Previously...
Après la pluie le beau temps, après la guerre la paix. Un vent très doux souffle dans les tympans. On sent la différence. Quand la paix règne, point de tan tantantantan poum poum tzing tacatacatacatac. La paix.
La calzone : Voilà une musique de paix pour moi.
On le comprend, mais il y a confusion entre paix et sieste l’après-midi avec les doudous. La paix est là, certes, mais pour le même prix, nous avons une pub pour Soupline.
« Mmmmmmmm arrangé par Bob James... du root... de la basse... une batterie bien mate... des cuivres qui vont être un peu un oreiller quoi...écoutez ça... »
Mmmmm c’est tout doux…
Quelques secondes plus tard, une trompette.
« Vous avez vu comme la trompette qui était dans Patton très militaire est ici plus un oreiller quoi »
« Complètement » confirme la 4 fromaggio.
« Quel sens de l’observation ! » ajoutons-nous avec admiration au dedans de nous.
La calzone : On va partir chez les (???) là maintenant et on va retrouver John McLaughlin (laugh) que j’vous ai déjà fait écouter souvent (laugh again) (…) fasciné par l’Inde et donc voilà qui suit un peu le summer of love de 67...et tout le mouvement hippie et jazz.
Bin alors voilà, y’a du jazz, y’a du tambura et bin alors voilà.
De nouveau la calzone chante les notes, mais étrangement ne parle pas de rythme, alors que quand même. Il shunte juste au moment où le guitariste entre en scène, ça va c’est bon saoulez pas. La calzone a mieux, ça suffit comme ça avec les indiens hindous.
La calzone : Et pour finiiir...ah non pas pour finir, j’vous ai fini ça aussi parce que c’est le psychédélisme…
La 4 frome : Ah ça j’adooore.
La calzone : Voilà les deux accords de Light my Fire des Doors.
Jim Morrison qui chante, ajoute-t-il par dessus la voix de Jim Morrison, qui chante 10 secondes environ ajoutons-nous.
La calzone : On est dans les mouvements contestataireuh psychédéliqueuh, le LSD, les États-Unis, la côte ouest…
La calzone nous fait un prix de gros des clichés associés, parce qu’arrivés à la moitié de la pizza, les auditeurs ont droit à un cadeau de fidélité.
Le Light my Fire, la calzone l’associe à quoi exactement ? La guerre ? La paix ? Le monsieur qui demande à la dame d’allumer son feu, c’est pour faire la guerre ou la paix ou autre chose ?
La calzone tenait à mettre « Viens bébé allume mon feu » parce qu’elle aime ça et qu’elle l’écoute beaucoup. Peut-être pour dépanner parce qu’elle a perdu sa boîte d’alloufs, qui sait.
La calzone a bientôt fini son chaud, le feu est allumé, avec l’album Peace (mais quel rapport avec la paix ? Complètement saugrenu ce choix !) du groupe Rotary Connection. « J’vous en ai déjà fait écouté certains morceaux et ils expliquent que... »
Que quoi ? Comme il ne finit pas sa phrase, nous sommes obligés pour la compléter de récupérer les paroles de la chanson qui défile et de les traduire approximativement à l’arrache.
Ce qui donne : « gniagniagnia et ils expliquent que chaque année je me pose la même question quelque chose qui m’excite au plus haut de l’échelle de l’excitation, d’où qu’il vient le Père Noël avec tous ces cadeaux, pourquoi roule-t-il si tard le soir, et à mon avis soit c’est un mac, soit il vend de la beuh, soit les deux, frère... »
Pour rattraper mon dérapage très contrôlé, la calzone reprend les rênes (j’aurais pu mettre « reprend les rennes » mais celle-là je l’ai déjà faite) :
« Alors il parle de Santa Claus, du Père Noël, qu’il est très high (rire solitaire) et qu’en fait il fume du gui (rire) il fume le gui…
La 4 frometons : Pffffff tout simplement ah ah ah ah
La calzone : Et la chanson a été bannie hein des radios…
La 4 frometons en beuglant : C’EST VRAI ????
La calzone :… à l’époque.
La 4 frometons : C’est infini ce thème hein calzone ?
