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Répliques, Alain Finkielkraut    Page 17 sur 67

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COTTON 


161
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Lun 09 Avr 2012, 15:47

J'en ai eu assez d'entendre ce qu'on entend
les ratiocinations de finkielkraut défendant le guéant de la pensée :
alors j'ai publié today sur agoravox :

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-radio-philosophe-pour-les-nuls-114209

leniax 


162
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Lun 09 Avr 2012, 15:50

Il me semble que MMe Héritier a fait de son mieux pour recadrer la discussion. Le vernis philosophique (Patochka) ainsi que quelques références historiques ne sont pas parvenus à donner à des considérations hélas fort triviales une quelconque épaisseur.

Nessie 

Nessie

163
Répondre en citant  
(A chacun sa contradiction) - Ven 20 Avr 2012, 21:44

leniax a écrit:Ce samedi Finkielkraut tel qu'en lui meme, essentialisant ce qu'il n'y a pas lieu de l'etre, [... ]

Hum hum...
Quand l'hôpital se fout de la charité, l'écoute biaisée n'est pas loin...

Philaunet 

Philaunet
Admin

164
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Ven 20 Avr 2012, 22:54

Hasard des posts presque simultanés, le commentaire de "Répliques" ci-dessous était rédigé depuis quelques jours et en relecture...
leniax a écrit:Il me semble que MMe Héritier a fait de son mieux pour recadrer la discussion. Le vernis philosophique (Patochka) ainsi que quelques références historiques ne sont pas parvenus à donner à des considérations hélas fort triviales une quelconque épaisseur.
Après écoute de l'émission "Toutes les cultures sont-elles égales ?", http://www.franceculture.fr/emission-repliques-toutes-les-cultures-sont-elles-egales-2012-04-07, je trouve qu'un de vos propos sonne juste : celui concernant l'absence d'épaisseur des considérations. Dans ce débat, on en est finalement resté à la surface des choses et à un niveau assez médiocre de discussion. Il était théoriquement possible d'écouter ce débat en faisant la vaisselle ou en bricolant (en rater quelques phrases ou quelques minutes importait peu), ce qui met l'écoute de France Culture à la disposition d'un public plus large et donc permet sans doute la hausse des chiffres d'audience (quelle fiabilité de ceux-ci ?) donnés par Médiamétrie dont se glorifie le directeur de France Culture ces jours-ci...

Une parlotte assez superficielle donc (mais, quand même, bien moins que dans d'autres cercles de bavardages aux heures de grande écoute) avec d'un côté, une phrase-leitmotiv de l'anthropologue, assez visiblement intéressée par ce qu'elle fait, elle, soi-même, à titre personnel et pour ce qui la concerne ("je, je, je ,je") : "Je m'intéresse à la recherche des invariants". De l'autre la parole du philosophe invité, manquant de vitalité, arrivé là visiblement sans préparation du sujet.

Une seule parole déliée et articulée avec logique, celle d'Alain Finkielkraut. Certains commentaires nous avaient mis en garde contre des "ratiocinations" dont ce dernier se serait rendu coupable (définition de ratiocination : "Raisonnement d'une excessive subtilité" ; et selon le CNRTL : "Souvent péj. Raisonnement abusif, hors de propos; argument subtil et vain.").

On n'a pas eu l'impression d'entendre des ratiocinations, ni au sens premier ni au sens second. Alain Finkielkraut s'est efforcé d'écouter sans interrompre quiconque (son silence, était-ce politesse, prudence déontologique ou résignation devant une discussion refusant de décoller ?). C'est lui qui a orienté le débat et qui a offert une tribune à ses invités, lesquels n'ont pas su s'en servir, faute d'avoir préparé leur intervention.

