Oui, X. de la Porte tend à « incarner » France (in)Culture. Ne prononce-t-il pas désormais une chronique « quotidienne » dans l'émission de Marc Voinchet ? Comme il affectionne la parodie, la postmodernité, la parodie postmoderne et la postmodernité parodique (waouh, quel chiasme !), « la partie numérique de ''Ce qui nous arrive'' » a été intitulée par lui : « Ceci n'est pas un blog » (nom d'une pipe !). D'après le lien dont Philaunet vient de nous faire part (voir supra), « Place de la toile », samedi prochain, portera sur « Proust et les technologies, ce que Proust disait des technologies de son époque, ce que les nouvelles technologies apportent aux études proustiennes » (waouh, l'antimétabole !). Ce programme ne laisse pas d'inspirer de l'inquiétude (à France (in)Culture, on dirait : « Ce programme, ça, au fond, interroge quand même quelque part »). Proust ne disait rien des « technologies de son époque ». En (bon) français, ce que M. X. de la Porte appelle, à la mode anglaise, technologies se nomme techniques (le substantif français technologie revêt un autre sens - qui se perd).Yann Sancatorze a écrit:Sans vouloir être mesquin, quand Xavier Delaporte vous annonce qu'il va vous parler de Proust, il ne faut pas s'attendre à une chronique stellaire, riche et éblouissante. Il ne faut même pas s'attendre à ce qu'il en parle. Mais il représente bien le France Culture d'aujourd'hui : de la paresse intellectuelle, un bagage littéraire tellement léger qu'il ne dépasse pas le cliché, mais le tout masqué et excusé par du paradigme artistique du rapport au rapport du décalage du sens sémantique du geste symbolique du rapport épidermique de l'emprunt du syntagme. On peut appeler cela du "fumisme up", ou du "fumisme chic".
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Invité
151Métonymie - Jeu 03 Oct 2013, 14:22
Yann Sancatorze
152Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Jeu 03 Oct 2013, 15:23
C'est ce que l'on pourrait appeler du trottoir culturel. Autrement dit : seul le fait présent nous intéresse, mais pour mériter notre nom, nous allons traîner de force quelques grands noms de notre patrimoine culturel pour justifier notre in-curiosité. Raphaël Enthoven fait cela à rebours, en utilisant Pulp Fiction pour illustrer du concept. Voilà pourquoi la station est devenue aussi peu écoutable : il ne s'agit pas de s'adresser à un public, il faut d'abord envoyer des symboles identitaires. C'est de l'envoi de signal, et cela en permanence.
Mitsouko
153Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Sam 05 Oct 2013, 15:23
Voilà pourquoi la station est devenue aussi peu écoutable : il ne s'agit pas de s'adresser à un public, il faut d'abord envoyer des symboles identitaires. C'est de l'envoi de signal, et cela en permanence.Yann Sancatorze a écrit:C'est ce que l'on pourrait appeler du trottoir culturel. Autrement dit : seul le fait présent nous intéresse, mais pour mériter notre nom, nous allons traîner de force quelques grands noms de notre patrimoine culturel pour justifier notre in-curiosité. Raphaël Enthoven fait cela à rebours, en utilisant Pulp Fiction pour illustrer du concept.Voilà pourquoi la station est devenue aussi peu écoutable : il ne s'agit pas de s'adresser à un public, il faut d'abord envoyer des symboles identitaires. C'est de l'envoi de signal, et cela en permanence .
Ce constat, Yann, me semble très juste. A ce propos, les paroles de Laure Adler, recueillies lors de l'anniversaire des 50 ans, m'avaient frappée. Elle y disait que des gens, autrefois, avant sa révolution à elle et OPA, croyaient que "France Culture, ce n'était pas pour eux".
De toute façon, avec 2 % d'auditeurs les mois fastes, force est de constater que France Culture continue à n'être pas bien populaire.