La calzone : C’est génial ah ah ah moi j’adore j’avais tellement d’choses à vous faire écouter tellement de caisses claires militaires dans tellement d’musiques de films euh pour les musiques de films y’a Le pont de la rivière Kwaï…
Ce dernier film constitue une liste à lui tout seul, liste qui précède la pause djingle.
Djingle : France Musique, la 4 fromages, la calzone
La transition est le résultat d’un travail de longue ahahaleine.
Est-ce qu’il n’y aurait-il pas des opéras qui se terminent avec de la paix dedans ? La question ne tombe pas dans l’oreille d’une 4 fromages sourde. C’est à son tour de se lancer dans l’aharène.
La 4 frometages : Aaaah oui c’est vrai que généralement un opéra ça s’termine mal hein la calzone. Comme vous savez, moi j’aime toujours proposer un p’tit air d’opéra j’peux pas m’en empêcher ça revient toujours très naturellement.
Elle s’oublie la 4 frome, elle s’oublie, elle est pas chez le psy là, elle est à l’antenne, en public en plus.
La 4 frome : Un opéra qui s’finit bien ? Eh bien ce sont les Noces de Figaro.
La calzone : Mmmmmmmm
Après les premières mesures de l’ouverture et avant même que l’auditeur le plus distrait puisse commencer à suivre quoi que ce soit sur le plan musical,
« Les Noces de Figaro de Mooooooooooooooooooooozart (la calzone : ah ah ah pfff) évidemment ici c’est l’ouverture (la calzone continue à se marrer sur ce texte il est vrai à pleurer de rire) qu’on écoute euh… »
La fiche technique de l’opéra suit ce euh. L’air qui nous est proposé dans l’hilarité est « absolument splendide » Le comte veut confondre Figaro avec sa femme et « là les masques tombent et il se révèle que cette femme c’est Suzanne la femme de chambre ». Il va demander pardon à sa femme de s’être trompé.
« Comme la comtesse est extrêmement sympa pffffff elle lui pardonne pfffffff évidemment »
Avant d’entendre l’air, quelques précisions, on termine la fiche technique. « C’est un opéra bouffe, extrêmement drôle (…)
mais ici Mozart va mettre en tension cette dimension bouffe de l’opéra avec un air extrêmement dramatique très très très très beau (…) Et moi c’est un air qui à chaque fois me fait énormément d’effet alors on l’écoute. »
On l’écoute. Deux minutes de musique, non stop. La salle du Théâtre de l’Alliance Française a dû frémir. Nous aussi, nous avons dû.
Mais vint le temps de la fin de l’air de Mozart.
Dialogue de deux pizzas, uncut version.
La calzone, contrefaisant un ténor : EUUUUUUUUUUUUU
La 4 frome : Est-ce que c’est pas magnifique ça calzone ?
La calzone : C’est magnifique je vous imagine en train d’écouter ça chez vous et euh ça…
La 4 frome : AAAAAAH
La calzone : ...tout le temps…
La 4 frome :… ah je je me rappelle l’avoir vu au Festival d’Aix-en-Provence c’était en VRRRRAI ! Je vous promets y’a les OUFFFF !
La calzone : Ah ah ah ah ah
La 4 frome : … des frissons.
L'heure de la synthèse a sonné, il faut maintenant réunir les deux en un.
« Un titre qui mêlerait guerre et paix, vous avez ça vous en discothèque, calzone ? »
Oui, elle a. D’où la question.
La calzone : C’est le Romantic Warrior
La 4 frome : Tout simplement ah ah ah ah ah
La calzone : C’est un album de Chick Corea hum hum. On adorait Chick Corea qui nous a quittés cette année.
La présentation vaut le détour, ça parlera tout de suite aux brigades anti-élites : « C’est pas l’album que j’préfère mais j’l’adore quand même.
On va en écouter un passage on va en écouter le thème un thème. »
Vingt secondes après l’intro, la calzone a quelque chose de très très très très important à nous décrire. La pochette du disque. Pendant sa description, les commentaires sont nourris, je vous en propose les meilleurs moments :
« Ah ah ah pffffff (…) pfff ah (…) tout simplement ah ah ah (…) ah pfff (...) »
Le morceau continue dessous et la calzone ne le perd pas d’oreille : « Là y'a un petit motif qui arrive vous m’en direz des nouvelles ». Nous l’écoutons une poignée de secondes.
