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Dans les journaux français    Page 13 sur 18

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Philaunet 


Admin

121
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Il n'y a pas photo - Dim 13 Jan 2019, 16:59

Le Journal du Dimanche : Delphine Ernotte (France Télévisions) et Tony Hall (BBC) : "L'audiovisuel public reste un marqueur de démocratie" le 12 janvier 2019.

Comparons via Wikipedia.

Delphine Ernotte
:
Delphine Ernotte, née Delphine Cunci le 28 juillet 1966 à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), ingénieure de formation, est une dirigeante d'entreprise française.

Après avoir fait toute sa carrière à France Telecom, devenue Orange, où elle a occupé des postes de direction, elle est depuis le 22 août 2015 la présidente de France Télévisions, à la suite de sa nomination par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) le 23 avril 2015.



Tony Hall :
Tony Hall, Baron Hall of Birkenhead. Anthony William Hall, Baron Hall of Birkenhead, CBE (born 3 March 1951) is the Director-General of the BBC.

He took up the post of Director-General on 2 April 2013.[1] Previously he was Chief Executive of the Royal Opera House in Covent Garden, London from 2001 until March 2013,[2] and Director of News at the BBC between 1993 and 2001.
(...)
After Oxford, Hall joined the BBC as a trainee in 1973, initially working at its Belfast newsroom.[6][7] He later worked as producer on Today, The World at One, The World Tonight, and PM.[7] He became editor of the Nine O'Clock News at the early age of 34 and was appointed Director of BBC News and Current Affairs Television in 1990 and, combining TV and radio, became Director of News in 1993. He was Head of Current Affairs between 1996 and 2001.[citation needed]

Among his career achievements are the launch of BBC Parliament, Radio 5 Live, BBC News 24, and BBC News Online.[7] In 1999 he applied unsuccessfully for the position of Director-General of the BBC,[8] but was later successful, being appointed as BBC Director-General on 22 November 2012,[9] and took office on 2 April 2013.[1][10][11]


Résumons : aucune expérience professionnelle des médias du côté français et tête de France Télévision ;  longue expérience dans le domaine de la radio et de la télévision (45 ans ! ) de l'autre et directeur général de la BBC (radio et télé).

Curly 

Curly

122
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Le livre des snobs, la suite - Mar 15 Jan 2019, 18:01

Et hop on mélange, et on compare tout à n’importe quoi :
Morceaux moisis :
« ... d’où vient que le classicisme du cinéma repose dans son caractère populaire et que, je le dis très honnêtement, il y ait infiniment plus de matière, pour un intellectuel, dans une scène des Bronzés, dans un Delon d’Alain Delon, que dans toute la pesante œuvre de Terrence Malick. »
« ...a-t-il (Eric Rohmer) réussi à être un cinéaste populaire, et à faire vraiment, du haut de toute sa hauteur intellectuelle, de la série B acceptable ? Je le crois, dans une certaine mesure, même si cela emprunte les chemins détournés de la parodie. »
«  Mais quand il (Rohmer) suivait cette veine tardive du thriller politique, ça valait largement Pakula. »
                                                          Entretien avec Aurélien Bellanger  Télérama, 15-01-19

Ajoutons-y ce merveilleux éloge de Robert Zemeckis, le meilleur ceci, grand cinéaste de cela, le dernier des ceci etc.., ce qu’il faut en retenir …
Le plaisir d’apprécier une œuvre, voire d’analyser pourquoi pas, consiste toujours à asséner une leçon (« ce qu’il faut en retenir »). Et il faut que cela soit le plus, le meilleur, …
Le Maître Bellange n’est pas le seul à pratiquer cette discipline, mais bon il synthétise bien l’ensemble de ces « critiques » « analystes » de tout et n’importe quoi.
Avec France Culture, Télérama et compagnie, la culture est une purge (les films qu’il faut voir, les livres qu’il faut lire, les disques qu’il faut écouter). Et le plaisir dans tout ça ?

