Pour ce qui est de la force du vide, c'est plutôt une maladresse : je n'ai pas de reproches à faire à l'émission, mais j'avais besoin de mettre un peu de matière. J'ai donc réécouté à partir de son milieu cet entretien que j'avais stocké et dont je n'avais aucun souvenir. Après environ 2 minutes, convaincu de son intérêt, j'ai mis le lien. Puis comme il me fallait une anecdote pour donner du corps à mon post, j'ai saisi le tout petit épisode mais tel que je l'avais écrit, il n'était pour moi nullement dépréciatif (au contraire : ne pas faire comme van Reeth est pour moi une qualité). C'est en le relisant que j'ai remarqué qu'il pouvait être interprété comme une moquerie, mais moquerie légère donc je ne m'en suis guère soucié. En tous cas, dans mon intention il n'y avait pas de canardage à reporter ce micro-événement. Au contraire du cas Wiazemsky où je me suis livré à un éreintement bref mais délibéré et assumé comme tel, et surtout aussi honnête que possible.
Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous
Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition Page 22 sur 25
Bas de page ↓Nessie
211Re: Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition - Sam 10 Jan 2015, 23:48
Non c'est une impression fausse. J'ai 10 ans de forum et 25 ans de vie en ligne dans les pattes, donc je réfléchis avant d'écrire et j'évite la vacherie gratuite ou plutôt elle n'est pas du tout gratuite quand je réagis au style intellectuel et oral de Wiazemsky, la pauvre fille étant tout simplement une buse.
Pour ce qui est de la force du vide, c'est plutôt une maladresse : je n'ai pas de reproches à faire à l'émission, mais j'avais besoin de mettre un peu de matière. J'ai donc réécouté à partir de son milieu cet entretien que j'avais stocké et dont je n'avais aucun souvenir. Après environ 2 minutes, convaincu de son intérêt, j'ai mis le lien. Puis comme il me fallait une anecdote pour donner du corps à mon post, j'ai saisi le tout petit épisode mais tel que je l'avais écrit, il n'était pour moi nullement dépréciatif (au contraire : ne pas faire comme van Reeth est pour moi une qualité). C'est en le relisant que j'ai remarqué qu'il pouvait être interprété comme une moquerie, mais moquerie légère donc je ne m'en suis guère soucié. En tous cas, dans mon intention il n'y avait pas de canardage à reporter ce micro-événement. Au contraire du cas Wiazemsky où je me suis livré à un éreintement bref mais délibéré et assumé comme tel, et surtout aussi honnête que possible.
Pour ce qui est de la force du vide, c'est plutôt une maladresse : je n'ai pas de reproches à faire à l'émission, mais j'avais besoin de mettre un peu de matière. J'ai donc réécouté à partir de son milieu cet entretien que j'avais stocké et dont je n'avais aucun souvenir. Après environ 2 minutes, convaincu de son intérêt, j'ai mis le lien. Puis comme il me fallait une anecdote pour donner du corps à mon post, j'ai saisi le tout petit épisode mais tel que je l'avais écrit, il n'était pour moi nullement dépréciatif (au contraire : ne pas faire comme van Reeth est pour moi une qualité). C'est en le relisant que j'ai remarqué qu'il pouvait être interprété comme une moquerie, mais moquerie légère donc je ne m'en suis guère soucié. En tous cas, dans mon intention il n'y avait pas de canardage à reporter ce micro-événement. Au contraire du cas Wiazemsky où je me suis livré à un éreintement bref mais délibéré et assumé comme tel, et surtout aussi honnête que possible.
Viederland
Invité
212Marché noir - Dim 11 Jan 2015, 00:58
Ce qui m'inquiète n'est pas ce qui est gratuit mais au contraire ce qui peut rapporter. Ecrire à la légère, à mon sens, pourrait rapporter plus encore.
Nessie
213Re: Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition - Dim 11 Jan 2015, 09:08
"Ce qui peut rapporter ? "
Expliquez vous svp
= = = = = = =
"Même si vous nuancez vos propos, ce qui n'est pas pour me plaire"
Vous avez vraiment voulu dire ça ?