La calzone : Ça vous plaît ?
La 4 frome : Aaaah j’aime booo-coup. J’aime beaucoup puis je r’commande vraiment sincérement à nos auditrices à nos auditeurs d’aller voir la pochette du disque qui est (la suite dans un début de fou rire) quand même mythique Chick Corea Romantic Warrior.
Hein la calzone c’est parfait on va d’ailleurs se quitter avec ce titre.
La calzone : Oui.
La 4 frome : Tiens, le temps de remercier toute l’équipe…
La suite contient un début de fou rire et les noms de l’équipe.
Et soudainement un remerciement au public qui tout à coup applaudit dans un délire indescriptible, parce qu’il sent qu’on parle de lui. Il rend aux pizzas le centuple de ce qu'elles lui ont offert pendant vingt minutes. La sincérité de ces applaudissements est palpable, c'est BEAU, TRÈS BEAU !
La 4 frome : La calzone on se retrouve la semaine prochaine ?
La calzone : Oui, vous avez une idée du thème déjà pour la semaine prochaine ?
La 4 frome : Oui (grand sourire radiophonique) mariage ah ah ah ah ah ah ah y’a d’nouveau d’quoi faire.
La calzone : Super
La calzone : Super
La calzone : Super
La calzone : Super
La calz… oh eh hein quoi qui qu’est-ce ? Oh la vache ! C’est fini ? Mais me dites pas que c’est la fin ! Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Merde, je me suis endormi en plein milieu, juste au moment où ça faisait ah ah ah pfff ah ah ah ah... et après je sais plus j’ai plongé.
Un coup de chance que j’aie écrit un billet sur la moitié où j’ai dormi, ça me permettra de me lire pour une fois. Je vais pas tout réécrire il manquerait plus que ça. Eh oh, j’ai pas envie de finir schizo !
La quahahatre saisons n’est pahahahas qu’une pizzahah pfff [...] la brigade anti-élite est en route ah ah, formez les bataillons en avant marche pffff. [...]
Vendredi 22.
La quatre saisons est en public au Théâtre de l’Alliance Française ah ah ah ah ah ah.
[...]
L’émission (...) est présentée par un duo exceptionnel : une quatre fromages et une calzone.
L’émission sera aujourd’hui consacrée (ah ah ah pfff) à un “thème fantastique” [...] la guerre et la paix ah ah.
[...]
Pfffffff ah ah ah ah ah... [...]
Après la pluie le beau temps, après la guerre la paix. Un vent très doux souffle dans les tympans. On sent la différence. Quand la paix règne, point de tan tantantantan poum poum tzing tacatacatacatac. La paix.
La calzone : Voilà une musique de paix pour moi.
On le comprend, mais il y a confusion entre paix et sieste l’après-midi avec les doudous. La paix est là, certes, mais pour le même prix, nous avons une pub pour Soupline.
« Mmmmmmmm arrangé par Bob James... du root... de la basse... une batterie bien mate... des cuivres qui vont être un peu un oreiller quoi...écoutez ça... »
Mmmmm c’est tout doux…
Quelques secondes plus tard, une trompette.
« Vous avez vu comme la trompette qui était dans Patton très militaire est ici plus un oreiller quoi »
« Complètement » confirme la 4 fromaggio.
« Quel sens de l’observation ! » ajoutons-nous avec admiration au dedans de nous.
La calzone : On va partir chez les (???) là maintenant et on va retrouver John McLaughlin (laugh) que j’vous ai déjà fait écouter souvent (laugh again) (…) fasciné par l’Inde et donc voilà qui suit un peu le summer of love de 67...et tout le mouvement hippie et jazz.
Bin alors voilà, y’a du jazz, y’a du tambura et bin alors voilà.
De nouveau la calzone chante les notes, mais étrangement ne parle pas de rythme, alors que quand même. Il shunte juste au moment où le guitariste entre en scène, ça va c’est bon saoulez pas. La calzone a mieux, ça suffit comme ça avec les indiens hindous.
La calzone : Et pour finiiir...ah non pas pour finir, j’vous ai fini ça aussi parce que c’est le psychédélisme…
La 4 frome : Ah ça j’adooore.
La calzone : Voilà les deux accords de Light my Fire des Doors.
