France Cturture lutte pour la liberté d’expression, qui ne s’use que quand l’on ne s’en sert pas, comme le caquette le canard enchaîné. A France Cutrure, elle est déchaînée la liberté d’expression, et il est temps de rendre hommage à Mariri Cheux, la championne de la liberté :
« Chaque soir, dans la plus grande liberté de parole, femmes et hommes déploient leur pensée... »
Imaginez que chaque soir la pensée déploie ses ailes, prend son envol, pour se crasher sur :
« Le sujet, c'est mon sujet »
« Ma démarche, qui est un peu singulière, consiste à arriver quelque part sans sujet, sans projet, dans l’errance totale, et dans l’ignorance la plus garantie. »
« En fait, j’ai une mémoire défaillante, parce que je n’écoute pas toujours les contenus, et que je suis pris par les flux et les reflux des écoulements. »
« Pour moi, la vie est d’abord organique, et tous les outils qui nous désorganisent me posent problème. »
« Il n’y a que des personnes uniques »
On peut rajouter ces pensées, qui, faut-il le rappeler, ne sont nullement parodiques, ce qui est extrêmement surprenant et donc drôle aussi, à celles-ci :
« Le français me donne la possibilité d’être juste dans les mots »
« La chose la plus destructrice, c’est de devoir être responsable de ce à quoi on a consenti »
« La littérature, c’est un laboratoire de la compréhension »
« Pour moi, un livre, c’est un objet qui parle avec une exposition »
« Je suis pour aller vers la vérité »
« Le livre est fondé sur cette intrication du vrai et du faux »
« C’est un privilège de pouvoir dire la vérité »
C’est vrai, la liberté d’expression ne s’use que quand l’on ne s’en sert pas, et avec Mariri Cheux, cette liberté, elle est tout abîmée.
Pendant ce temps, des programmes de nuit, jugés certainement trop culturels pour la station de tous les savoirs, se retrouvent sans aucune page de présentation.
Exemple ces dernières nuits, avec ces émissions de Jean Montalbetti au sujet pourtant éminemment politique, mais peut-être pas assez partisanes et militantes, pas assez bafouillantes, autant dire trop radiophoniques et pas assez inaudibles.
Ou alors
Ou encore ces entretiens dont au sujet desquels il conviendra de revenir dans le fil idoine
« Chaque soir, dans la plus grande liberté de parole, femmes et hommes déploient leur pensée... »
Imaginez que chaque soir la pensée déploie ses ailes, prend son envol, pour se crasher sur :
« Le sujet, c'est mon sujet »
« Ma démarche, qui est un peu singulière, consiste à arriver quelque part sans sujet, sans projet, dans l’errance totale, et dans l’ignorance la plus garantie. »
« En fait, j’ai une mémoire défaillante, parce que je n’écoute pas toujours les contenus, et que je suis pris par les flux et les reflux des écoulements. »
« Pour moi, la vie est d’abord organique, et tous les outils qui nous désorganisent me posent problème. »
« Il n’y a que des personnes uniques »
On peut rajouter ces pensées, qui, faut-il le rappeler, ne sont nullement parodiques, ce qui est extrêmement surprenant et donc drôle aussi, à celles-ci :
« Le français me donne la possibilité d’être juste dans les mots »
« La chose la plus destructrice, c’est de devoir être responsable de ce à quoi on a consenti »
« La littérature, c’est un laboratoire de la compréhension »
« Pour moi, un livre, c’est un objet qui parle avec une exposition »
« Je suis pour aller vers la vérité »
« Le livre est fondé sur cette intrication du vrai et du faux »
« C’est un privilège de pouvoir dire la vérité »
C’est vrai, la liberté d’expression ne s’use que quand l’on ne s’en sert pas, et avec Mariri Cheux, cette liberté, elle est tout abîmée.
Pendant ce temps, des programmes de nuit, jugés certainement trop culturels pour la station de tous les savoirs, se retrouvent sans aucune page de présentation.
Exemple ces dernières nuits, avec ces émissions de Jean Montalbetti au sujet pourtant éminemment politique, mais peut-être pas assez partisanes et militantes, pas assez bafouillantes, autant dire trop radiophoniques et pas assez inaudibles.
Ou alors
Ou encore ces entretiens dont au sujet desquels il conviendra de revenir dans le fil idoine