Faire entrer de force au chausse-pied le passé dans le soulier contemporain en vente dans la boutique de France Culture : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11498-02.04.2017-ITEMA_21279188-0.mp3" debut="00:43" fin="01:00"] et [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11498-02.04.2017-ITEMA_21279188-0.mp3" debut="06:05" fin="06:48"] (pastilles fonctionnent)
Deux extraits de l'entretien avec Jean-Noël Jeanneney en introduction à Scènes mémorables du Tour de la France par deux enfants actuellement en Proposition d'écoute suggérée par un lecteur de Regards. Il y aurait bien d'autres choses à citer qui font bondir, mais pas de temps à perdre.
À l'époque Regards avait mentionné ce week-end de l'entre-soi bienpensant de France Culture avec Marie Richeux en maîtresse de marelle devant le Centre Pompidou, je n'y reviens pas (et nous n'en revenions pas).
Il faut plus de sept minutes pour que, enfin, Jeanneney mentionne, mais seulement en passant, que les deux enfants quittent, c'est-à-dire fuient, la Lorraine fraîchement occupée par les Allemands en 1871. C'est la donnée première de ce livre et par quoi le reste s'explique. Par ailleurs, la présentatrice et l'ex-directeur de la BNF rivalisent d'adjectifs pour louer le style du texte. Il ne faut jamais avoir lu un livre, par exemple de contes de Perrault, pour dire une ânerie pareille, sauf si "bien écrit" signifie aligner "sujet verbe complément" 150 pages d'affilée. Jeanneney assimile "bien écrit" à "phrases courtes"... On ne s'étonne plus du Prix Nobel à Modiano et de la durassomanie. Allez, Proust au pilon ! En plus d'être soporifique, ce livre est illisible aujourd'hui. Sa qualité est probablement d'être twitto-compatible, d'où l'émerveillement...
Deux extraits de l'entretien avec Jean-Noël Jeanneney en introduction à Scènes mémorables du Tour de la France par deux enfants actuellement en Proposition d'écoute suggérée par un lecteur de Regards. Il y aurait bien d'autres choses à citer qui font bondir, mais pas de temps à perdre.
À l'époque Regards avait mentionné ce week-end de l'entre-soi bienpensant de France Culture avec Marie Richeux en maîtresse de marelle devant le Centre Pompidou, je n'y reviens pas (et nous n'en revenions pas).
Il faut plus de sept minutes pour que, enfin, Jeanneney mentionne, mais seulement en passant, que les deux enfants quittent, c'est-à-dire fuient, la Lorraine fraîchement occupée par les Allemands en 1871. C'est la donnée première de ce livre et par quoi le reste s'explique. Par ailleurs, la présentatrice et l'ex-directeur de la BNF rivalisent d'adjectifs pour louer le style du texte. Il ne faut jamais avoir lu un livre, par exemple de contes de Perrault, pour dire une ânerie pareille, sauf si "bien écrit" signifie aligner "sujet verbe complément" 150 pages d'affilée. Jeanneney assimile "bien écrit" à "phrases courtes"... On ne s'étonne plus du Prix Nobel à Modiano et de la durassomanie. Allez, Proust au pilon ! En plus d'être soporifique, ce livre est illisible aujourd'hui. Sa qualité est probablement d'être twitto-compatible, d'où l'émerveillement...