On ne peut reprocher ici à Alain Finkielkraut d'avoir pris parti pour l'un des deux invités contre l'autre, l'un, ex directeur d'Esprit, se prononçant assez mollement pour la hiérarchisation, et l'autre, l'anthropologue, bénéficiant d'un long temps de parole, pour les structures communes, tous s'accordant rapidement sur les progrès de la société occidentale en certains domaines. Tout ceci est discutable et n'a pas été très discuté. Mais la question de la forme radiophonique de "Répliques" a retenu l'attention.

En effet, contrairement à ce qui a pu être écrit, ce numéro du 07 avril et celui du 10 mars montrent que sur des sujets qu'Alain Finkielkraut connaît sur le bout des doigts et pour lesquels ses convictions sont fortes, il sait se contenir et réfréner l'envie d'intervenir avec éloquence en prenant parti.

Si le débat reste unilatéral ou manque d'épaisseur c'est aux esprits en présence qu'il faut le reprocher et en l'espèce aux deux invités qui n'ont pas fait grand effort pour se saisir du sujet.

À propos d'invités, quelqu'un se souvient-il du "Répliques" avec Heinz Wismann et Louis Dumont sur le thème "France –Allemagne, un essai de comparaison" ? Oui, ça remonte à... 21 ans ! C'était le 9 novembre 1991 (on se demande si notre passion pour les Variations Goldberg ne vient pas de ce générique entendu assez régulièrement depuis plus de deux décennies...).

Quel rapport avec 2012 ? Le premier c'est qu'il a été question de Louis Dumont dans cette émission du 07 avril (Louis Dumont que l'anthropologue confond un moment avec René Dumont). Le second, c'est que quand deux intellectuels de la trempe de ces invités-là sont présents (surtout Heinz Wismann à cent lieues intellectuelles et langagières au-dessus des deux autres, visiblement impressionnés), Finkielkraut tient le rôle qui lui incombe ou devrait lui incomber, à savoir distribuer la parole (pour identifier les interlocuteurs de temps en temps) et ajouter son grain de sel (et non défendre une thèse bec et ongles !) pour engendrer la contradiction ou l'approbation.

Enfin, plus généralement, critiquer Finkielkraut (on l'a fait sur ce forum et sans concession aucune) voire prendre la posture avantageuse de celui qui s'offusque, ce n'est pas très difficile. Il suffit de se convaincre (par une sorte de surdité ou d'écoute sélective) que l'on entend toujours, sans exception, ce que l'on a souvent entendu. En revanche, il est plus difficile de reconnaître que lui, Finkielkraut, (et d'autres) peuvent changer avec le temps. Cela exige de les écouter attentivement et de se libérer de ses préjugés. C'est évidemment un effort, surtout quand, avec le temps qui passe, la lassitude ou l'excès de certitude nous font préférer des idées préconçues à une observation du réel.



Dernière édition par Philaunet le Sam 21 Avr 2012, 20:44, édité 1 fois

leniax 


165
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Sam 21 Avr 2012, 18:42

Le terme ratiocination était certes mal choisi. Obsession eut mieux valu, là où depuis longtemps Mr Finkielkraut cherche à développer certains sentiments que la culture musulmane lui inspire.
Je remarque qu'une fois de plus les débats concernant l'identité comme naguère celui sur la laicité doivent se définir par rapport à ce grand autre. Cela à mon sens a valeur de symptome.
Je n'évoque ici rien de plus qu'une certaine lassitude, voire une légère inquiétude relative aux abimes de vacuité face auxquelles ces propos nous placent.

Je reconnais volontiers que Madame Héritier, meme si elle ne m'a pas semblée toujours bien écoutée , a eu tout loisir pour entretenir la contradiction et qu'en cela certes il y a une réelle évolution, notable depuis déjà quelques temps.

leniax 


166
Répondre en citant  
(post déposé ailleurs - rapatrié ici) - Sam 21 Avr 2012, 18:45

Quand l'hôpital se fout de la charité, l'écoute biaisée n'est pas loin...

Voudriez vous bien m'expliquer cela, cher Nessie ?

