Quand on sait que Bruno Patino, directeur de France Culture, est en même temps :
- directeur de l'école de journalisme de Sciences Po Paris et enseignant dans cette même école ;
- conseiller de la présidence de Radio France pour la stratégie numérique ;
après avoir :
- mis en œuvre l'un des 1ers sites web de la presse française (Le Monde interactif) ;
- présidé le pôle "Presse et internet" au sein des Etats Généraux de la Presse écrite ;
- publié un livre sur l’impact d’Internet sur la presse et le journalisme ;
- déclaré récemment que " Radio France doit rattraper son retard dans l'univers du Web, avec de nouveaux sites, … devenir précurseur dans l'univers des réseaux sociaux avec des applications spécifiques sur Facebook…».
On réalise combien l'actuel directeur de FC est plus journaleux que cultureux, plus intéressé par le contenant que le contenu.
D'où la mégalomanie du site qui se veut "magazine culturel total", vitrine de la convergence des médias. D'où la priorité à l'actu, l'obsession du décryptage à chaud et de la réactivité.
Ce pourrait être une expérience intéressante si la qualité était là. Mais le site est un fouillis inabouti où nunucheries et banalités pullulent : ex: "l'Afrique du Sud de A à Z " en page d'accueil il y a peu, car il faut tout lui apprendre à l'auditeur avec des dossiers pense-bête joliment illustrés.
Et ce même auditeur qui cherche tout bonnement mais rapidement programmes, émissions, archives, les techno-béats (en herbe) s'en lavent les mains.
[b]
- directeur de l'école de journalisme de Sciences Po Paris et enseignant dans cette même école ;
- conseiller de la présidence de Radio France pour la stratégie numérique ;
après avoir :
- mis en œuvre l'un des 1ers sites web de la presse française (Le Monde interactif) ;
- présidé le pôle "Presse et internet" au sein des Etats Généraux de la Presse écrite ;
- publié un livre sur l’impact d’Internet sur la presse et le journalisme ;
- déclaré récemment que " Radio France doit rattraper son retard dans l'univers du Web, avec de nouveaux sites, … devenir précurseur dans l'univers des réseaux sociaux avec des applications spécifiques sur Facebook…».
On réalise combien l'actuel directeur de FC est plus journaleux que cultureux, plus intéressé par le contenant que le contenu.
D'où la mégalomanie du site qui se veut "magazine culturel total", vitrine de la convergence des médias. D'où la priorité à l'actu, l'obsession du décryptage à chaud et de la réactivité.
Ce pourrait être une expérience intéressante si la qualité était là. Mais le site est un fouillis inabouti où nunucheries et banalités pullulent : ex: "l'Afrique du Sud de A à Z " en page d'accueil il y a peu, car il faut tout lui apprendre à l'auditeur avec des dossiers pense-bête joliment illustrés.
Et ce même auditeur qui cherche tout bonnement mais rapidement programmes, émissions, archives, les techno-béats (en herbe) s'en lavent les mains.
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