Anyway, France Culture n'est qu'une radio et des radios, il y en a beaucoup. Alors l'intérêt de cette radio a été, l'est toujours dans les marges, de proposer une initiation à la culture, aux savoirs, etc. et ceci par le biais d'un média abordable par tous. Dès lors, celles et ceux qui n'écouteraient pas France Culture, seraient impressionnés ou rebutés par l'idée ou leur représentation de la culture.
A mon sens, ce qui compte ce n'est pas France Culture mais la culture dont la radio ne serait qu'un vecteur.
Cependant, cette radio me semble, en effet, être devenue une sorte de marque fourre-tout, un label et même un label de distinction pour causer comme le copain à Nessie.
Du coup, le label France Culture peut tout englober, la philo chez Adèle, les chansons chez Tchoungui, les BD chez Angelier, la branchitude chez Goumarre et j'en passe.
L'ensemble est "delaculture" et l'auditeur de France Culture se trouve flatté d'appartenir à un petit clan valorisé, d'autant que se trouver élu à ce cercle d'happy fiew ne demande nul effort, sinon celui de rire aux blagues du sympathiques Voinchet et de s'émouvoir aux trémolos douceureux de Richeux car on a une âme et tous les états qui vont avec. J'oublie la saine indignation militante de midi qui politise tous les auditeurs-citoyens devant leur frichti. C'est vieux comme le snobisme, cette histoire-là. Et ça participe de la création d'une sorte de conformisme.
A ce stade, la boucle est bouclée : l'écoute de France Culture rend conformiste. Donc elle rend bête !
Philaunet
Admin
154Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Mer 27 Nov 2013, 21:15
La vocation de France Culture, c'est donc actuellement d'utiliser du temps d'antenne pour diffuser ceci ? http://www.franceculture.fr/emission-la-vignette-edh-et-hypo-2013-11-27
On hallucine grave ! Enfin, c'est sans doute la musique sur laquelle le faux jeune directeur de la station se déhanche avec ses copains et pourquoi il la promeut à l'antenne.
Je comprends pourquoi certains auditeurs attachés à leur station culturelle font des stocks d'émissions anciennes diffusées dans les Nuits, parce que là on atteint le fond et cette station file un mauvais coton (un peu comme lors de la première année d'Adler, directrice de sinistre mémoire).
On hallucine grave ! Enfin, c'est sans doute la musique sur laquelle le faux jeune directeur de la station se déhanche avec ses copains et pourquoi il la promeut à l'antenne.
Je comprends pourquoi certains auditeurs attachés à leur station culturelle font des stocks d'émissions anciennes diffusées dans les Nuits, parce que là on atteint le fond et cette station file un mauvais coton (un peu comme lors de la première année d'Adler, directrice de sinistre mémoire).
footsteps
155Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Sam 30 Nov 2013, 12:04
Musak électronique,boite à rythmes,riff répétitif unique et produits ingurgités par les djeuns ...
On est dans la branchitude à outrance ,ou plutôt dans la tendance radiophonique du temps.
Culture? Je sors mon Mauser.....
On est dans la branchitude à outrance ,ou plutôt dans la tendance radiophonique du temps.
Culture? Je sors mon Mauser.....
Philaunet
Admin
156Prévision - Jeu 15 Mai 2014, 22:37
France Culture propose dans La Dispute, comme ce soir avec Opéra : "Ali Baba" & "Elektra" une émission dédiée à des oeuvres musicales données en public. Y sont invités des critiques musicaux, venant ou non de France Musique et d'autres invités moins spécialisés (on les reconnaît en général quand on entend : « euh, c'est vraiment formidable »). C'est parfois réussi comme dans cette émission mentionnée le 11 avril dernier.
France Culture confie aussi à d'autres généralistes (car Laporte, grand lecteur de fiches et d'extraits de presse, en est un) des émissions sur la musique : Caroline Broué, par exemple reçoit Christina Pluhar, quand Laure Adler, plutôt spécialisée dans le rock (de cuir), interviewe Vivica Genaux. Nous avons aussi la chronique à grande vitesse Ce qui nous arrive en musique comme ce numéro sur Ophélie Gaillard.