Philaunet 

Philaunet
Admin

167
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La domination masculine (21 04 2012) - Dim 22 Avr 2012, 00:37

leniax a écrit:. Obsession eut mieux valu, là où depuis longtemps Mr Finkielkraut cherche à développer certains sentiments que la culture musulmane lui inspire.
Oui, ou "préoccupation récurrente", c'est vrai et ça a été reconnu ici et ailleurs. La question est de savoir si lancer un débat sur ces prémisses (l'envahissement, l'inégalité hommes-femmes, la violence, etc) est moralement répréhensible. D'abord, ces positions sont tenues par un certain nombre d'auditeurs. Il n'est pas complètement illogique qu'elles soient présentes sur la chaîne (que d'aucuns trouvent monopolisée par un seul et unique paradigme idéologique). Ensuite, il y a toujours un invité qui ne partage pas les convictions du maître des débats. Il peut, s'il est bien préparé, contester la vision de Finkielkraut. Si bien sûr celui-ci lui en laisse le loisir en arbitrant loyalement le débat entre, disons, le pour et le contre, sachant qu'Alain Finkielkraut penche pour l'une des deux opinions.

"Sachant" oui. Pourquoi l'auditeur le sait-il dès que le thème du débat est annoncé, pour peu qu'il ait pratiqué une demi-douzaine de "Répliques" (et pas nécessairement vingt ans) ?

Il semble que ce soit un trait du débat à la française, celui qui consiste, pour un "animateur", à prendre parti plus ou moins clairement et à favoriser un camp plutôt que l'autre, par le temps de parole, le type de question ou le ton avec lequel le nom des invités est prononcé.

Par exemple, dans ce dernier numéro http://www.franceculture.fr/emission-repliques-la-domination-masculine-2012-04-21 qui a correctement démarré, mais qui a déraillé vers les deux tiers (on s'étonne et se désole d'ailleurs que de telles disputes et interpellations soient laissées au montage ou qu'elles n'aient pas été interrompues par le producteur, mais on y reviendra).

Donc, le nom de Muriel Salmona, psychiatre – psychotraumatologue, a été dit par Finkielkraut d'une voix claire, mais basse, tandis que celui de Marcela Iacub, juriste et chercheuse française, a été prononcé d'une voix ferme et plutôt forte. Cette façon de donner la parole est un signe clair, comme s'il en fallait !, du penchant de Finkielkraut pour la position de cette dernière (qu'il a déjà plusieurs fois invitée : c'est une bonne cliente, elle est anti-féministe, elle "anime" en criant et en interrompant l'autre invité,en lui lançant de faux procès à la figure, si possible avec un vocabulaire peu policé et évidemment sans jamais finir aucune de ses phrases, comme cela a été le cas ici à ma grande désolation mais pas à ma surprise, hélas).

Dans les débats radiophoniques allemands des chaînes culturelles (ex. "Forum" SWR 2, une quotidienne de 45 minutes), jamais ou presque je n'ai entendu un "Moderator" prendre parti et surtout laisser les débats s'envenimer dans des querelles ou tourner en rond. Non, on tente d'être "sachlich", factuel, et surtout à l'écoute de la parole de l'autre, pour la méditer et en faire son miel, y rebondir, mais jamais avec l'intention de blesser quiconque ou de fausser le débat, comme l'a fait en criant la chercheuse du CNRS, Marcela Iacub, en imputant à la psychiatre des propos contraires à ce que cette dernière venait de dire et en utilisant le mot d'"ignoble" à son encontre, sans qu'Alain Finkielkraut n'intervienne. Une scène inimaginable sur une radio allemande ou la discussion se tient pour éclairer l'auditeur – auquel les intervenants pensent - et non pour abattre quelqu'un dans le studio qu'on considère comme son adversaire. De plus, le "Moderator" a toujours des questions dans son sac pour faire avancer le débat au cas où celui-ci s'enliserait. Avez-vous remarqué que dans nombre de débats "chez nous", l'animateur ne fait qu'insister sur des choses déjà dites au lieu de déplacer le sujet lorsque la discussion est dans un cul-de-sac ?

