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Les journaux et la rédaction de FC    Page 7 sur 100

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antonia 


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Re: Les journaux et la rédaction de FC - Mar 12 Avr 2011, 08:43

Aux infos de 6h30 et sans doute après(mais je coupe les infos suivantes), c’est la curée à propos de Laurent Gbagbo: les mêmes qui 6 mois plus tôt auraient raconté avec une certaine admiration ses extravagances de potentat, détaillent les petits faits de sa reddition, pour bien l’humilier n’est-ce pas!(sa femme dépeignée, lui, demi nu, etc, un anti-Gbagbo qui agite sa hache avec l’envie de le zigouiller). Heureusement qu’on n’a pas l’image ....
Et puis alors, c’est parti les conseils moralisateurs pour Ouattara: faut que tu réconcilie tout le monde, mon coco, on compte sur toi.
Et aussi à 6h30, le journaliste évoque une bande dessinée dont le sujet est la révolte de poulets : ouaf, ouaf, ouaf! jamais entendu parler de Chicken run, apparemment.

Langevin 


62
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Antoine Marette est un bon fils (spirituel) - Dim 29 Mai 2011, 19:50

Une petite expérience personnelle qui n'est pas sans rapport avec FC et que je souhaite vous faire partager.

J'étais ce samedi à Rennes où l'Institut qui me forma fêtait ses vingt ans d'existence. Ayant été l'un des premiers à en sortir la tête haute et, de surcroît, pour entrer illico dans une grande école aussi désirée que décriée, et qui constitue pour les godeluereaux qui hantent les Instituts pareils au mien tout à la fois Jérusalem, Camelot et les Cités d'Or, j'avais été convié à la fois en qualité d'enseignant intermittent et d'équivalent local de Youri Gagarine. Congratulations, discours de circonstance, inspection de l'arrondissement des ventres, de l'extension des calvities et de la multiplication des enfants. Du classique.

Puis vint un condisciple de la promotion suivant la mienne, le jeune Antoine Marette, journaliste à France Culture qui présenta à titres et à heures diverses le journal parlé sur ces ondes, puis assura la revue de presse les jours d'indisposition de Mlle de Kervasdoué avant que d'être décoré d'un titre de grand reporter qui, (me dit-il devant une flûte de champagne tiède), devait l'emmener incessamment aux Amériques s'enquérir du logement mobutesque du sieur DSK et des sentiments de la populace niouyorkaise sur l'Affaire. J'avais quitté Antoine sérieux, timide et vaguement mélancolique. Je le retrouvais de même quinze ans plus tard.

Antoine avait été le dernier disciple préféré de notre professeur d'histoire qui s'appelait Michel Denis, et qui faisait partie de cette race de grands, de beaux pédagogues qui fut l'honneur de notre Université, tel Jean Guéhenno auquel il ressemblait tant. Enfant pauvre, mais d'une famille où l'on ne craignait pas le travail, l'on adorait la République et l'on mettait plus haut que tout l'éducation, Michel Denis avait gravi les échelons de la méritocratie jusqu'à devenir un chercheur réputé en matière d'histoire de la Bretagne (et particulièrement de la période révolutionnaire), à occuper le poste de président de Rennes II, puis à exercer quelques fonctions de conseil après 1981. Il s'était investi avec enthousiasme dans la création de l'Institut précité en 1991 qui fut sa dernière, mais pas la moins belle, aventure professionnelle, et laissa aux jeunes filles et aux jeunes gens que nous étions alors le souvenir ébloui d'un professeur dont le talent oratoire et la science profonde et vaste ne le disputaient qu'à son extrême affabilité. Son dernier cours solennel avant sa retraite, en 1996, prodigieux d'éloquence et de valeur morale, avait eu sur le jeune adulte que j'étais un effet si pénétrant que j'en ressens les effets aujourd'hui encore.

