Toute la presse a rapporté l'affaire Argento (voir post précédent), quoique avec discrétion pour certains organes. Le Monde par exemple (qui s'en étonnera ?) a retiré un article de sa Une et place ceux du jour loin de sa page d'accueil (dans sa page "Cinéma", on voit que c'est approprié... et dans "Société").
La Rédaction de France Culture, elle, n'est pas au courant, comme on le voit au descriptif du journal de 22h d'hier Journal de 22h par Rédaction. Descriptif qui contient cinq paragraphes qui accusent tous quelqu'un de quelque chose (l'État français particulièrement).
Ce matin à 7h, mention avec une réaction, celle de Fatima Benobar du mouvement féministe "Les effrontées". Voilà ce qu'on appelle du journalisme, le sujet n'étant pas abordé, l'extrait d'entretien portant exclusivement sur la valeur positive du mouvement féministe américain : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/14310-21.08.2018-ITEMA_21777885-1.mp3" debut="08:31" fin="09:56"] Curieuse première phrase d'introduction du sujet : "Ne pas ternir le mouvement de libération de la parole des femmes (...)".
Rappelle les pratiques de Tass et de la Pravda du bon vieux temps.
La Rédaction de France Culture, elle, n'est pas au courant, comme on le voit au descriptif du journal de 22h d'hier Journal de 22h par Rédaction. Descriptif qui contient cinq paragraphes qui accusent tous quelqu'un de quelque chose (l'État français particulièrement).
Ce matin à 7h, mention avec une réaction, celle de Fatima Benobar du mouvement féministe "Les effrontées". Voilà ce qu'on appelle du journalisme, le sujet n'étant pas abordé, l'extrait d'entretien portant exclusivement sur la valeur positive du mouvement féministe américain : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/14310-21.08.2018-ITEMA_21777885-1.mp3" debut="08:31" fin="09:56"] Curieuse première phrase d'introduction du sujet : "Ne pas ternir le mouvement de libération de la parole des femmes (...)".
Rappelle les pratiques de Tass et de la Pravda du bon vieux temps.