Expliquez vous svp
= = = = = = =
"Même si vous nuancez vos propos, ce qui n'est pas pour me plaire"
Vous avez vraiment voulu dire ça ?
Viederland
Invité
214Bombe à eau - Lun 12 Jan 2015, 10:36
Pardonnez-moi pour cette réponse tardive. Pour être franc, je suis embarrassé car ce message sibyllin avait justement pour but de ne pas développer, en ouvrant une brèche par le côté, du côté de l'intuition taoïste, du renversement, du vide salutaire.
Non pour faire couler le navire, mais lui faire faire un tour sur lui-même. Dans les ingrédients, petite concession à l'absurde et provocation légère - vu que vous rempilez sur cette pauvre Anne Wiazemsky - qui à mon sens ne mérite pas ces compliments, que vous lui faites.
S'il n'y a pas de critique sans "crisis" - je trouve une bien mauvaise idée de les provoquer artificiellement - ces crises - après quoi les nuances "positives" pourraient tout aussi bien s'inverser, où je me dis qu'elles ne sont là que pour des raisons d'équilibre, soigner les atours de l'image globale, dont la motivation, sur le fond, me semble relever d'une position sinon usurpée, en tous cas bien trop "supérieure" à mon goût. Ce que j'évoquais en parlant d'esprits se nourrissant aux poubelles de grands hommes, ou œuvres, qui leurs sont incommensurables. Quand cela d'avantage est mâtiné d'un certain orgueil, dissimulé ou non, c'est pire. Sans parler de ceux qui ne pointent que les bassesses, en occultant le message. Le but ce cette phrase était donc d'aller interroger directement les motivations profondes, sans égard, de ce coup, pour le sujet traité : d'où le marché noir - ou des "critiques et des avis" sans grand intérêt sont à entendre comme des symptômes et non plus des contenus. Méchanceté, par exemple. Je suis probablement au fait que cela fait partie des ingrédients "littéraires" - à la suite d'une longue tradition que même vous connaissez certainement bien plus que moi, seulement voilà, si vous touchez à des hommes de grande envergure, de grande valeur, à moins de les égaler, vous ne pouvez que vaciller et faire du bruit - je pense à JLG, je pense à Veinstein. Car toucher à Anne, c'est toucher à JLG. Ou à Bresson. Personnellement, je m'y risquerais pas. Bien entendu, il y a toujours des exceptions : Laure me semble un très bon exemple. On trouvera aussi ça et là, des critiques fondées - toujours dans la liste des exceptions : et après ? En fait je souhaiterais qu'en plus d'être fondées, elle soient en quelque sorte utiles. Dès lors qu'elles ne le sont pas, on retombe dans une économie noire - que toutes vos années d'écriture en ligne à mon avis n'ont pas encore assez interrogé.
Un exemple : à quoi me sert-il de savoir si les romans de Veinstein sont bons ? Est-que je me demande si Jimi Hendrix était bon au tennis ? Je pourrais penser que si je n'étais pas pris par une œuvre - et c'est pour cette raison que j'entends marquer une différence assez nette entre ceux qui proposent un vrai travail et ceux qui vivent dans les jupons de ces présences astrales - je me poserais peut être ce genre de questions - qui sont le signe d'une immaturité profonde, et ne parviennent pas à tuer le gout de l'ennui ou du vide existentiel dont ces questions proviennent - où l'on rangera aussi, le cabotinage littéraire, la complaisance à dénicher fautes et manquements, tout en offrant des "nuances" "positives" afin de tout de même donner le change. C'est en ce sens que je ne crois pas à l'expression de ces nuances, pas plus qu'au sens qu'elle véhiculent, d'ailleurs. Mais alors, est-ce que pour autant, je souhaiterais l'expression d'une admiration sans mélange, une série de commentaires positifs ? Probablement, oui.
