Ce matin, G. Erner, à l'occasion de son billet quotidien, commente l'affaire du fichier révélé par le Canard Enchaîné à propos des cadres de FO, pour nous faire partager une plaisanterie qui vaut d'être savourée.
Au terme d'un parcours rhétorique un peu tiré par les cheveux, à partir de la qualification de l'un des cadres FO (jugé trop intelligent pour entrer au Bureau Confédéral), G. Erner suggère que dans le management moderne les patrons aussi sont "1 avec plein de 0 derrière" [son mp3="http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16341-11.10.2018-ITEMA_21847282-1.mp3" debut="02:00" fin="02:05"].
Cette image aurait été encore plus pertinente appliquée aux célèbres "premiers de cordée" nouvellement auto-promus depuis 1 an.
Il a également fait entendre un audio-montage réalisé par le Huffington Post, présentant l'usage de l'anglais par le Président de la République Française (et aujourd'hui encore, francophone), avant qu'il se rende justement, à une assemblée de la francophonie. Malheureusement, ce passage a disparu des podcasts...
G. Erner a bien gagné sa place comme chansonnier dans la future nouvelle version, espérons-la irrévérencieuse, des Papous !
Au terme d'un parcours rhétorique un peu tiré par les cheveux, à partir de la qualification de l'un des cadres FO (jugé trop intelligent pour entrer au Bureau Confédéral), G. Erner suggère que dans le management moderne les patrons aussi sont "1 avec plein de 0 derrière" [son mp3="http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16341-11.10.2018-ITEMA_21847282-1.mp3" debut="02:00" fin="02:05"].
Cette image aurait été encore plus pertinente appliquée aux célèbres "premiers de cordée" nouvellement auto-promus depuis 1 an.
Il a également fait entendre un audio-montage réalisé par le Huffington Post, présentant l'usage de l'anglais par le Président de la République Française (et aujourd'hui encore, francophone), avant qu'il se rende justement, à une assemblée de la francophonie. Malheureusement, ce passage a disparu des podcasts...
G. Erner a bien gagné sa place comme chansonnier dans la future nouvelle version, espérons-la irrévérencieuse, des Papous !