Philaunet 

Philaunet
Admin

123
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Re: Dans les journaux français - Ven 25 Jan 2019, 11:22

Curly(https://regardfc.1fr1.net/t548p120-dans-les-journaux-francais#32113) a écrit:(...)
                                                          Entretien avec Aurélien Bellanger  Télérama, 15-01-19

Ajoutons-y ce merveilleux éloge de Robert Zemeckis, le meilleur ceci, grand cinéaste de cela, le dernier des ceci etc.., ce qu’il faut en retenir …
Le plaisir d’apprécier une œuvre, voire d’analyser pourquoi pas, consiste toujours à asséner une leçon (« ce qu’il faut en retenir »). Et il faut que cela soit le plus, le meilleur, …
Le Maître Bellange n’est pas le seul à pratiquer cette discipline, mais bon il synthétise bien l’ensemble de ces « critiques » « analystes » de tout et n’importe quoi.
Avec France Culture, Télérama et compagnie, la culture est une purge (les films qu’il faut voir, les livres qu’il faut lire, les disques qu’il faut écouter). Et le plaisir dans tout ça ?
Il n'y en a pas, pas plus que d'humour. FC, Télérama & co cultivent l'injonction à faire et à ne pas faire : "Faut-il faire ça ou ça ?" Autrement dit, il faut faire l'un ou l'autre, choisissez, mais "il faut". Voir aussi les questions dans la suite 91 à 94. Ce qui débouche, comme ce forum le plaît à la répéter depuis sa création en aout 2009, sur des émissions moralisantes, sommant l'auditeur de voir le monde de telle ou telle manière, la kronlundienne militante ou la richeusiste nunuche.

Philaunet 

Philaunet
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124
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Plus payés que les conférenciers de France Culture : 3500 euros de l'heure - Ven 25 Jan 2019, 11:34

Le juteux business des ministres démissionnaires de Theresa May Les Échos Le 25/01/2019.

''Selon le « registre d'intérêts des députés britanniques » 2017-2019, Boris Johnson et David Davis, anciens ministres de Theresa May, touchent de gros chèques pour des discours et des conseils aux entreprises''.

"Basée à Rochester en Angleterre, JCB a versé 10.000 livres (11.584 euros) à Boris Johnson trois jours avant un discours en son siège"

"Le député d'Uxbridge and South Ruislip est déjà payé 23.000 livres (26.600 euros) pour sa tribune mensuelle dans le « Daily Telegraph » et avait reçu 28.900 livres (33.470 euros) pour une seule allocution en décembre. Invité par le « hedge fund » GoldenTree Asset Management, il aurait touché début novembre 2018  près de 121.000 dollars (106.000 euros) pour deux heures de discours. Soit 1.000 dollars la minute environ".

''l'ancien secrétaire d'Etat chargé au Brexit de Theresa May, David Davis, ayant démissionné face au « soft Brexit » que souhaitait imposer la Première ministre. Depuis, il a travaillé pour JCB pour 60.000 livres - soit 3.000 livres (3.473 euros) de l'heure - en tant que « conseiller extérieur ».''

Et en France ?

On se demande pourquoi certains s'évertuent à faire des réunions publiques usantes et sans obligation quand ils pourraient toucher deux fois leur salaire mensuel avec une seule allocution. Les convictions peut-être ?

Philaunet 

Philaunet
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125
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''Les réseaux sociaux et la dictature des minorités'' (A. L-L) - Lun 28 Jan 2019, 23:07

lesechos.fr le 28 01 2019 Les réseaux sociaux et la dictature des minorités par André Levy-Lang, président de l’Institut Louis Bachelier, est l'ancien président du directoire de Paribas.

Un invité pour un journal de France Culture ? Pour illustrer la variété des points de vue que vante la directrice Treiner ?

Huit paragraphes qui remettent les pendules à l'heure.

Philaunet 

Philaunet
Admin

126
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''La France vive et positive'' (Eric Le Boucher) - Sam 02 Fév 2019, 13:51

N'est pas lu par les sociologues et les militantes de France Culture : Et si l'on parlait de l'autre France, vive et positive ? Les Échos, 01 02 2019.