Quelqu'un s'interrogeait sur ce fil, Cotton, je crois, sur la durée (20 ans) de l'émission "Répliques". Sans doute cette dernière correspond-elle à une structure qu'aime une majorité d'auditeurs : la castagne sur un terrain de catch (très catcheuse de la télévision des années 1960, Marcela Iacub, avec cris, sauts et prises en traître). Alain Finkielkraut, soyons généreux, aurait peut-être envie de faire une émission d'échanges policés non polémiques, mais voilà on l'aurait taxé depuis longtemps d'ennuyeux et il aurait disparu de la grille.

Mais on a été trop généreux, car voyez-vous Leniax, dans le "Répliques" de 1991 auquel je faisais allusion plus haut dans ce fil et que j'ai réécouté récemment après avoir numérisé à cet effet la cassette enregistrée à l'époque, on entend un Heinz Wismann, très préparé, très articulé, citer Fichte et Thomas Mann dans un discours limpide de haute tenue, tandis que, dans la foulée de ces citations, Finkielkraut a cité un article à sensation du Journal du dimanche et que Louis Dumont a bredouillé qu'il ne savait pas répondre sur le thème "France-Allemagne, une comparaison" parce qu'il n'était pas assez au courant des affaires allemandes, n'étant pas retourné en Allemagne depuis 1945... (alors qu'il venait d'écrire un livre intitulé "L'idéologie allemande" !)

Tout ça pour montrer une différence d'approche de la discussion : prise au sérieux, d'un côté, considérée comme un jeu distrayant, de l'autre (jeu de cirque, parfois)

Les auditeurs de France Culture méritent mieux que, d'un côté, des éclats de rires entre copains aux heures de grande écoute et, de l'autre, des crêpages de chignon, possibles du fait de la non-intervention de l'arbitre (peut-être pour fournir la part nécessaire de dézingages à tout débat français "moderne")..

Dans ce "débat" sur La domination masculine", on a été désolé pour Muriel Salmona, médecin, la seule "savante" des trois, celle qui n'avançait pas des opinions mais des éléments de savoir avec intelligence. On a été désolé pour Alain Finkielkraut qu'on plaint de ne pas réussir à être à la hauteur de ses propres espérances en matière de tenue de débat. On a été désolé pour Marcela Iacub, fidèle à sa caricature, qui, à 45'45'' du débat dit ceci : "Il y a des gens qui ont été à Auschwitz, qui ont été traumatisés, d'autres non (...)".

Alain Finkielkraut n'a pas relevé.

leniax 


168
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Dim 22 Avr 2012, 13:39

Je vous rejoins parfaitement sur vos analyses et sur l'exigence de sérieux qu'elles manifestent. Je me demande toutefois si le factuel ne comporte pas lui meme plusieurs risques: celui d'une neutralisation des paroles alternatives, un oubli des sentiers détournés; celui d'une caution morale masquant un discours trés autonormé.

antonia 


169
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Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Dim 22 Avr 2012, 16:00

Philaunet, entièrement d'accord avec votre analyse fine de l'émission "la domination masculine" et je ne suis pas suspecte d'anti-finkielkrautisme! loin de là.
je serais même beaucoup plus sévère que vous. On a du mal à croire que Marcela Iacub soit une chercheuse du CNRS. Elle ne raconte que des banalités, elle ne justifie rien. Ce qu'elle dit sur l'évolution du regard sur le viol, on l'a entendu si souvent quand a eu lieu l'affaire DSK, parmi ceux qui trouvaient qu'on était pas gentil avec lui. Elle sait tout, exprime des opinions de comptoir, elle ne connait pas les définitions des mots employés. D'ailleurs, sans cesse, elle dit: "moi, je"
En fait, elle essaie de mener le débat où elle veut, sans rapport avec le sujet (par exemple, quand elle ne veut pas qu'on parle du viol des mineures, mais seulement des adultes et notamment dans le couple).
Alors que Muriel Salmona est très sérieuse, a un exposé très clair, elle justifie très précisément ses opinions. Elle n'a rien de la féministe qu'on pourrait railler.
Toutes les femmes connaissent d'autres femmes confrontées à des violences sexuelles qui n'en ont jamais parlé.
Quel cafouillage!