Sans vouloir user de comparaisons mal choisies car les plans sont trop différents, je pense à un certain nombres d'auteurs envers lesquels il n'y a juste rien à redire, sur le fond comme sur la forme - à l'exception de questions morales, éthiques ou politiques, étant donnée la fameuse nature humaine - à moins peut-être, comme déjà dit, de se compter parmi ces géants. C'est pourquoi ici, les plastronnades et petits effets de style - je ne parle pour vous Nessie - dont les moteurs psychologiques sont en outre aussi faciles à deviner que tout entiers construits sur une pure "vanité" (où l'on retrouve le vide), ces interventions, donc, ne me semblent pas servir grand chose de bon. Dans une telle optique, je conseillais donc d'oser vraiment s'amuser, écrire gratuitement, en laissant de côté l'espoir d'avoir réellement quelque chose à dire. Certains se découvriraient peut-être un embryon de talent du côté des lettres, voire de la réflexion. En "écrivant à la légère" : c'est à dire avec une gratuité réelle - et non cette valeur piégée, où ce qui est donné comme gratuit s'avère en réalité le fruit d'une économie souterraine - qui bien souvent sent le renfermé, et n’intéresse personne.
En fait, je trouve aussi qu'il manque à ce fil général une véritable hauteur de vue, non seulement de la distance, mais encore un sens des vues abstraites, des catégories abstraites (mais l'une ne va pas sans l'autre). Ce qui s'apprend en sachant voir sans regarder, mais peu importe, là n'est pas le sujet. Il y a donc ici à la fois trop de "psychologie" et en même temps, on ne se voit pas soi même, en train d'écrire par exemple. On ne peut pourtant véritablement écrire qu'après avoir traversé une sort de mort. Mais qui est mort, qui a mouru ? Sans cette expérience, je dirais qu'il est hautement risqué de faire le malin. Il y a encore autre chose : pour moi, la culture est une question de vie ou de mort, y compris quand il s'agit de choisir son café et dans des tas d'autres petits détails - dont la négligence peut aussi être un devoir ou une chance, ce qui rend la vie tellement compliquée ...
A cet égard, comme je l'avais déjà exprimé ici, l’émission de Veinstein, à l'égal de tout autre objet aussi rare, aussi brillant, compte parmi ces univers dont le rayonnement est vital. Cela me faisait penser, ce matin même, au phénomène de l'école et du rapport qu'autrefois nous avions avec les professeurs - ou ce que l'on peut en penser aujourd'hui, à ce sujet - pour ceux qui auraient des enfants et qui s'y intéresseraient ... Nous avons je pense tous connu la différence entre des profs lambda et certains professeurs qui clairement sortaient du lot - jusqu'à parfois, comme on le sait, susciter des vocations, orienter carrément des trajectoires de vie. Or, justement, déplacé au plan radiophonique et sur une radio nationale et même si l'audience en était minime - chose effrayante en soi - ce phénomène peut être comparé à la force des contenus proposés par cet Alain : lesquels avaient pour moi quelque chose de vital, ne serait-ce que symboliquement, ou comme "possibilité" ouverte ou encore, comme rayonnement effectif et tangible - et n'oublions pas la diversité très travaillée des champs abordés dans cette émission. Si l'on suit cette comparaison, je trouve assez "petit" d'aller chercher des défauts, des moments de faiblesse et des nuances critiques à l'égard de quelque "grand professeur". Attention car je vois déjà tout le monde glisser sur le chemin boueux et s'écraser dans la marre (et c'est sans doute aussi ma faute) : je ne compare pas "spécialement" Mr Veinstein à un "grand professeur de culture", mais bien plutôt son projet et surtout ses invités, la somme de ses invités. J'insiste sur le fait que d'une certaine façon je me fiche d'Alain Veinstein : c'est son projet qui est terriblement utile, savoureux, qui plus est bien ficelé. Travaillant aussi sur la question des médias, à une échelle que personne ne saurait je pense imaginer ici, ajouter qu'en outre, si pour moi Veinstein n'est qu'un "emballage" ou en "emballeur" de contenus, l'emballage est génial, édifiant, et résonne comme une bombe (bombe à silence, bombe à fleurs) dans un champ de confusion hallucinant - qui lui, en revanche, est un peu tout le contraire - cumulant laideur, bêtise et fautes de gout, à l'infini. Y compris quand ce champ irrespirable charrie d'excellentes choses - et il y en a, fort heureusement. En conclusion, il y a tellement d'objets divers à critiquer, pourquoi toucher à Du Jour au Lendemain - comme s'il n'avait pas déjà été touché ? Genre mortellement ...
