour construire un décor et incarner France C.
Des textes originaux pour raconter sa vie, son enfance, ses premières amours, la decouverte de la sexualité, la maternité, le travail, les chagrins, la force.
Une comedienne pour les lectures : Maryvonne Abolivier.
Trois lecteurs qui sont aussi les auteurs de lettres ou de pensées adressées à cette femme imaginaire : Silvain Gire, Amélie Meffre, Corentin Roquebert.
Des textes ecrits et dits par les productrices pour lier l'ensemble et lui donner chair et sens.
C'est pourri de fautes, bien entendu, mais alors, quel projet radiophonique... Ressassement des mêmes auteurs, des mêmes combats. On aurait pu, avec un sujet comme celui-ci, évoquer la vocation de la station, multiplier les sources originales. Mais non, elles ne trouvent rien de plus original que du Beauvoir et du Daho. C'est bien le France Culture d'aujourd'hui : le renoncement festif et militant. Le refus, voire la honte de la connaissance pour l'incantation de demi-dieux politiques "qui vont bien". France Culture nous parle sans arrêt de renouveau, d'ouverture, de changement, de conquête. Ce que nous écoutons jour après jour s'étrique et se referme. C'est de la petite radio pour petit club sans imagination, enthousiasme, curiosité ou un minimum d'ouverture d'esprit.
Il faut lire le texte de présentation pour le croire:
http://www.franceculture.fr/emission-l-atelier-de-la-creation-france-culture-est-une-femme-de-50-ans-2014-01-01
De Perrine Kervran et Delphine Saltel
A la réalisation : Véronique Samouiloff
5 décénnies pour tisser la biographie imaginaire d'une femme, de sa naissance à sa maturité.
5 décénies pour mettre à l'honneur les femmes quinquagénaires.
5 décénies comme un pretexte pour se promener dans le patrimoine culturel commun.
5 décénies pour faire entendre des textes originaux d'auteurs d'aujourd'hui, comme des adresses à cette femmes, par des écrivains qui l'incarnent ou ecrivent comme s'ils l'avaient connue.
Le pretexte pour écouter des archives : la mort de de gaulle, ménie grégoire, Les manifestations féministes
Pour écouter des extraits de films de Pialat, Truffaut ou Rochant
Pour écouter des chansons : Etienne daho, Marianne Faithfull, Christophe
Pour entendre des textes forts : Duras, Darrieussecq, Beauvoir, Ernaux
Le tout comme une matière sonore pour construire un décor et incarner France C.
Des textes originaux pour raconter sa vie, son enfance, ses premières amours, la decouverte de la sexualité, la maternité, le travail, les chagrins, la force.
Une comedienne pour les lectures : Maryvonne Abolivier.
Trois lecteurs qui sont aussi les auteurs de lettres ou de pensées adressées à cette femme imaginaire : Silvain Gire, Amélie Meffre, Corentin Roquebert.
Des textes ecrits et dits par les productrices pour lier l'ensemble et lui donner chair et sens.
C'est pourri de fautes, bien entendu, mais alors, quel projet radiophonique... Ressassement des mêmes auteurs, des mêmes combats. On aurait pu, avec un sujet comme celui-ci, évoquer la vocation de la station, multiplier les sources originales. Mais non, elles ne trouvent rien de plus original que du Beauvoir et du Daho. C'est bien le France Culture d'aujourd'hui : le renoncement festif et militant. Le refus, voire la honte de la connaissance pour l'incantation de demi-dieux politiques "qui vont bien". France Culture nous parle sans arrêt de renouveau, d'ouverture, de changement, de conquête. Ce que nous écoutons jour après jour s'étrique et se referme. C'est de la petite radio pour petit club sans imagination, enthousiasme, curiosité ou un minimum d'ouverture d'esprit.
Nessie
316A la manière de Gilbert Lascault - Jeu 02 Jan 2014, 17:49
Aneffet c'est fascinant : il y a donc des gens capables de dénicher du "texte fort" dans la prose de Marie Darrieussecq. Hé bé. Manque plus que Christine Angot.
Et toujours l'énigme de cette avalanche de fautes. Comment l'expliquer, par quel cocktail de causes ? L'ignorance d'au moins un ne suffit pas, le manque de professionnalisme d'au moins un autre non plus. Et non plus l'organisation qu'on devine foireuse : un producteur surbooké ou paresseux dicte devant le dictaphone ou le micro d'un PC les consignes qui seront transmises sous forme de MP3 crachotant à fin d'être transcrites par un assistant que peut-être il n'a jamais vu et ne verra jamais.
