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La Dispute (par Arnaud Laporte)    Page 30 sur 31

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Philaunet 


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Re: La Dispute (par Arnaud Laporte) - Jeu 09 Mai 2019, 13:53

Références du numéro du 08/05/2019 de La Dispute (arts plastiques), "Eldorama" au Tripostal

Pour une écoute de la présentation et du premier commentaire, c'est dans le post suivant (1er de la page) pour que les pastilles soient téléchargeables immédiatement. On ne manque rien en ne les entendant pas, remarquez Smile

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Rien - Jeu 09 Mai 2019, 14:02

Philaunet(https://regardfc.1fr1.net/t231p280-la-dispute-par-arnaud-laporte#32989) a écrit:
Références du numéro du 08/05/2019 de La Dispute (arts plastiques), "Eldorama" au Tripostal

Pour une écoute de la présentation et du premier commentaire, c'est dans le post suivant (1er de la page) pour que les pastilles soient téléchargeables immédiatement. On ne manque rien en ne les entendant pas, remarquez Smile
Donc l'art du commentaire à la Dispute : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-08.05.2019-ITEMA_22056249-0.mp3" debut="08:15" fin="12:46"]

La présentation ? [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-08.05.2019-ITEMA_22056249-0.mp3" debut="04:08" fin="08:14"]

Philaunet 

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Article promotionnel - Jeu 16 Mai 2019, 10:26

Télérama via Laurence Le Saux, la déléguée à la promotion de France Culture, publie  Quand c’est “La Dispute” sur France Culture, on discute et on explique le 14/05/2019.

" (...) La dispute, sur France Culture. Depuis huit ans, on y disserte une heure durant de l’actualité de la musique, du spectacle vivant, de la littérature, des arts plastiques, du cinéma ou de la bande dessinée. Sur ce terrain de joutes journalistiques, un trio de critiques – tournants (dont parfois ceux de Télérama) – décrit trois œuvres différentes et donne un point de vue longuement argumenté, offrant souvent de mini-débats sensibles."

Qu'est-ce qu'un mini-débat "sensible" ? Voir dans ce fil... Et puis "ceux de Télérama", c'est surtout Fabienne Pascaud,  directrice de la rédaction.

De temps en temps, un article pour louer l'émission dans laquelle on intervient, ça ne fait pas de mal et entretient de bonnes relations.

On cherche quelque part, en vain, un lieu d'analyse critique des émissions de France Culture qui ferait la part des bonnes et des mauvaises émissions, des qualités et défauts de certaines. La Dispute gagnerait à être animée par Laporte seul avec un intervenant sérieux durant une demi-heure maximum. Mais il faudrait vouloir faire de la radio qui s'écoute et non qui se perçoit de loin par bribes, comme ambiance verbale chic.

Philaunet 

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Remontrance publique - Jeu 23 Mai 2019, 09:54

Pourquoi  Arnaud Laporte ne rappelle-t-il pas à l'ordre les critiques indisciplinés APRÈS l'émission plutôt que pendant ?

AL, en contrepoint, en trois interventions : "Je vous remercie / de la poser / comme je viens de le dire pendant que vous écriviez sur votre téléphone" : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-22.05.2019-ITEMA_22068444-0.mp3" debut="24:45" fin="25:09"]

Quelques sondages dans l'émission  confirment qu'elle est inécoutable, sauf si l'on aime le bruit de fond, celui que l'on retrouve dans la majorité des émissions et qui est privilégié par la Direction comme produit radiophonique.

La Dispute 22/05/2019


Philaunet 

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Prenons un peu de re-cul - Ven 31 Mai 2019, 08:02

Qu'allons-nous ("nous" ?) entendre (et lire et voir) dans la La Dispute du 31-05-2019 ? Surprise ! Indice : hier, un certain A.B. a fait, dans sa chronique, une outrancière promotion du film de son amie dans lequel il joue (d'après ses dires). Si seulement ça pouvait être lui au réel dans la vidéo de promo entre 1:00 et 1:03 sur la page de l'émission !

