Alors, comme ça, Antoine Arnoux, vous relancez le fil « Pas la peine » avec l'archi-nullissime Richeux ?
On a cliqué sur le lien, en ajoutant une visite de site au score de Richeux qui doit compter les clics comme autant de votes en sa faveur, la pauvre, et on a lu du texte d'une imbécillité (ou imbécilité, selon la réforme de 1990) rare (pas chez elle).
D'abord, aucune ponctuation ou alors complètement erratique, aucun guillemet, aucune mise en page, du brut de décoffrage et de la sortie de cerveau vide :
«
Combien de temps avons-nous passé à rêvasser devant des silhouettes audacieusement arrangées, sur le quai du RER B ? » C'est l'activité de la Parisienne chic. Et moi je vais lui parler du Tram Rotonde, ça lui dit quelque chose à Richeux, le tram strasbourgeois Rotonde ? On se fout de sa vie et de son RER à Richeux, France Culture n'est pas une radio de et pour les Parisiens, c'est une radio nationale.
Et pourtant elle ne sait même pas écrire « Châtelet » alors qu'elle y passe chaque jour : «
toutes les rues mènent à Chatelet » . C'est vrai que le nom des stations n'est pas très intéressant puisque «
il y a dans ce cœur crasseux de Paris de quoi se régaler les yeux ».
«
Vers 16h50, on quitte les baskets colorés et autres dégaines enviables. »
Un basket, quoi ! Et les baskets, ça fait partie de la catégorie des dégaines ? Plus c'est mauvais et plus ça passe. Mais ce qui restera ce sont ces textes écrits par une illettrée qui, comble du comble, se fait maintenant publier (compte d'auteur ? Famille bienveillante ?) et qui va aller vendre sa soupe dans d'autres studios.
«
Le polaroid du jour est un taxi je pense. » «
un taxi je pense », on ne comprend rien, mais l'important était que Richeux pollue une page de France Culture (croulant déjà sous les immondices) et soit payée pour y déposer ses misérables lignes.