Antoine avait bâti un mémorial audiovisuel à ce maître que nous chérissions tant. Il nous en diffusa un extrait (celui, justement, de ce discours final) qui nous émut aux larmes, et même doublement, car, si la matière était des plus nobles, il m'avait semblé qu'Antoine avait su ici trouver ce qui manque parfois tant à FC : la sincérité et la capacité à dégager du son (et, au cas présent de l'image), plus que la réalité ; la vérité du sujet. Un bel ouvrage de professionnel et d'ami, vraiment. Du vrai France Culture hors les murs.

après avoir déjeuné avec quelques amis, non sans deux soupirs consternés de ma femme (qui prétend contre toute évidence que le pied de porc pané et sa garniture de pommes sarladaises, puis le pain perdu au caramel au beurre salé, font grossir), nous reprîmes la route vers notre maison. Dans la voiture, Baddou et ses protégés vulgarisaient dans tous les sens du terme.

Pour une fois, j'ai souri. France Culture, parle truchement de l'un de ses humbles soutiers, m'avait suffisamment contenté pour la journée.


Invité 


Invité

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Marette par le menu. - Dim 29 Mai 2011, 21:11

"..le pied de porc pané et sa garniture de pommes sarladaises, puis le pain perdu au caramel au beurre salé.."

Les journaux et la rédaction de FC - Page 7 Aux_tr10

George Weaver 

George Weaver

64
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Quand FC s'efforce d'attiser le conflit au Proche-Orient - Ven 01 Juil 2011, 20:03

Voici ce que Marie Viénot, qui présentait aujourd'hui le Journal de 18h, a affirmé juste après le sujet à propos de DSK :

La mobilisation est repartie en force aujourd'hui, comme souvent le vendredi, en Syrie, et de nouveaux tirs de l'armée israëlienne ont fait des victimes. Ils ont tiré sur des manifestants à Homs. Il y aurait pour le moment trois morts et une dizaine de blessés…

Nessie 

Nessie

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La culture VS l'info - Mer 20 Juil 2011, 14:51

dans un autre fil, Nessie a écrit:[...]sur France Culture, la culture c'est du passé. En bocal, quoi.
En bocal mais pas morte, puisque la culture c'est ce qui reste, donc ça se conserve.

Par contre, en paraphrasant Zappa : le journalisme à la sauce de France Culture, lui non plus il n'est pas mort mais il a quand même une drôle d'odeur.

Frédéric / masterkey 

Frédéric / masterkey
Admin

66
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Re: Les journaux et la rédaction de FC - Ven 25 Nov 2011, 09:12

En ouverture du journal de 9h ce matin :

"Deux pays du magheb dans l'actualité aujourd'hui : l'Egypte ([...] et le Maroc)"

Comme dirait Finkie, Les journaux et la rédaction de FC - Page 7 Smilies_facepalm

http://www.regardfc.com

Nessie 

Nessie

67
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Pendant la campagne, les manipulations continuent - Mer 11 Jan 2012, 23:44

11 janvier 2012 - Journal de 22h - 2 sujets principaux :
- 5' sur la mort du grand-reporter Gilles Jacquier, tué en Syrie pendant les combats en couvrant le conflit.
- 2e partie du journal : 7'30 sur une affaire pourrie qui a trainé de 2007 à 2011. C'est de ça que parle ce post :
Avant toute chose, je conseille de lancer l'écoute de la séquence : [son mp3="http://download.od.tv-radio.com/france_culture_ondemand/sites/default/files/sons/2012/01/s02/Journal_de_22h00--PODCAST--NET_e248f406-3361-4939-a058-a59cc2cebf30_FC.mp3" debut="04:59" fin="12:28"]
L'essentiel à retenir : on y entend un journaliste fort occupé à faire dire à son correspondant au téléphone quelque chose que l'autre ne voudra pas dire, ne dira pas malgré les efforts répétés du journaliste qui revient à la charge et sera finalement contredit par le témoin avec une dose de bon sens et d'honnêteté morale, montrant par là que de ces qualités la rédaction de FC n'est vraiment pas étouffée.