Le film discuté en premier ce soir,  "Sibyl". L'impression après extraits : plans cul à tire-larigot et scènes de crise (débiles et pas crédibles pour une seconde). Devrait plaire à une majorité de jeunes et moins jeunes employées de la station, visez plutôt le synopsis du film : Sibyl est une romancière reconvertie en psychanalyste. Rattrapée par le désir d'écrire, elle décide de quitter la plupart de ses patients. Alors qu'elle cherche l'inspiration, Margot, une jeune actrice en détresse, la supplie de la recevoir. En plein tournage, elle est enceinte de l'acteur principal… qui est en couple avec la réalisatrice du film. Tandis qu'elle lui expose son dilemme passionnel, Sibyl, fascinée, l’enregistre secrètement. La parole de sa patiente nourrit son roman et la replonge dans le tourbillon de son passé. Quand Margot implore Sibyl de la rejoindre à Stromboli pour la fin du tournage, tout s'accélère à une allure vertigineuse…

Le financement public du cinéma français pour des films qui sont la risée de la critique internationale, si toutefois elle les voit, est encore une des choses qu'il serait urgent de réformer.

Philaunet 

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Confirmation d'entrée - Dim 02 Juin 2019, 13:47

Philaunet(https://regardfc.1fr1.net/t231p290-la-dispute-par-arnaud-laporte#33156) a écrit:Qu'allons-nous ("nous" ?) entendre (et lire et voir) dans la La Dispute du 31-05-2019 ? Surprise ! Indice : hier, un certain A.B. a fait, dans sa chronique, une outrancière promotion du film de son amie dans lequel il joue (d'après ses dires). Si seulement ça pouvait être lui au réel dans la vidéo de promo entre 1:00 et 1:03 sur la page de l'émission ! (...)
Bon, le conclusionneur joue bien dans le film, dont la réalisatrice, dixit A.B., est la meilleure amie de sa compagne et emploie aussi son fils : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-31.05.2019-ITEMA_22076447-0.mp3" debut="07:14" fin="07:50"]

Les critiques n'ont rien compris au film, disent-ils. Laporte est en congé et remplacé par une femme (rappel : "l'avenir de la gauche", selon Florian Delorme, et de l'humanité + la planète, selon le reste de la chaîne, surtout si ado et suédoise) qui n'a pas de nom sur la page (l'égalité a encore du chemin à faire sur FC...). Son commentaire initial signe l'esprit et le contenu du film dont la bande-annonce insupportable est comme toujours diffusée à l'antenne alors qu'elle n'a absolument aucun sens sans les images (et même avec).

À suivre.

Philaunet 

Philaunet
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Enfin un volcan ! Le Stromboli.... - Dim 02 Juin 2019, 22:48

Suite et fin du message précédent. On comprend pourquoi Aurélien Bellanger aime le film dans lequel il joue et que réalise sa très bonne amie : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-31.05.2019-ITEMA_22076447-0.mp3" debut="19:44" fin="19:58"]. Nous sommes à la minute 20. Le dézingage se poursuit et Antoine Guillot (qui va jouer dans un futur film de l'amie de son ami ?) tente par des moyens incompréhensibles de sauver le film du siècle (en gros, le film ne tient pas debout, c'est pour ça qu'il lui plaît...).

Quelle est la meilleure pub pour le film selon Corinne Rondeau ? [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-31.05.2019-ITEMA_22076447-0.mp3" debut="11:20" fin="11:30"]

Plus loin, la critique, qui dit par ailleurs ne jamais écouter la radio (pour une participante  à une émission de radio, ça s'impose...), n'y va pas avec le dos de la cuillère : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11981-31.05.2019-ITEMA_22076447-0.mp3" debut="15:26" fin="16:18"]

Cette critique dure un petit quart d'heure.

Philaunet 

Philaunet
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Une icône - Ven 28 Juin 2019, 10:47

Munstead, on ne touche pas à La Dispute ! Arnaud Laporte est très susceptible et est capable de rappliquer en répétant qu'il a " La nausée devant ce torrent de boue (pour ne pas écrire autre chose)" (Tweet adressé à RegardFC le 26 09 2018).

À France Culture, en long et en large, on incrimine, on dénonce et l'on accuse, on salue les lanceurs d'alerte, mais la moindre critique étayée adressée à la station est censurée ou traitée de "torrent de boue". C'est ainsi qu'à FC l'on favorise le pluralisme de l'expression publique...