Nessie 

Nessie

170
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Dim 22 Avr 2012, 18:34

leniax a écrit:Je vous rejoins parfaitement sur vos analyses et sur l'exigence de sérieux qu'elles manifestent. Je me demande toutefois si le factuel ne comporte pas lui meme plusieurs risques: celui d'une neutralisation des paroles alternatives, un oubli des sentiers détournés; celui d'une caution morale masquant un discours trés autonormé.
Eh oui cher Leniax, vous l'avez dit : le factuel, quelle horreur !!
Et la sociologie qui se voudrait fidèle au réel, quelle atrocité idéologique, hein ....

Le défaut premier du factuel, c'est que le souci des faits et le respect de la réalité a pour effet de réduire le pouvoir du délire d'interprétation. Or celui-ci est un des principaux outils des polémistes qui carburent à l'idéologie. Pour cette raison, on voit que bien des délires de militants n'y résistent pas, au souci du factuel.

Mais ça n'est pas tout. Le factuel permet aussi de révéler hypocrisies et coups bas. Par exemple quand certains font du procès d'intention comme d'autres se font du café. D'abord ils allusionnent à fins de faire passer un type (au hasard : Finkielkraut) pour un aff'weuw w'aciste. Ensuite ils disent "jelaipadit, jelaipadit". Mais une allusion reste un fait, et l'analyse factuelle montre que dans un propos, le qualificatif infamant peut être présent sans avoir été prononcé. L'argumentation par la suggestion n'a pas été inventée pour rien. Certains comprennent leur erreur un jour et s'en tiennent là. D'autres s'obstinent.

En d'autres temps et d'autres lieux, quand notre société était infestée de casse-pieds procéduriers, de tels propos menaient en justice et on se faisait condamner pour diffamation. Par exemple sur Finkielkraut (je prend cet exemple tout à fait au hasard) : si un journaliste avait écrit dans ses colonnes ce que certains écrivent ici contre ce producteur, il y aurait eu de quoi faire condamner ledit journaliste pour diffamation. Je ne regrette pas ce temps. Mais je pense que la faute morale est tout aussi réelle. Morale, ou intellectuelle ? Je ne sais pas ; les deux sans doute ; la distinction me semble secondaire. .

Quant au discours autonormé, je ne sais pas quel meilleur exemple en trouver que celui des militants qui ont choisi un camp une fois pour toute et s'y tiennent mordicus malgré toutes les objections qu'ils reçoivent, mêmes argumentées, alors qu'eux-mêmes en guise d'arguments n'ont que le martelage de leurs convictions. Et là, quoi de plus autonormé ?



Dernière édition par Nessie le Sam 28 Avr 2012, 07:17, édité 4 fois

leniax 


171
Répondre en citant  
Re: Répliques, Alain Finkielkraut - Dim 22 Avr 2012, 19:25

Cher Nessie,

Libre à vous de voir plus loin que ce qu'expriment mes dires, mais à dire vrai, ce n'est pas trés factuel.

Factuellement il me semble par contre que vous m'abominez de toutes sortes de griefs pas du tout allusifs à défaut d'etre clairs,et qu'en d'autres temps cela aurait pu etre considéré comme une offense.

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172
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Re: Répliques, Alain Finkielkraut -

Répliques, Alain Finkielkraut     Page 17 sur 67

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