Et maintenant l'histoire : de quoi s'agit-il ? De la mise en examen donc suspension de plusieurs policiers, dont un de très haut niveau, mais sur un dossier d'accusation falsifié. Diable ! Sauf qu'une fois passée cette annonce à effet, on apprend par une des personnes suspendues, qu'il y aurait plutôt eu emballement du système policier : une enquête qui vise quelques têtes haut placées, s'acharnant au-dela de l'absence de preuves, et malgré cette absence plusieurs personnes tombent. Déjà on se doute que de tels cas peuvent se produire dans les affaires ordinaires, et peut-être pas si rarement. Ici on apprend qu'une affaire semblable aurait eu lieu au sein de la Police elle-même, dans une dérive de I'IGS. Avec pour victime entre autres un haut fonctionnaire : l'énarque Yannick Blanc qui était à l'époque le Directeur de la police générale à la Préfecture de Paris. Entre temps démis de ses fonctions mais maintenant blanchi. Une enquête à un haut niveau et trafiquée, c'est évidemment un événement et pas très reluisant. Comme le dit l'accusé, "c'est toute la crédibilité de l'institution policière qui est mise en cause".

Mais quid de la crédibilité de la Rédaction de FC ? La belle histoire que nous raconte le journaliste -pour lui elle est forcément belle- c'est celle d'une manipulation politique cachée derrière l'enquête. Pourquoi politique ? Eh bien il suffira de dire que ça se passe pendant l'année 2007. On renvoie ici à l'année de l'élection, quoiqu'il n'y a aucun rapport direct. Donc la belle histoire la voila : si en pleine année électorale 3 policiers de gauche (sur 5 - on ne dit rien des 2 autres) sont victimes d'une persécution qui aboutira à des cessations de fonction et à plusieurs années de suspension avant le non-lieu, eh bien c'était forcément un coup du pouvoir de droite tirant les ficelles d'une enquête trafiquée. Problème : le témoin présent au téléphone, qui est la victime centrale de cette affaire, eh bien il ne marche pas. Il refuse de se poser en bouc émissaire ; il refuse d'accuser sans preuve. Au journaliste qui parle de complot politique, il répond "il faut faire attention aux mots qu'on emploie". Il ajoute "si j'avais été si gênant, rien n'était plus facile que de me muter". Un peu plus loin, il dit explicitement "l'idée qu'il y ait pu avoir un complot politique est absolument ridicule". C'est lui et non le journaliste qui donnera le verdict sur l'ensemble : il arrive qu'une enquête de police s'emballe, et c'est ce qui s'est produit dans ce cas. A son tour le journaliste ne marche pas : il veut absolument faire dire au policier que l'affaire est politique, téléguidée en haut lieu. Echec répété. A la fin seulement le journaliste tirera ses dernières cartouches en nommant le coupable idéal : Claude Guéant. Le policier de plus en plus gêné par ce coup de rentre-dedans, admet qu'aneffet Guéant avait à l'époque une influence sur toute l'institution, mais pour autant il achève en insistant : ce scénario est démesuré et improbable. Et il conclut d'un "je suis bien placé pour savoir qu'il ne faut pas accuser sans preuves".

Et que doit en conclure l'auditeur qui aimerait être informé plutôt que manipulé ?

Eh bien que d'ici le scrutin de mai, il faut s'attendre à voir sortir d'autres affaires, un peu partout donc probablement aussi dans ce foyer d'intoxication que sont les Journaux de France Culture. On verra sortir des affaires soigneusement retenues jusqu'alors (en l'occurrence celle-ci était bouclée depuis un an), mais peut-être pas assez documentées puisqu'en l'occurrence à la Rédaction, on a voulu donner une signification politique et une origine en haut lieu, à une cabale dont les causes sont probablement moins spectaculaires. Notons au passage la formulation : "le monde révèle aujourd'hui que l'IGS aurait monté de toutes pièces ce dossier". Oui nous avons bien entendu : une révélation... au conditionnel. Nouvelle preuve que la fougue militante des journalistes engagés ne les incitera pas à resserrer les boulons d'une Rédaction qui, depuis longtemps, accumule les fautes déontologiques tout au long de l'année. Sauf qu'on est cette fois au-delà de la question déontologique, et que ça n'est pas la première fois. Je me demande dans quelle mesure la conduite de la Rédaction de France Culture est ici à la limite de la légalité. Claude Guéant ne m'est pas particulièrement sympathique, mais les journalistes qui fricotent aux frontières de la diffamation ne le sont guère plus.