Aussi cette opinion sur l'émission du 24 06 2019, contenant la critique de   "Why?" jusqu'au 13 juillet au Théâtre des Bouffes du Nord ne doit-elle faire l'objet d'aucun relais à France Cultrue pour que personne ne fasse un coup de chaud (impossible d'ailleurs grâce aux éventails distribués à Radio France, car de climatisation il ne peut être question, Greta ne serait pas contente, hein ? Et la planète, il faut la sauver ! )
munstead(https://regardfc.1fr1.net/t194p360-la-direction-de-france-culture-et-son-projet-culturel#33344) a écrit: (...) Cette attitude satisfaite, ce ton rappelle celui de certaines émissions, comme la Dispute. Hier soir, débat autour du dernier spectacle de Peter Brook. La vacuité du contenu n'avait d'égale que le trop-plein de félicitations, d'hommage ému tout en pilotage automatique
C'est Brook donc c'est bien. Une critique parlera quand même d'ennui au bout de 20 minutes, mais elle se reprendra et rejoindra le chœur des louanges. Brook "pose les grandes questions", répété plusieurs fois, mais on ne saura jamais lesquelles. "Les dernière phrases sont merveilleuse, d'une force! Mais je ne m'en souviens plus" précisera une intervenante. On ne comprendra rien à cette pièce, si pièce il y a. Arnaud Laporte préside à ce débat creux, rectifiant juste une date, celle de la mort de Maïakovski qu'il vérifie sur Google. Pour rire: un critique parle "du confort du Théâtre des Bouffes du Nord" quand il s'agit de la salle la plus inconfortable de Paris. On évoque une tournée mondiale de Brook avec ce spectacle-testament en Afrique, en Asie, partout, et on souhaite bien du plaisir aux spectateurs locaux. Un spectacle France Culture
Il est possible d'admirer la "Présentation officielle", tant pour la langue, "Meyerhold fut un des plus grands metteurs en scène que le théâtre a connu" [ait connus] que pour l'emphase puérile et naïve de : "pour des raisons magnifiques dictées par son cœur il n’a jamais pu accuser ce régime qui allait lui faire perdre sa vie --- il a cru jusqu’au bout --- emprisonné --- torturé – que la Révolution allait gagner et qu’il allait être sauvé".

Un jugement sorti des tiroirs idéologiques de France Culture, on croirait lire du Treiner (voir aussi les mêmes mots pour juger la lecture-spectacle Gatsby) : "Peter Brook veut faire un théâtre accessible, savant et érudit, qui accueille les gens quels qu’ils soient. Cette pièce est, par sa simplicité, audible à tout le monde. Il met sur le plateau des questions que tout un chacun peut se poser. C’est magnifique, beau, émouvant et intelligent.  Marie-José Sirach"

Autre citation reproduite sur la page : "Le propos, aussi simple puisse-t-il être, nous emmène dans des abysses de réflexions possibles. Rares sont les metteurs en scène qui osent le faire. (...) Jean-Christophe Brianchon".  J'ai toujours entendu "abîmes de réflexion", mais cette variation n'est certainement pas due à l'ignorance de l'expression par Monsieur Brianchon.

Enfin, une citation pour montrer une (si) légère pointe de désaccord exprimée dans la Novlangue si en vogue à France Culture : "Je suis plus sensible à la poésie qu’à la partie politique du spectacle, ce qui explique que j’ai préféré la première partie. J’ai trouvé la seconde partie plus pédagogique et suis sortie du processus théâtral. Marie Sorbier"

"Pédagogique" pour "idéologique",  à retenir.

Philaunet 

Philaunet
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Du théâtre insuffisamment politique - Mer 17 Juil 2019, 09:23

Curly(https://regardfc.1fr1.net/t370p190-le-paradigme-ideologique-de-france-culture#33480) a écrit:Voici quelques extraits d'un article de Lucile Commeaux :
de quoi parle-t-elle ? La réponse en suivant le lien, mais il est conseillé de lire d'abord ce qui suit. C'est troublant. On a l'impression qu'elle décrit les programmes de jour de France Clutrure (...)
Étonnante à première vue, cette attaque du théâtre de gauche bien-pensant, lequel rassemble pourtant tous les thèmes quotidiens de la station. Car tout est là ou presque en effet. Citations tirées du texte :

  • on se conforte entre voisins de se prêter au jeu de la justice sociale
  • une forme de discours anti-capitaliste de mauvais tract
  • une apocalypse écologique totale, dont nous sommes, évidemment, les responsables
  • un parallèle déjà fort éculé: celui qui rapproche à gros traits les horreurs du vingtième siècle et notre sombre époque à nous: la catastrophe monte,
  • On nous assène des messages simples, dans des formes directes, pour être bien sûrs qu’on ait compris
  • Le spectacle de Christiane Jatahy finit, à force de simplisme, par user de ressorts démagogiques
  • le fascisme est à nos portes, c’est simple non?
  • les spectacles mentionnés (...) prévenant, re-prévenant, répétant sur tous les registres que le monde va mal.
  • Ces spectacles semblent reproduire (...) une bien pauvre pensée moins politique que morale, celle de la gauche molle, qui incite au repli sur des valeurs humanistes vidées par le cliché et la comparaison historique hâtive

Mais en réalité qu'en est-il ? Lucile Commeaux, employée par Arnaud Laporte à La Dispute ne fait que développer l'argument de ce dernier (cf. Ça manque de politique ) : ce théâtre est bourgeois, il n’est pas révolutionnaire, il n'est pas réellement politique alors qu'il devrait justement être cela.