Début de la chronique : Les « gilets jaunes » ne sont pas le miroir de la France. La surexposition médiatique dont ils sont l'objet ne doit pas faire oublier l'effervescence entrepreneuriale à l'oeuvre dans notre pays, qui promet de dynamiser notre capitalisme.

Il ne faudrait pas croire et laisser croire avec la crise des « gilets jaunes » et avec la mauvaise tournure anti-ISF que prend le grand débat que la France est un pays de gens éternellement égalitaristes, immobilistes et aigris. Il ne faudrait pas, après ces semaines agitées, que la politique en revienne à la conclusion chiraquienne que les Français sont des râleurs frustrés et qu'il convient de ne rien changer sinon accéder à leurs demandes et les assister plus encore. Il est temps de rectifier cette triste perspective.

Eric Le Boucher se concentre sur l'économie, mais l'on pourrait évoquer aussi les arts, la musique, par exemple, où les Français sont des gagnants et très recherchés à l'étranger, cf. Sébastien Daucé et la musique française du 17ème siècle.

Philaunet 

Philaunet
Admin

127
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Sur le journaux français et en particulier sur ''L'Humanité'' - Jeu 07 Fév 2019, 09:48

Médias le 7 février 2019.

Un papier  sur les subventions publiques à la presse. Actualité : la cessation de paiements du journal "L'Humanité". Audrey Dumain interroge Patrick Eveno, historien spécialiste des médias.

"L'Humanité" va t-il continuer à paraître ? Le quotidien communiste fondé en 1904 par Jean Jaurès a été contraint de se déclarer en cessation de paiements fin janvier et risque la liquidation judiciaire. Le journal a plaidé lors d'une séance à huis clos, mercredi 30 janvier, le placement en redressement judiciaire avec poursuite de l'activité. Il fêtera cette année ses 115 ans et emploie près de 200 salariés, journalistes, employés et cadres.'

200 salariés... (pour 30 000 exemplaires).

La plus importante [subvention publique] est l’aide directe aux quotidiens nationaux à faibles ressources publicitaires (QFRP). C’est de celle-ci dont parle le directeur de l’Humanité dans son appel à la mobilisation générale.

Le but de cette aide est de maintenir en vie des journaux qui représentent des courants de pensées diverses et variées. Seulement, selon moi, ce sont des solutions à courte vue car, au fil du temps, ce genre de presse est amené à se retrouver sur le numérique et les réseaux sociaux. Il n'y aura donc plus besoin d'aides pour publier du papier.

(...)
Aujourd’hui, pour bénéficier de cette aide, les recettes publicitaires du journal ne doivent pas excéder 25% de ses recettes totales. Le journal doit également tirer moins de 150 000 exemplaires en ce qui concerne les quotidiens nationaux. "L'Humanité" bénéficie de cette aide depuis maintenant trente ans. C’est une aide déterminée chaque année lorsque le budget est voté par le Parlement sur proposition du ministère de la Culture et du Premier ministre
(...)
Combien de titres sont concernés ?

Quatre quotidiens en bénéficient : "L'Humanité" (un peu plus de trois millions d’euros par an), "Libération" et "La Croix" (un peu moins de trois millions d’euros par an) et "l'Opinion" depuis un an (un peu plus d'un million d’euros par an).


"J’avais proposé au moment des Etats Généraux de la presse (EGPE), en 2009, que nous fassions un gros "portail" très compétitif pour le pluralisme des médias, sur lequel pouvaient migrer tous les journaux. Une subvention qui serait vraiment conséquente pour avoir un site internet bien fait. Simplement, beaucoup de ces journaux sont encore fétichistes du papier et notamment "L’Humanité", qui veut absolument conserver son édition papier."

"L’Humanité assure que depuis la fin des Etats généraux de la presse en 2015, un million d'euros a été retiré au journal au titre de quotidien à faibles ressources publicitaires, comment expliquez-vous cela ?