Non pour faire couler le navire, mais lui faire faire un tour sur lui-même. Dans les ingrédients, petite concession à l'absurde et provocation légère - vu que vous rempilez sur cette pauvre Anne Wiazemsky - qui à mon sens ne mérite pas ces compliments, que vous lui faites.
S'il n'y a pas de critique sans "crisis" - je trouve une bien mauvaise idée de les provoquer artificiellement - ces crises - après quoi les nuances "positives" pourraient tout aussi bien s'inverser, où je me dis qu'elles ne sont là que pour des raisons d'équilibre, soigner les atours de l'image globale, dont la motivation, sur le fond, me semble relever d'une position sinon usurpée, en tous cas bien trop "supérieure" à mon goût. Ce que j'évoquais en parlant d'esprits se nourrissant aux poubelles de grands hommes, ou œuvres, qui leurs sont incommensurables. Quand cela d'avantage est mâtiné d'un certain orgueil, dissimulé ou non, c'est pire. Sans parler de ceux qui ne pointent que les bassesses, en occultant le message. Le but ce cette phrase était donc d'aller interroger directement les motivations profondes, sans égard, de ce coup, pour le sujet traité : d'où le marché noir - ou des "critiques et des avis" sans grand intérêt sont à entendre comme des symptômes et non plus des contenus. Méchanceté, par exemple. Je suis probablement au fait que cela fait partie des ingrédients "littéraires" - à la suite d'une longue tradition que même vous connaissez certainement bien plus que moi, seulement voilà, si vous touchez à des hommes de grande envergure, de grande valeur, à moins de les égaler, vous ne pouvez que vaciller et faire du bruit - je pense à JLG, je pense à Veinstein. Car toucher à Anne, c'est toucher à JLG. Ou à Bresson. Personnellement, je m'y risquerais pas. Bien entendu, il y a toujours des exceptions : Laure me semble un très bon exemple. On trouvera aussi ça et là, des critiques fondées - toujours dans la liste des exceptions : et après ? En fait je souhaiterais qu'en plus d'être fondées, elle soient en quelque sorte utiles. Dès lors qu'elles ne le sont pas, on retombe dans une économie noire - que toutes vos années d'écriture en ligne à mon avis n'ont pas encore assez interrogé.
Un exemple : à quoi me sert-il de savoir si les romans de Veinstein sont bons ? Est-que je me demande si Jimi Hendrix était bon au tennis ? Je pourrais penser que si je n'étais pas pris par une œuvre - et c'est pour cette raison que j'entends marquer une différence assez nette entre ceux qui proposent un vrai travail et ceux qui vivent dans les jupons de ces présences astrales - je me poserais peut être ce genre de questions - qui sont le signe d'une immaturité profonde, et ne parviennent pas à tuer le gout de l'ennui ou du vide existentiel dont ces questions proviennent - où l'on rangera aussi, le cabotinage littéraire, la complaisance à dénicher fautes et manquements, tout en offrant des "nuances" "positives" afin de tout de même donner le change. C'est en ce sens que je ne crois pas à l'expression de ces nuances, pas plus qu'au sens qu'elle véhiculent, d'ailleurs. Mais alors, est-ce que pour autant, je souhaiterais l'expression d'une admiration sans mélange, une série de commentaires positifs ? Probablement, oui.
Sans vouloir user de comparaisons mal choisies car les plans sont trop différents, je pense à un certain nombres d'auteurs envers lesquels il n'y a juste rien à redire, sur le fond comme sur la forme - à l'exception de questions morales, éthiques ou politiques, étant donnée la fameuse nature humaine - à moins peut-être, comme déjà dit, de se compter parmi ces géants. C'est pourquoi ici, les plastronnades et petits effets de style - je ne parle pour vous Nessie - dont les moteurs psychologiques sont en outre aussi faciles à deviner que tout entiers construits sur une pure "vanité" (où l'on retrouve le vide), ces interventions, donc, ne me semblent pas servir grand chose de bon. Dans une telle optique, je conseillais donc d'oser vraiment s'amuser, écrire gratuitement, en laissant de côté l'espoir d'avoir réellement quelque chose à dire. Certains se découvriraient peut-être un embryon de talent du côté des lettres, voire de la réflexion. En "écrivant à la légère" : c'est à dire avec une gratuité réelle - et non cette valeur piégée, où ce qui est donné comme gratuit s'avère en réalité le fruit d'une économie souterraine - qui bien souvent sent le renfermé, et n’intéresse personne.
