C’était prévisible, quand on interroge le genre pour la millième fois, et concon fie la chose confite au meilleur d’entre les pires producteurs, ça donne de la daube en sauce sans sauce.
Je passe vite fait tous les clichetons qui défilent, car ils pointent tous présents, et les extraits écoutés indiquent bien que vous écoutez des analyses éclairantes qui démontrent en l’affirmant (la classe) que « les hommes ont peur de l’impuissance », et que si l’homme, celui avec des hormones à zigounette, n’a pas de boulot dans lequel il se sent bien dans son corps à zigounette, eh bien il est « angoissé » et « extrêmement perturbé ». Alors que les femmes, non. C’est bien connu.
Mais j’avais dit que je passerai tous les clichetons, donc je vais passer les neuneuteries platounettes et lapalissantes qui démontrent avec pénétration (c’est le côté masculin de LSD) que la sociologie de Sciences po, c’est pas d’la merde.
L’écoute de la seconde partie est édifiante,
tellement édifiante qu’au bout du dixième euh dans la même phrase, on stoppe la masturbation intellectuelle et on l’émascule une bonne fois pour toutes. [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10177-15.01.2024-ITEMA_23614800-2024C26362E0006-21.mp3"debut="01:44" fin="02:28"]
La personne que vous entendez dans cet extrait est présentée comme "essayiste" dans la fournée de LSD. Incomplet, il manque "militante féministe, trans et lesbienne, membre du collectif ''Toutes Des Femmes''."
Extrait de ses théories : "l'amour des hommes pour les femmes n'est pas un cadeau (...) en un sens les hommes préfèrent de toute façon les hommes, ce qui ne les empêche pas d'être homophobes." CQFD. C'est évident.
Je passe vite fait tous les clichetons qui défilent, car ils pointent tous présents, et les extraits écoutés indiquent bien que vous écoutez des analyses éclairantes qui démontrent en l’affirmant (la classe) que « les hommes ont peur de l’impuissance », et que si l’homme, celui avec des hormones à zigounette, n’a pas de boulot dans lequel il se sent bien dans son corps à zigounette, eh bien il est « angoissé » et « extrêmement perturbé ». Alors que les femmes, non. C’est bien connu.
Mais j’avais dit que je passerai tous les clichetons, donc je vais passer les neuneuteries platounettes et lapalissantes qui démontrent avec pénétration (c’est le côté masculin de LSD) que la sociologie de Sciences po, c’est pas d’la merde.
L’écoute de la seconde partie est édifiante,
tellement édifiante qu’au bout du dixième euh dans la même phrase, on stoppe la masturbation intellectuelle et on l’émascule une bonne fois pour toutes. [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10177-15.01.2024-ITEMA_23614800-2024C26362E0006-21.mp3"debut="01:44" fin="02:28"]
La personne que vous entendez dans cet extrait est présentée comme "essayiste" dans la fournée de LSD. Incomplet, il manque "militante féministe, trans et lesbienne, membre du collectif ''Toutes Des Femmes''."
Extrait de ses théories : "l'amour des hommes pour les femmes n'est pas un cadeau (...) en un sens les hommes préfèrent de toute façon les hommes, ce qui ne les empêche pas d'être homophobes." CQFD. C'est évident.