Je ne suis pas d’accord avec ces chiffres. Les aides sont les mêmes pour "L'Humanité" depuis cinq ans. L’Humanité a toujours reçu un peu plus de trois millions d’euros depuis des années. Simplement, il a eu des aides ponctuelles supplémentaires, notamment lorsque François Hollande était Président, il avait effacé quatre millions de dettes sociales et fiscales que le groupe devait notamment à l'Urssaf.
"

Les travailleurs prélevés mensuellement par l'URSSAF et les entreprises créatives  seront heureux de l'apprendre.

Quel est le journal le plus aidé par l’Etat ?

Tout dépend de l'aide concernée. Si on regarde le montant de l’aide par exemplaire, "L’Humanité" est le journal le plus aidé. Il touche 46 centimes d’euros pour chaque exemplaire diffusé.


Un numéro coûte 2,20 euros.

"L’Humanité" se pose toujours en victime du grand capital et du pouvoir réunis mais la question est de savoir pourquoi seulement 30 000 personnes l'achètent aujourd'hui ? Le problème est sa ligne éditoriale. "L’Humanité" est en déclin permanent depuis les années 60 où il tirait à 150 000 exemplaires. Ensuite, il n’a cessé de baisser.

L’Etat et la presse ont-ils les pieds et les poings liés ?

Disons que dans un système capitaliste ordinaire, "L’Humanité" aurait disparu depuis 25 ou 30 ans, comme ont disparu "France Soir" ou d’autres journaux du même genre, qui n’avaient plus les moyens de survivre.

"L’Humanité" est très aidé parce que aucun président de la République, que ce soit François Mitterrand, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy ou François Hollande, n’a voulu le laisser mourir. Certainement par peur qu’on les accuse d’être partisan ou anti-communiste, je ne sais pas…


Reprenons tous en chœur [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/14310-05.02.2019-ITEMA_21973183-7.mp3 " debut="03:51" fin="04:00"]

****************

Recommandation du jour : La Conclusion du 06/02/2019 (ça faisait longtemps) sous-titrée pour les mal-comprenants. L'histoire pour les Nuls (et par les très Nuls).

Philaunet 

Philaunet
Admin

128
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La boulangère et le chroniqueur arrogant - Mer 20 Fév 2019, 14:28

Un exemple de l'imbécillité journalistique quotidienne, ici pêché dans la Croix « Ma baguette entière, je la veux entière ! » d'Alain Rémond (carrière Télérama, Nouvelles Littéraires, Arrêt sur Images, Mariane, La Croix).

Fabriquer un malentendu (s'il est réel de sa part, c'est grave) afin de conclure sur sa morale à deux balles, méprisante pour la boulangère sans reproche : "Et on s’étonne (...)  que les Français se comprennent de moins en moins…".

antonia 


129
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Re: Dans les journaux français - Ven 22 Fév 2019, 20:30

Alain Rémond
Philaunet, je crois qu'il y a erreur sur la personne! je ne connais pas la teneur de ce billet, mais je peux vous assurer qu'Alain Rémond est le contraire d'un journaliste arrogant.Je le lis depuis très longtemps avec grand bonheur, dans plusieurs des journaux cités et, en exagérant, je dirais presque que je ne lisais ces journaux que parce qu'il y tenait une chronique!
Dans Télérama et Marianne, cette chronique occupait une page et c'était souvent délirant.En effet, Alain Rémond a le chic pour débusquer l'absurdité de situations de la vie quotidienne ou journalistique.Je me souviens de délires à propos de cintres...c'était hilarant.
Il est issu d'un milieu très , très modeste et  a toujours beaucoup de sympathie pour les humbles.Alors, je ne sais pas pourquoi il a paru se moquer d'une boulangère ? c'est un malentendu probablement.