Que voit-on se profiler ? Un passage de la critique musicale de spectacles, de CD, de DVD et des interviews de musiciens, de France Musique à France Culture. Avec au passage la disparition des solides spécialistes de FM au profit de généralistes qui bavardent toute la semaine aussi bien sur la BD, le cinéma ou sur tout autre domaine.
Dans quel but ? Simplement celui de liquider l'intelligence et la rigueur du savoir des producteurs expérimentés de France Musique et ouvrir enfin, à la Kershova ou à la Munera, le robinet à CD et concerts que Mathieu Gallet , plutôt amateur des sound systems des boîtes de nuit, comme son ami Olivier Poivre d'Arvor, veut voir éclabousser toute l'antenne. Il faut en effet faire pièce à la radio commerciale concurrente, laquelle diffuse le Boléro ou la 5e de Beethoven pour faire ses 3% d'audience tandis que France Musique se voit reprocher de ne faire qu'un petit pour cent avec sa prétendue musicologie, cette galeuse, cette pelée dont vient tout le mal !
Sur France Culture, ce sera donc prochainement bavardage excité sur l'opéra comme ce soir avec un producteur qui lit son papier pour exprimer un jugement ou encore anecdotes "people" bien lourdes à la Laure Adler qui en son temps s'est ridiculisée face à André Tubeuf (§ 3), contre analyse et savoir de musiciens sur France Musique (Cassard, Derrien, Goldet, Machart, Szymczak, Rémond, et l'on en passe).
On prend les paris pour 2014-2015 sur la disparition progressive de la culture à France Musique et sa métamorphose en banalités à France Culture ?
France Culture confie aussi à d'autres généralistes (car Laporte, grand lecteur de fiches et d'extraits de presse, en est un) des émissions sur la musique : Caroline Broué, par exemple reçoit Christina Pluhar, quand Laure Adler, plutôt spécialisée dans le rock (de cuir), interviewe Vivica Genaux. Nous avons aussi la chronique à grande vitesse Ce qui nous arrive en musique comme ce numéro sur Ophélie Gaillard.
Que voit-on se profiler ? Un passage de la critique musicale de spectacles, de CD, de DVD et des interviews de musiciens, de France Musique à France Culture. Avec au passage la disparition des solides spécialistes de FM au profit de généralistes qui bavardent toute la semaine aussi bien sur la BD, le cinéma ou sur tout autre domaine.
Dans quel but ? Simplement celui de liquider l'intelligence et la rigueur du savoir des producteurs expérimentés de France Musique et ouvrir enfin, à la Kershova ou à la Munera, le robinet à CD et concerts que Mathieu Gallet , plutôt amateur des sound systems des boîtes de nuit, comme son ami Olivier Poivre d'Arvor, veut voir éclabousser toute l'antenne. Il faut en effet faire pièce à la radio commerciale concurrente, laquelle diffuse le Boléro ou la 5e de Beethoven pour faire ses 3% d'audience tandis que France Musique se voit reprocher de ne faire qu'un petit pour cent avec sa prétendue musicologie, cette galeuse, cette pelée dont vient tout le mal !
Sur France Culture, ce sera donc prochainement bavardage excité sur l'opéra comme ce soir avec un producteur qui lit son papier pour exprimer un jugement ou encore anecdotes "people" bien lourdes à la Laure Adler qui en son temps s'est ridiculisée face à André Tubeuf (§ 3), contre analyse et savoir de musiciens sur France Musique (Cassard, Derrien, Goldet, Machart, Szymczak, Rémond, et l'on en passe).
On prend les paris pour 2014-2015 sur la disparition progressive de la culture à France Musique et sa métamorphose en banalités à France Culture ?
Philaunet
Admin
157Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Mar 20 Mai 2014, 17:57
Avec l'aval de Mathieu Gallet et la bénédiction d'Olivier Poivre d'Arvor (what else?) Sonia Kronlund fait réaliser et diffuser sur France Culture le reportage du jour intitulé "La méditation orgasmique" dans l'émission Les Pieds sur terre.
Eh ben mon cochon ! On ne sait pas à quel degré il faut prendre ce reportage dont je ne sais laquelle de la vulgarité ou de l'imbécillité dépasse l'autre.