Jim Morrison qui chante, ajoute-t-il par dessus la voix de Jim Morrison, qui chante 10 secondes environ ajoutons-nous.
La calzone : On est dans les mouvements contestataireuh psychédéliqueuh, le LSD, les États-Unis, la côte ouest…
La calzone nous fait un prix de gros des clichés associés, parce qu’arrivés à la moitié de la pizza, les auditeurs ont droit à un cadeau de fidélité.
Le Light my Fire, la calzone l’associe à quoi exactement ? La guerre ? La paix ? Le monsieur qui demande à la dame d’allumer son feu, c’est pour faire la guerre ou la paix ou autre chose ?
La calzone tenait à mettre « Viens bébé allume mon feu » parce qu’elle aime ça et qu’elle l’écoute beaucoup. Peut-être pour dépanner parce qu’elle a perdu sa boîte d’alloufs, qui sait.
La calzone a bientôt fini son chaud, le feu est allumé, avec l’album Peace (mais quel rapport avec la paix ? Complètement saugrenu ce choix !) du groupe Rotary Connection. « J’vous en ai déjà fait écouté certains morceaux et ils expliquent que... »
Que quoi ? Comme il ne finit pas sa phrase, nous sommes obligés pour la compléter de récupérer les paroles de la chanson qui défile et de les traduire approximativement à l’arrache.
Ce qui donne : « gniagniagnia et ils expliquent que chaque année je me pose la même question quelque chose qui m’excite au plus haut de l’échelle de l’excitation, d’où qu’il vient le Père Noël avec tous ces cadeaux, pourquoi roule-t-il si tard le soir, et à mon avis soit c’est un mac, soit il vend de la beuh, soit les deux, frère... »
Pour rattraper mon dérapage très contrôlé, la calzone reprend les rênes (j’aurais pu mettre « reprend les rennes » mais celle-là je l’ai déjà faite) :
« Alors il parle de Santa Claus, du Père Noël, qu’il est très high (rire solitaire) et qu’en fait il fume du gui (rire) il fume le gui…
La 4 frometons : Pffffff tout simplement ah ah ah ah
La calzone : Et la chanson a été bannie hein des radios…
La 4 frometons en beuglant : C’EST VRAI ????
La calzone :… à l’époque.
La 4 frometons : C’est infini ce thème hein calzone ?
La calzone : C’est génial ah ah ah moi j’adore j’avais tellement d’choses à vous faire écouter tellement de caisses claires militaires dans tellement d’musiques de films euh pour les musiques de films y’a Le pont de la rivière Kwaï…
Ce dernier film constitue une liste à lui tout seul, liste qui précède la pause djingle.
Djingle : France Musique, la 4 fromages, la calzone
La transition est le résultat d’un travail de longue ahahaleine.
Est-ce qu’il n’y aurait-il pas des opéras qui se terminent avec de la paix dedans ? La question ne tombe pas dans l’oreille d’une 4 fromages sourde. C’est à son tour de se lancer dans l’aharène.
La 4 frometages : Aaaah oui c’est vrai que généralement un opéra ça s’termine mal hein la calzone. Comme vous savez, moi j’aime toujours proposer un p’tit air d’opéra j’peux pas m’en empêcher ça revient toujours très naturellement.
Elle s’oublie la 4 frome, elle s’oublie, elle est pas chez le psy là, elle est à l’antenne, en public en plus.
La 4 frome : Un opéra qui s’finit bien ? Eh bien ce sont les Noces de Figaro.
La calzone : Mmmmmmmm
Après les premières mesures de l’ouverture et avant même que l’auditeur le plus distrait puisse commencer à suivre quoi que ce soit sur le plan musical,
« Les Noces de Figaro de Mooooooooooooooooooooozart (la calzone : ah ah ah pfff) évidemment ici c’est l’ouverture (la calzone continue à se marrer sur ce texte il est vrai à pleurer de rire) qu’on écoute euh… »
La fiche technique de l’opéra suit ce euh. L’air qui nous est proposé dans l’hilarité est « absolument splendide » Le comte veut confondre Figaro avec sa femme et « là les masques tombent et il se révèle que cette femme c’est Suzanne la femme de chambre ». Il va demander pardon à sa femme de s’être trompé.