Nessie 

Nessie

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Déontologie dans l'information : faisez ce que je dis et disez pas ce que je fais - Lun 13 Fév 2012, 09:14

Elles sont à la fois exaspérantes et amusantes, les réactions qui suivent la déclaration des journalistes du Figaro appellant leur Direction à respecter l'intégrité et le pluralisme de l'information. Relayé ce matin jusque dans la chronique de Philippe Meyer, c'est un appel public à la déontologie. Est-il permis de rêver d'un appel identique en direction de la Rédaction de France Culture ? En tous cas, de même que Meyer lui-même semble glisser le sujet sous le tapis, la question ne risque pas de venir de l'intérieur de cette rédaction mon-orientée. Car à France Culture, il y a de quoi s'interroger sur la façon dont on respecte la déontologie du journalisme : la rédac' nous fait depuis 4 ans une info unilatérale, biaisée et soigneusement choisie, filtrée dans un sens unique, celui de son engagement idéologique. Une info tissée de falsifications de toutes sortes. Alors, à quand un audit sur l'honnêteté journalistique de France Culture ?

Mais au fait, qui en aurait le pouvoir ? Justement dans la matinale de ce jour, l'invité Dominique Rousseau nous enfume de ses effets de manche eux aussi mono orientés : tout y passe pour commenter de façon biaisée le rapport entre Peuple et Constitution, sur fond permanent du dirigisme de Sarkozy ; et de là quand il en arrive à la nécessaire indépendance entre médias et pouvoir, notre invité oublie deux choses importantes : a) d'abord que le service public a des devoirs particuliers. Et : b) que la qualité de l'information suppose une presse indépendante non seulement du pouvoir politique, mais au moins autant de ses propres intérêts. Evidemment ça sera difficile à demander à la presse privée. Mais quid du Service Public ? Et dans ce cas, pourquoi ne pas commencer par son orientation idéologique ? A quand des journaux de FC qui seront autre chose qu'un service de consignes de vote, un systématique dévidoir d'exaltation romantique des mouvements sociaux si possible violents, et un cours permanent d'anti-économie au service du gonflement de la dette (tout en faisant porter la faute sur les prêteurs, évidemment).

Bref ça serait pas du luxe de rappeler la rédaction de FC aux devoirs de la profession :
- ceux du service public, qui n'a pas à être mis au service des options d'un groupe engagé.
- ceux de l'information en général, qui d'être ainsi mono-orientée, devient le produit d'un service d'Agit-Prop.



Dernière édition par Nessie le Mer 15 Fév 2012, 08:35, édité 1 fois

Alain Machefert 


69
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Rédaction de FC et service public - Mer 15 Fév 2012, 07:36

La partialité de la rédaction de FC serait difficile à nier. Cependant, contrairement à Nessie, je ne crois pas qu'il s'agisse d'idéologie mais plutôt d'opposition au Sarkozysme. Et compte tenu de ce que le Sarkozysme représente, je pense que cette opposition relève du service public, au sens propre du terme.

Nessie 

Nessie

70
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Re: Les journaux et la rédaction de FC - Mer 15 Fév 2012, 09:13

Cher Alain j'espère bien que vous allez vous incruster dans ce forum car votre réponse m'oblige à réfléchir, et rencontre mes préoccupations du moment.