En introduction, avant de lancer le sujet, Sonia Kronlund dit hypocritement tout le mal qu'elle pense de cet atelier d'initiation sexuelle : 95 euros par jour, vous vous rendez compte ? ! Voilà son reproche. Que les micros enregistrent des propos d'une bêtise confondante et d'une impudeur suffocante ne la dérange pas plus que cela. Non, comme d'habitude, les auditeurs jugeront par eux-mêmes, il sont adultes, blablabla, n'est-ce pas ?
Comme l'écrit un auditeur sur le site de FC, c'est ignominieux. Mais devenu une habitude, depuis qu'Olivier Poivre d'Arvor, directeur à l'éthique rigoureuse, comme chacun sait, dirige cette chaîne. Enthoven a pu lire longuement des textes à caractère pornographique, son successeur Adèle van Reeth fait de même et Aurélie Charon transforme le studio de FC en on ne sait quoi, mais vu les illustrations on en a une petite idée.
Comme les Français sont audacieux ! Les Britanniques cryptent une émission sur l'origine de la chanson Frère Jacques où l'on entend deux ou trois mots grossiers, les Allemands, ces prudes, ne demandent pas de témoignages sur le vif à des partouzeurs, mais les Gaulois, eux, pas de tabou.
J'imaginais que le podcast ne serait pas disponible, mais non il l'est (au contraire du téléchargement des lectures littéraires de Catherine Hiegel) et le site indique : "Avertissement : des propos ou des situations peuvent choquer un public non averti (mineurs, etc... notamment).".
C'est la première fois que je vois un "notamment" se référer à un "etc". France Culture dans toute sa médiocrité.
Eh ben mon cochon ! On ne sait pas à quel degré il faut prendre ce reportage dont je ne sais laquelle de la vulgarité ou de l'imbécillité dépasse l'autre.
En introduction, avant de lancer le sujet, Sonia Kronlund dit hypocritement tout le mal qu'elle pense de cet atelier d'initiation sexuelle : 95 euros par jour, vous vous rendez compte ? ! Voilà son reproche. Que les micros enregistrent des propos d'une bêtise confondante et d'une impudeur suffocante ne la dérange pas plus que cela. Non, comme d'habitude, les auditeurs jugeront par eux-mêmes, il sont adultes, blablabla, n'est-ce pas ?
Comme l'écrit un auditeur sur le site de FC, c'est ignominieux. Mais devenu une habitude, depuis qu'Olivier Poivre d'Arvor, directeur à l'éthique rigoureuse, comme chacun sait, dirige cette chaîne. Enthoven a pu lire longuement des textes à caractère pornographique, son successeur Adèle van Reeth fait de même et Aurélie Charon transforme le studio de FC en on ne sait quoi, mais vu les illustrations on en a une petite idée.
Comme les Français sont audacieux ! Les Britanniques cryptent une émission sur l'origine de la chanson Frère Jacques où l'on entend deux ou trois mots grossiers, les Allemands, ces prudes, ne demandent pas de témoignages sur le vif à des partouzeurs, mais les Gaulois, eux, pas de tabou.
J'imaginais que le podcast ne serait pas disponible, mais non il l'est (au contraire du téléchargement des lectures littéraires de Catherine Hiegel) et le site indique : "Avertissement : des propos ou des situations peuvent choquer un public non averti (mineurs, etc... notamment).".
C'est la première fois que je vois un "notamment" se référer à un "etc". France Culture dans toute sa médiocrité.
Philaunet
Admin
158Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Mer 28 Mai 2014, 09:20
Quelle est la vocation de France Culture ? S'interroger plusieurs fois par jour au niveau du... genre : « Jeanne Cherhal et Albin de la Simone sont nos invités. "Qu'est-ce qu'être une femme, qu'est-ce qu'être un homme ?" » La Grande Table
Voir aussi, entre autres l’adolescence du genre
France Culture manque d'imagination, y a plus de sujets... Alors, on tire sur la corde du thème à la mode. Le ronron, quoi.