« Comme la comtesse est extrêmement sympa pffffff elle lui pardonne pfffffff évidemment »
Avant d’entendre l’air, quelques précisions, on termine la fiche technique. « C’est un opéra bouffe, extrêmement drôle (…)
mais ici Mozart va mettre en tension cette dimension bouffe de l’opéra avec un air extrêmement dramatique très très très très beau (…) Et moi c’est un air qui à chaque fois me fait énormément d’effet alors on l’écoute. »
On l’écoute. Deux minutes de musique, non stop. La salle du Théâtre de l’Alliance Française a dû frémir. Nous aussi, nous avons dû.
Mais vint le temps de la fin de l’air de Mozart.
Dialogue de deux pizzas, uncut version.
La calzone, contrefaisant un ténor : EUUUUUUUUUUUUU
La 4 frome : Est-ce que c’est pas magnifique ça calzone ?
La calzone : C’est magnifique je vous imagine en train d’écouter ça chez vous et euh ça…
La 4 frome : AAAAAAH
La calzone : ...tout le temps…
La 4 frome :… ah je je me rappelle l’avoir vu au Festival d’Aix-en-Provence c’était en VRRRRAI ! Je vous promets y’a les OUFFFF !
La calzone : Ah ah ah ah ah
La 4 frome : … des frissons.
L'heure de la synthèse a sonné, il faut maintenant réunir les deux en un.
« Un titre qui mêlerait guerre et paix, vous avez ça vous en discothèque, calzone ? »
Oui, elle a. D’où la question.
La calzone : C’est le Romantic Warrior
La 4 frome : Tout simplement ah ah ah ah ah
La calzone : C’est un album de Chick Corea hum hum. On adorait Chick Corea qui nous a quittés cette année.
La présentation vaut le détour, ça parlera tout de suite aux brigades anti-élites : « C’est pas l’album que j’préfère mais j’l’adore quand même.
On va en écouter un passage on va en écouter le thème un thème. »
Vingt secondes après l’intro, la calzone a quelque chose de très très très très important à nous décrire. La pochette du disque. Pendant sa description, les commentaires sont nourris, je vous en propose les meilleurs moments :
« Ah ah ah pffffff (…) pfff ah (…) tout simplement ah ah ah (…) ah pfff (...) »
Le morceau continue dessous et la calzone ne le perd pas d’oreille : « Là y'a un petit motif qui arrive vous m’en direz des nouvelles ». Nous l’écoutons une poignée de secondes.
La calzone : Ça vous plaît ?
La 4 frome : Aaaah j’aime booo-coup. J’aime beaucoup puis je r’commande vraiment sincérement à nos auditrices à nos auditeurs d’aller voir la pochette du disque qui est (la suite dans un début de fou rire) quand même mythique Chick Corea Romantic Warrior.
Hein la calzone c’est parfait on va d’ailleurs se quitter avec ce titre.
La calzone : Oui.
La 4 frome : Tiens, le temps de remercier toute l’équipe…
La suite contient un début de fou rire et les noms de l’équipe.
Et soudainement un remerciement au public qui tout à coup applaudit dans un délire indescriptible, parce qu’il sent qu’on parle de lui. Il rend aux pizzas le centuple de ce qu'elles lui ont offert pendant vingt minutes. La sincérité de ces applaudissements est palpable, c'est BEAU, TRÈS BEAU !
La 4 frome : La calzone on se retrouve la semaine prochaine ?
La calzone : Oui, vous avez une idée du thème déjà pour la semaine prochaine ?
La 4 frome : Oui (grand sourire radiophonique) mariage ah ah ah ah ah ah ah y’a d’nouveau d’quoi faire.
La calzone : Super
La calzone : Super
La calzone : Super
La calzone : Super
La calz… oh eh hein quoi qui qu’est-ce ? Oh la vache ! C’est fini ? Mais me dites pas que c’est la fin ! Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Merde, je me suis endormi en plein milieu, juste au moment où ça faisait ah ah ah pfff ah ah ah ah... et après je sais plus j’ai plongé.
Un coup de chance que j’aie écrit un billet sur la moitié où j’ai dormi, ça me permettra de me lire pour une fois. Je vais pas tout réécrire il manquerait plus que ça. Eh oh, j’ai pas envie de finir schizo !