Un nouveau numéro stimulant de The Life scientific Jane Hurst on the secret life of mice 16-02-2021
Pour attirer le public, Jim Al-Khalili (devenu de plus en plus esclaffeur, comme Nicolas Martin avant, faut ambiancer sottement...) commence le descriptif avec le bien-être des souris qui est le sujet des sept dernières minutes de l'émission.
Pour attirer le public, Jim Al-Khalili (devenu de plus en plus esclaffeur, comme Nicolas Martin avant, faut ambiancer sottement...) commence le descriptif avec le bien-être des souris qui est le sujet des sept dernières minutes de l'émission.
Cette séquence est d'ailleurs intéressante et permet sans doute de lever certains des reproches des militants de l'"Animal welfare" au Royaume-Uni. Car le sujet est ailleurs, dans la recherche fondamentale sur les traces odorantes laissées par les souris mâles pour signifier qu'ils sont capables de défendre un territoire, ce qui attire les femelles. En passant, France Culture qui choisit ses exemples de comportement animal pour faire la morale aux humains (voyez comme ces animaux sont solidaires, regardez comme ils changent de sexe ou comme les femelles se reproduisent sans mâle, etc) ne fera probablement pas une émission sur le comportement des souris femelles prêtes à tout pour rejoindre un mâle dominant...Mice, like humans, prefer to be treated with a little dignity, and that extends to how they are handled.
Pick a mouse up by its tail, as was the norm in laboratories for decades, and it gets anxious. Make a mouse anxious and it can skew the results of the research it’s being used for.
What mice like, and how they behave, is the focus of Professor Jane Hurst’s research. Much of that behaviour, she’s discovered, can be revealed by following what they do with their noses - where they take them and what’s contained in the scent marks they sniff.
Now William Prescott Professor of Animal Science at the University of Liverpool, Jane has unravelled a complex array of scent signals that underpin the way mice communicate, and how each selects a mate.
Within this heady mix of male scent, she’s identified one particular pheromone that is so alluring to females that she named it Darcin, after Mr Darcy in Pride and Prejudice.