Voir aussi, entre autres l’adolescence du genre
France Culture manque d'imagination, y a plus de sujets... Alors, on tire sur la corde du thème à la mode. Le ronron, quoi.
Philaunet
Admin
159Sujet original et culturel... - Ven 30 Mai 2014, 22:47
Philaunet a écrit:Quelle est la vocation de France Culture ? S'interroger plusieurs fois par jour au niveau du... genre : « Jeanne Cherhal et Albin de la Simone sont nos invités. "Qu'est-ce qu'être une femme, qu'est-ce qu'être un homme ?" » La Grande Table
Voir aussi, entre autres l’adolescence du genre
France Culture manque d'imagination, y a plus de sujets... Alors, on tire sur la corde du thème à la mode. Le ronron, quoi.
Il y a une transe genre à France Culture...
Genre : une question internationale (1/4) pour Cultures Mondes du 26 mai 2014
Quel beau sujet culturel... Ça promet. Je comprends que des auditeurs s'accrochent aux archives diffusées dans les Nuits de France Culture et veuillent écouter une émission de 1979, comme celle sur Pétrarque et les musiciens qui ont mis les poèmes de ce dernier en musique.
Extraits du descriptif :
Du « printemps français » et sa lutte conservatrice contre les théories du genre, aux « printemps arabes « et leur lien avec les mouvements féministes, le développement et la diffusion des études de genre dans le monde soulèvent bien des paradoxes.
Comment concilier lutte féministe sur le terrain et reconnaissance scientifique à l’université ? La mondialisation des « gender studies » implique-t-elle une domination américaine de la conception du genre ? Existe-t-il une école européenne de l’étude de genre ?
De Providence (USA) à Dakar, en passant par Alger et Barcelone, le monde entier pense désormais la construction sociale du genre. Et cela ne va pas sans quelques frictions et quelques crispations…
(...)
Nous allons nous interroger ce matin sur l’internationalisation des études de genre, des gender studies comme il est de coutume [sic] de les appeler.
(...)
Y'aurait-il [sic] une école américaine qui dominerait la pensée internationale ?
Invité(s) :
Eric Fassin, professeur à l’Université Paris-8 Vincennes-Saint Denis (Département de science politique et Centre d’études féminines et d’études de genre), Chercheur à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS, CNRS / EHESS)
Marta Segarra, professeure de littérature française et francophone et d’études de genre, Université de Barcelone.
Elisabeth Weed, co-fondatrice et ancienne directrice, Pembroke Center for Teaching and Research on Women, Brown University, Etats-Unis.
Philaunet
Admin
160Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Sam 31 Mai 2014, 18:23
Sans doute de produire ceci ? We are l'Europe 2/10
Attention, ce n'est pas une recommandation. Plutôt parmi le pire de ce que France Culture peut diffuser, mais si l'on veut savoir ce que cette chaîne diffuse à 11h50 le matin, c'est ça.
Personne n'est obligé d'écouter, effectivement. Produire ces dix fois 7 minutes mobilise quand même des ressources et du temps d'antenne. Alors, pourquoi ça durant deux semaines ?
NB : La page de l'émission n'est pas ouverte aux commentaires...
Attention, ce n'est pas une recommandation. Plutôt parmi le pire de ce que France Culture peut diffuser, mais si l'on veut savoir ce que cette chaîne diffuse à 11h50 le matin, c'est ça.
Personne n'est obligé d'écouter, effectivement. Produire ces dix fois 7 minutes mobilise quand même des ressources et du temps d'antenne. Alors, pourquoi ça durant deux semaines ?
NB : La page de l'émission n'est pas ouverte aux commentaires...
antonia
161Re: Quelle est la vocation de France Culture ? - Sam 31 Mai 2014, 19:50
très relevé comme feuilleton. Des sacrés sujets de société: le porno-réalité, ça fait comprendre son corps, on s'identifie aux protagonistes qui se sont filmés.On s'aime mieux après.
A se demander qui peut écouter ce genre d'inepties.
A se demander qui peut écouter ce genre d'inepties.
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