Je ne suis pas du tout certain que le Sarkozysme existe de façon consistante : reconduit ou éconduit, Sarkozy ne restera qu'un épisode, comme tous les présidents de la Veme sauf 2. En revanche ou plutôt par contre, l'anti-sarkozysme lui, il existe en tant que mode dans la France d'aujourd'hui. C'est difficile d'ailleurs, de dire si c'est vraiment une mode intellectuelle (car l'intelligentsia qui s'en mêle ne brille pas par sa finesse) ou une mode strictement moutonnière et dont le sens reste mystérieux, comme celle du piercing. Les deux sans doute. Mais s'imaginer qu'elle n'a rien d'idéologique, ça serait un petit himalaya de naïveté. Que l'idéologie s'en mêle est non seulement souhaitable mais normal. Le pire est que, comme toutes les modes, elle donne de quoi brasser un peu d'air aux imbéciles privés d'idées, mais elle ne donne pas vraiment de consistance aux esprits creux : même en n'ayant rien à dire, si vous voulez passer pour un qui pense, lachez de temps en temps un petit pet anti-sarkozy. Oui c'est bien ça, "brasser un peu d'air" comme dit ci-dessus. Ca ponctue le vide, ça n'engage à rien, et ça motive toujours un peu de consensus ricanant. Chaque jour j'en vois et j'en entends des exemples dans la vie quotidienne et bien sur dans les programmes de France Culture, fussent-ils littéraires ou artistiques. Comme ce forum a été créé pour parler radio, je déplore cette dérive qui bouche les trous d'un programme navrant en le caviardant de ces niaiseries hors-sujet. Ca n'apporte jamais rien à aucun débat, ni aucun élément de vérité à la compréhension des choses.

Le plus inquiétant dans votre réponse, c'est que si elle était sérieuse, elle signifierait que selon vous, le formatage de l'opinion est une fonction du service public de l'information. Je croyais -et je crois toujours- que sa fonction est d'informer, et que les deux ne sont pas compatibles, de même que les fondamentaux du journalisme ne sont pas compatibles avec votre réponse. Je suppose donc que vous avez oublié de la ponctuer d'un smiley-clin-d'oeil. Le dommage est que bien des citoyens qui se croient responsables pourraient contresigner au premier degré ce que vous avez écrit comme un gag.

Pour vous éviter l'auto-humiliation de m'envoyer un coup de sub-godwin, je précise que je ne défends ni Sarkozy ni sa politique. Ma position est idéologique évidemment puisqu'au-delà des hommes et même des partis, je crois important de défendre des principes. Parmi eux, l'honnêteté des médias qui est une valeur essentielle en démocratie. De même : le goût de la vérité comme fondement de l'action intègre. En clair : si vous croyez qu'on peut oeuvrer au bien public en recourant à des moyens frauduleux, je pense que vous vous trompez. Après réflexion je me demande si vous avez vraiment oublié le smiley, ou si vous avez écrit ce post au premier degré ?



Dernière édition par Nessie le Dim 04 Mar 2012, 00:59, édité 1 fois

Alain Machefert 


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Premier degré - Mer 15 Fév 2012, 10:39

Mon commentaire était bien à prendre au premier degré/Quelques petites précisions avant un petit somme.
Nicolas Sarkozy aime bien la castagne. Il provoque beaucoup et finalement les antagonismes se cristallisent, ce qui entrainent des réactions plus épidermiques qu'avec d'autres hommes (femmes) politiques. Je pense donc qu'il receuille ce qu'il séme. Dans ce cas une mobilisation d'une rédaction.
D'autre part, je conteste votre emploi des termes manipulations ou recours à des moyens frauduleux. Ces propos sont curieux de la part de quelqu'un qui, comme les agents de Minority Report, "anticiperait"mon recours à du sub-Godwin, procédé que je réprouve autant que vous. Reconnaissez que ces termes sont forts puisque leurs auteurs seraient condanables juridiquement.
Il faudra revenir plus tard sur la notion d'honnéteté des medias. Pas simple.
Bonne journée

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Re: Les journaux et la rédaction de FC -

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