Dans ce communiqué, rien de nouveau :
1- Ce n’est pas le contenu qui est mis en avant mais les noms des arrivants. Le premier d’entre eux revient par la petite porte à Radio France, dans l’attente qu’une place se libère sur France Inter. Bref, de la cuisine interne.
2- Pourquoi ces trois noms viennent faire un tour sur France Culture ? Pour faire des émissions d’actu, des émissions de généralistes ou de chaînes actu.
« > 12h – 12h30 : Nora Hamadi met à jour un sujet ignoré du débat politique et pourtant au cœur de préoccupations citoyennes. Une émission composée d’un plateau adossé à un reportage de la rédaction de France Culture.
> 12h30 – 12h45 : le journal
> 12h45 – 13h30 : Grégory Philipps interroge avec le temps de l’approfondissement un acteur de la vie politique sur une ou plusieurs thématiques de fond au cœur de l'actualité de cette année électorale. »
La mention du journal de 12h30 est tout à fait significative : actu first. Et puis, le journal de 12h30, quelle nouveauté ! Extra ! Ordinaire !
Donc débat d’actu, once again, et ensuite après le fameux journal, l’émission politique produite jusqu’à présent par Hervé Gardette, qui a laissé les clés à son remplaçant pour faire la même chose, avec peut-être un titre différent pour faire illusion.
« LE DIMANCHE À 11H DÈS LE 29 AOÛT : PATRICK COHEN »
Oui, le nom arrive en preums en lettres majuscules, c’est le nom qui va drainer encore plus d’auditeurs en rade sur les généralistes.
Mais l’essentiel est que « L’esprit public » continue. Encore un débat d’actu. Le problème n’est pas la nature du nouveau producteur (ça ne peut être pire que le précédent, bien au contraire) mais la présence même de ce type d’émission sur une radio culturelle. Les débats d’actu qui font le point sur la semaine écoulée débordent déjà partout sur les autres chaînes, que ce soit radio ou tévé, pour dire en gros et en détail la même chose.
Donc, à partir de septembre, aucun changement notable, France Culture sera toujours aussi peu « Culture », bouffant toujours autant les plates-bandes de France Inter ou France Info.
1- Ce n’est pas le contenu qui est mis en avant mais les noms des arrivants. Le premier d’entre eux revient par la petite porte à Radio France, dans l’attente qu’une place se libère sur France Inter. Bref, de la cuisine interne.
2- Pourquoi ces trois noms viennent faire un tour sur France Culture ? Pour faire des émissions d’actu, des émissions de généralistes ou de chaînes actu.
« > 12h – 12h30 : Nora Hamadi met à jour un sujet ignoré du débat politique et pourtant au cœur de préoccupations citoyennes. Une émission composée d’un plateau adossé à un reportage de la rédaction de France Culture.
> 12h30 – 12h45 : le journal
> 12h45 – 13h30 : Grégory Philipps interroge avec le temps de l’approfondissement un acteur de la vie politique sur une ou plusieurs thématiques de fond au cœur de l'actualité de cette année électorale. »
La mention du journal de 12h30 est tout à fait significative : actu first. Et puis, le journal de 12h30, quelle nouveauté ! Extra ! Ordinaire !
Donc débat d’actu, once again, et ensuite après le fameux journal, l’émission politique produite jusqu’à présent par Hervé Gardette, qui a laissé les clés à son remplaçant pour faire la même chose, avec peut-être un titre différent pour faire illusion.
« LE DIMANCHE À 11H DÈS LE 29 AOÛT : PATRICK COHEN »
Oui, le nom arrive en preums en lettres majuscules, c’est le nom qui va drainer encore plus d’auditeurs en rade sur les généralistes.
Mais l’essentiel est que « L’esprit public » continue. Encore un débat d’actu. Le problème n’est pas la nature du nouveau producteur (ça ne peut être pire que le précédent, bien au contraire) mais la présence même de ce type d’émission sur une radio culturelle. Les débats d’actu qui font le point sur la semaine écoulée débordent déjà partout sur les autres chaînes, que ce soit radio ou tévé, pour dire en gros et en détail la même chose.
Donc, à partir de septembre, aucun changement notable, France Culture sera toujours aussi peu « Culture », bouffant toujours autant les plates-bandes de France Inter ou France Info.