Ou bien, peut-être est-ce là délicatesse, et soin de ne pas froisser le stagiaire qu'on a recruté pour cette tâche misérable. Tache indigne pour les titulaires, soit dit en passant. On a pris volontairement une vicquetime de l'école, et surtout, ne pas aller relire et ne pas corriger ses fautes, ça risquerait de l'humilier !
On peut en imaginer, des scénarios pour expliquer ce naufrage de la qualité à France Culture ...
Et toujours l'énigme de cette avalanche de fautes. Comment l'expliquer, par quel cocktail de causes ? L'ignorance d'au moins un ne suffit pas, le manque de professionnalisme d'au moins un autre non plus. Et non plus l'organisation qu'on devine foireuse : un producteur surbooké ou paresseux dicte devant le dictaphone ou le micro d'un PC les consignes qui seront transmises sous forme de MP3 crachotant à fin d'être transcrites par un assistant que peut-être il n'a jamais vu et ne verra jamais.
Ou bien, peut-être est-ce là délicatesse, et soin de ne pas froisser le stagiaire qu'on a recruté pour cette tâche misérable. Tache indigne pour les titulaires, soit dit en passant. On a pris volontairement une vicquetime de l'école, et surtout, ne pas aller relire et ne pas corriger ses fautes, ça risquerait de l'humilier !
On peut en imaginer, des scénarios pour expliquer ce naufrage de la qualité à France Culture ...
Dernière édition par Nessie le Ven 03 Jan 2014, 09:55, édité 1 fois
Philaunet
Admin
317Une médiocrité qui s'affiche sans complexe - Jeu 02 Jan 2014, 20:15
Nessie a écrit:(...) Et toujours l'énigme de cette avalanche de fautes. Comment l'expliquer, par quel cocktail de causes ? L'ignorance d'au moins un ne suffit pas, le manque de professionnalisme d'au moins un autre non plus. Et non plus l'organisation qu'on devine foireuse : un producteur surbooké ou paresseux dicte devant le dictaphone ou le micro d'un PC les consignes qui seront transmises sous forme de MP3 crachotant à fin d'être transcrites par un assistant que peut-être il n'a jamais vu et ne verra jamais.
Ou bien, peut-être est-ce là délicatesse, et soin de ne pas froisser le stagiaire qu'on a recruté pour cette tâche misérable. Tache indigne pour les titulaires, soit dit en passant. On a pris volontairement une vicquetime de l'école, et surtout, ne pas aller relire et ne pas corriger ses fautes, ça risquerait de l'humilier !
On peut en imaginer, des scénarios pour expliquer ce naufrage de la qualité à France Culture ...
Intéressants, vos scénarios. Et comment expliquez-vous qu'à cette heure les fautes sur « décennies » aient été corrigées, mais que subsistent :
des adresses à cette femmes
la mort de de gaulle, ménie grégoire, Les manifestations féministes
Etienne daho
Des textes ecrits ?
Il faut vraiment tout leur dire !
Sans parler du « patrimoine culturel commun » (« commun », dans quel sens ?) dont vous extrayez pertinemment un élément et sur lequel il y aurait beaucoup à dire et... ironiser.
Cette émission payée sur les deniers publics est faite pour amuser la petite bande qui la produit et leurs amis, on suppose. Il est certain qu'elle ne risque pas d'être citée dans quelques années, sauf pour montrer à quel point France Culture avait laissé son antenne à des amateurs sans aucune culture.
Nessie
318Re: Errare France Culture est - Ven 03 Jan 2014, 07:37
Damn it voici mes hypothèses mises à mal : ils ne s'en foutent donc pas complètement, mais ils sont incapables de rectifier l'ensemble. Il y a donc de l'incompétence en plus de l'incurie. Et s'il y a des corrections c'est que cette dernière doit être houspillée par des réactions d'auditeurs. Je veux dire : ceux qui écrivent à la chaine des courriers furibards.Philaunet a écrit: Et comment expliquez-vous qu'à cette heure les fautes sur « décennies » aient été corrigées, mais que subsistent :
des adresses à cette femmes
la mort de de gaulle, ménie grégoire, Les manifestations féministes
Etienne daho
Des textes ecrits ?
Il faut vraiment tout leur dire !
Ou alors : le malheureux tâcheron qui a senti d'entrée de jeu qu'il avait un problème avec "décennies", s'en est trouvé empêché de dormir le pauvret. Il lui a fallu quelques heures pour avoir l'idée de consulter un dictionnaire. Après quoi, épuisé par cet effort que son métabolisme mental ne lui autorise qu'à la fréquence d'une fois par mois, et inquiet d'avoir déjà consommé tout son crédit énergétique de janvier, il est retourné parsemer de fautes une autre page dont il a la charge.