Laporte : « Pascal Rambert rate l’occasion de porter le politique dans la Cour d’Honneur » /  «  (...) ce spectacle [...] ne fait que conforter le public dans ses craintes néo-bourgeoises et ses indignations calibrées » / « Cette pièce, qui se voudrait politique, en est un exact opposé, un prêt-à-penser confortable (...) ».

Commeaux : "une pensée censément de gauche, politiquement pauvre et nocive dans son inefficience." / "Aucun collectif, aucune lutte, aucune révolte. D’ailleurs, on sort heureux" / "Dans le fond la succession de ces spectacles, dans leur cohérence et le discours qu’ils produisent fondent tout sauf une responsabilité politique".

Le compère et la commère se sont bien sûr entendus pour produire le même discours : les spectacles d'Avignon esthétisent les drames, mais ne produisent pas de mobilisation politique. Fallait-il attendre une autre perspective critique des employés de France Culture ?

Sinon, comme le long texte de Commeaux  (une seule faute : "dissoner" en français n'a qu'un "n", tout correcteur informatique le signale) s'intitule A Avignon, la misère est plus pénible au soleil, on en a profité pour se faire un petit karaoké sur Emmenez-moi - Charles Aznavour après l'écoute d'une interprétation de concert. Bon exercice de diction soit dit en passant, à conseiller aux producteurs.

Il y a toujours quelque chose à tirer de la fréquentation de France Culture.

Philaunet 

Philaunet
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Durable, surtout - Dim 21 Juil 2019, 08:42

Arnaud Laporte croit-il promouvoir une pièce de théâtre en répétant trois fois en quelques lignes  que le spectacle "instille un malaise durable " ?

"Festival d'Avignon : avec “La brèche”, Tommy Milliot instille un malaise durable" le 20/07/2019.

"Le jeune metteur en scène Tommy Milliot monte une pièce de Naomi Wallace, et instille un malaise durable dans l’esprit des spectateurs".

"Le spectacle est fort, ses interprètes très bien dirigés, et crée un malaise durable. On souhaite une belle carrière à Tommy Milliot".

En même temps, c'est bien, le potentiel spectateur (qui a lu Laporte) ne peut s'en prendre qu'à lui même s'il est contaminé comme le critique par "un malaise durable".

À France Culture, on aime se délecter à regarder passer les catastrophes.

Philaunet 

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Vedettariat - Dim 25 Aoû 2019, 10:05

Des employés de micro à France Culture répondent à des questions face à la caméra depuis le début de l'été. Le 23 août, Arnaud Laporte.

  • Etes-vous attentif aux messages des auditeurs ?
  • Le message d’auditeur qui vous a le plus marqué ?
  • Quel auditeur êtes-vous ?

Comme l'on sait, Arnaud Laporte n'est pas le moins intelligent des employés de France Culture. Il sait gérer sa carrière. Aussi aime-t-il tout à France Culture (comme Marie Richeux). Notamment le programme des Nuits. Quelques-uns des contributeurs de forum ont donc des goûts communs avec l'animateur de la Dispute.

On ne lui reprochera presque rien des propos qu'il tient dans les trois minutes de mise en valeur de sa personne offertes par la Médiatrice (est-ce son rôle ?). Tout au plus pourra-t-on lui rappeler que parler plusieurs fois de la province quand il est question de la critique du parisianisme peut irriter les habitants de ce pays qui habitent dans une autre région que l'Île-de-France.

M. Laporte, comme d'autres de la station, se pense au centre et voit ce qui n'est pas ce centre comme une périphérie. Si l'on adopte cet état d'esprit, l'Île-de-France fait alors partie de la province pour des habitants de Bordeaux ou de Mulhouse ancrés dans leurs villes.

Il faudra bien des efforts à Radio France en général et à France Culture en particulier pour intérioriser que la région où sont installés leurs bureaux est une des dix-huit grandes régions administratives françaises et non une entité supérieure aux autres. Parler de "province", c'est en filigrane approuver un certain paternalisme et afficher un "biais implicite" envers les auditeurs autres que parisiens. Pour une radio qui se pique de donner des leçons d'anti-discrimination...

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Re: La Dispute (par Arnaud Laporte) -

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