Philaunet 

Philaunet
Admin

130
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Re: Dans les journaux français - Ven 22 Fév 2019, 23:27

antonia(https://regardfc.1fr1.net/t548p120-dans-les-journaux-francais#32367) a écrit:Alain Rémond
Philaunet, je crois qu'il y a erreur sur la personne! je ne connais pas la teneur de ce billet, mais je peux vous assurer qu'Alain Rémond est le contraire d'un journaliste arrogant.Je le lis depuis très longtemps avec grand bonheur, dans plusieurs des journaux cités et, en exagérant, je dirais presque que je ne lisais ces journaux que parce qu'il y tenait une chronique!
Dans Télérama et Marianne, cette chronique occupait une page et c'était souvent délirant.En effet, Alain Rémond a le chic pour débusquer l'absurdité de situations de la vie quotidienne ou journalistique.Je me souviens de délires à propos de cintres...c'était hilarant.
Il est issu d'un milieu très , très modeste et  a toujours beaucoup de sympathie pour les humbles.Alors, je ne sais pas pourquoi il a paru se moquer d'une boulangère ? c'est un malentendu probablement.
Bonjour antonia, merci de votre réaction. Alain Rémond est bon enfant, toujours souriant, il est vrai. Si vous lisez la chronique (quand même), vous voyez qu'il crée lui-même le malentendu mettant la boulangère dans le rôle de celle qui ne comprend rien (alors qu'elle est parfaitement logique) pour pouvoir conclure sur une pirouette dans l'air du temps (les Français ne se comprennent pas). Il ajoute ainsi sa petite musique à l'ensemble de la presse sous des airs souriants (on est à La Croix) mais sans ambiguïté sur le fond cette fois-ci : les Français se disputent, se disputent et se disputent. Jusqu'à savoir s'il faut couper le pain ou non. La boulangerie a un rôle symbolique fort dans l'imaginaire français, comme le café. Au cœur du cœur de l'identité française où normalement les choses vont de soi parce qu'on connaît tous les codes pour les pratiquer quotidiennement, eh bien non, on arrive encore à se chamailler. Mais "on" c'est qui pour le lecteur ? Une boulangère anonyme et un monsieur connu de la presse et de la télé. Et sachant cela, à qui le lecteur lambda donne crédit ? C'est pourquoi j'ai utilisé ce terme, il y a un indéniable sentiment de supériorité (du client chicaneur) qui émane de cette scène.

Alain Rémond sous prétexte de faire de l'humour joue la partition de la relation conflictuelle entre Français (fantasmée ici) pour pouvoir faire écho à l'actualité.

Cela dit, on est dans une autre dimension que celle cultivée à France Culture où la polarisation conflictuelle traquée ou fabriquée, puis assénée à longueur de journée, est le pain béni des producteurs qui s'érigent ensuite en donneurs de conseils et thérapeutes sociaux. A-lié-nant.

Fontaine 

Fontaine

131
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Les deux bouts de la baguette et les deux bouts du bout de la baguette - Mar 26 Fév 2019, 07:54

"Ma baguette je la veux entière, je la veux entière." par Alain Rémond dans le journal la Croix.

Au départ le client voulait 1,5 baguette (une et une demi), c'est assez simple mais là où cela se complique c'est qu"il est une tradition (je ne parle pas de la baguette tradition) pour certaines boulangeries de proposer de couper les baguettes en deux bouts (ou morceaux) pour des raisons d'encombrement : deux morceaux de baguette de 34 cm étant moins encombrants qu'une baguette entière de 68 cm. Donc la boulangère proposait trois bouts de baguette de 34 cm ce qui aurait donné six bouts de baguette, chacun des bouts de baguette ayant 2 bouts or le client ne voulait de quatre bouts de baguette(deux pour l'entière et deux pour la moitié de baguette).

signé Alain Rémond Devos.

Monsieur P., un peu d'humour ça mange pas de pain
Scusez-moi votre baguette est ouverte et puis après quatre interventions sur la baguette on aimerait bien en voir le bout.

NB: Alain Rémond fait une faute d'insistance en répétant "je la veux entière"surtout qu'il ne s'agit pas de pain béni.

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Re: Dans les journaux français -

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