Et le hic est bien que cette remarque acide s'applique, hélas, à la majeure partie de la production de l'audiovisuel public, télé et radio : elle est faite avant tout pour ceux qui la font. Il est tout à fait secondaire qu'elle plaise ou non à un public qui s'est laissé droguer à l'image et de là se trouve prêt à avaler n'importe quoi pourvu que ça bouge et que ça fasse du boucan.Philaunet a écrit:Cette émission payée sur les deniers publics est faite pour amuser la petite bande qui la produit et leurs amis, on suppose. Il est certain qu'elle ne risque pas d'être citée dans quelques années, sauf pour montrer à quel point France Culture avait laissé son antenne à des amateurs sans aucune culture.
Philaunet
Admin
319« Puisquopathie » - Ven 03 Jan 2014, 19:20
Dans Vers un cirque sans animaux sauvages ?, en dehors des fautes de français habituelles, on relève en peu de lignes :
puisqu'elle a déjà été prise par plusieurs pays
puisque plus aucun animal n'est toléré
puisqu'aucun de ceux présents sur Paris à l'occasion des fêtes de fin d'année n'a voulu
On avait déjà mentionné cette indigence de la langue et parfois l'emploi à tort de l'expression dans HCS : elle n'a pas lu Chateaubriand
puisqu'elle a déjà été prise par plusieurs pays
puisque plus aucun animal n'est toléré
puisqu'aucun de ceux présents sur Paris à l'occasion des fêtes de fin d'année n'a voulu
On avait déjà mentionné cette indigence de la langue et parfois l'emploi à tort de l'expression dans HCS : elle n'a pas lu Chateaubriand
Nessie
320Le cadavre exquis de France Culture bouge encore - Ven 03 Jan 2014, 22:26
A France Culture je soupçonne sérieusement les responsables du site, de chercher à nous faire mourir de rire.
A la page de la nuit esspéciale "Haïti" vous voyez apparaitre, comme informations complémentaires du programme Haïti, le nom de deux universitaires spécialistes de littérature populaire. Et encore au-dessous, les illustrations des couvertures de Fantômas. On peut raisonnablement penser que l'une a été faite à partir d'un copié collé sur l'autre.
On serait là dans la grande tradition du collage si seulement les personnes qui font ce genre de bourde avaient une seule fois de toute leur vie entendu parler du collage comme procédé artistique.
A la page de la nuit esspéciale "Haïti" vous voyez apparaitre, comme informations complémentaires du programme Haïti, le nom de deux universitaires spécialistes de littérature populaire. Et encore au-dessous, les illustrations des couvertures de Fantômas. On peut raisonnablement penser que l'une a été faite à partir d'un copié collé sur l'autre.
On serait là dans la grande tradition du collage si seulement les personnes qui font ce genre de bourde avaient une seule fois de toute leur vie entendu parler du collage comme procédé artistique.
Philaunet
Admin
321Re: Errare France Culture est - Sam 04 Jan 2014, 00:14
Nessie a écrit:A France Culture je soupçonne sérieusement les responsables du site, de chercher à nous faire mourir de rire. (...) On serait là dans la grande tradition du collage si seulement les personnes qui font ce genre de bourde avaient une seule fois de toute leur vie entendu parler du collage comme procédé artistique.
Bien vu ! Oui, des livres sur Fantômas comme documents complémentaires à la nuit Haïti, pas mal.
Mais bon, c'est encore une autre citation de vous que l'on voulait faire avant de la compléter :
Nessie a écrit:(...) c'est fascinant : il y a donc des gens capables de dénicher du "texte fort" dans la prose de Marie Darrieussecq. Hé bé. Manque plus que Christine Angot.
Quand vous aurez entendu Véronique Ovaldé (« Lauréate du Prix France-Culture-Télérama en 2008 », c'est dire la référence !), vous trouverez du génie à l'état pur chez l'auteur de Truismes...
Petit extrait ici pour les courageux La véridique et bienheureuse histoire de Georgia Lapoussette. Je n'ai pas tenu plus de 6'30, malgré des efforts surhumains... Quel est cet objet ? Certainement pas un objet radio. Un objet audiovisuel sur le site ? Un objet remplissage de grille à bon marché, enregistrement de ce qui est avant tout un spectacle pour une manifestation dite culturelle (Salon du livre) ?
Ovaldé, on parie qu'on va voir son nom chez Richeux prochainement ?
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