En fait, je trouve aussi qu'il manque à ce fil général une véritable hauteur de vue, non seulement de la distance, mais encore un sens des vues abstraites, des catégories abstraites (mais l'une ne va pas sans l'autre). Ce qui s'apprend en sachant voir sans regarder, mais peu importe, là n'est pas le sujet. Il y a donc ici à la fois trop de "psychologie" et en même temps, on ne se voit pas soi même, en train d'écrire par exemple. On ne peut pourtant véritablement écrire qu'après avoir traversé une sort de mort. Mais qui est mort, qui a mouru ? Sans cette expérience, je dirais qu'il est hautement risqué de faire le malin. Il y a encore autre chose : pour moi, la culture est une question de vie ou de mort, y compris quand il s'agit de choisir son café et dans des tas d'autres petits détails - dont la négligence peut aussi être un devoir ou une chance, ce qui rend la vie tellement compliquée ...
A cet égard, comme je l'avais déjà exprimé ici, l’émission de Veinstein, à l'égal de tout autre objet aussi rare, aussi brillant, compte parmi ces univers dont le rayonnement est vital. Cela me faisait penser, ce matin même, au phénomène de l'école et du rapport qu'autrefois nous avions avec les professeurs - ou ce que l'on peut en penser aujourd'hui, à ce sujet - pour ceux qui auraient des enfants et qui s'y intéresseraient ... Nous avons je pense tous connu la différence entre des profs lambda et certains professeurs qui clairement sortaient du lot - jusqu'à parfois, comme on le sait, susciter des vocations, orienter carrément des trajectoires de vie. Or, justement, déplacé au plan radiophonique et sur une radio nationale et même si l'audience en était minime - chose effrayante en soi - ce phénomène peut être comparé à la force des contenus proposés par cet Alain : lesquels avaient pour moi quelque chose de vital, ne serait-ce que symboliquement, ou comme "possibilité" ouverte ou encore, comme rayonnement effectif et tangible - et n'oublions pas la diversité très travaillée des champs abordés dans cette émission. Si l'on suit cette comparaison, je trouve assez "petit" d'aller chercher des défauts, des moments de faiblesse et des nuances critiques à l'égard de quelque "grand professeur". Attention car je vois déjà tout le monde glisser sur le chemin boueux et s'écraser dans la marre (et c'est sans doute aussi ma faute) : je ne compare pas "spécialement" Mr Veinstein à un "grand professeur de culture", mais bien plutôt son projet et surtout ses invités, la somme de ses invités. J'insiste sur le fait que d'une certaine façon je me fiche d'Alain Veinstein : c'est son projet qui est terriblement utile, savoureux, qui plus est bien ficelé. Travaillant aussi sur la question des médias, à une échelle que personne ne saurait je pense imaginer ici, ajouter qu'en outre, si pour moi Veinstein n'est qu'un "emballage" ou en "emballeur" de contenus, l'emballage est génial, édifiant, et résonne comme une bombe (bombe à silence, bombe à fleurs) dans un champ de confusion hallucinant - qui lui, en revanche, est un peu tout le contraire - cumulant laideur, bêtise et fautes de gout, à l'infini. Y compris quand ce champ irrespirable charrie d'excellentes choses - et il y en a, fort heureusement. En conclusion, il y a tellement d'objets divers à critiquer, pourquoi toucher à Du Jour au Lendemain - comme s'il n'avait pas déjà été touché ? Genre mortellement ...
Nessie
215Re: Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition - Lun 12 Jan 2015, 20:27
Dans l'écriture en ligne, user du style ou des procédés de l'allusion c'est un excellent moyen de mettre à côté, de ne pas être compris, d'être compris de travers, bref : que le message n'atteigne aucune cible. Je dis ça parce que les premières lignes de votre réponse me semblent remarquablement elliptiques.
J'ai toujours cru que la crisis mise en oeuvre par la critique faisait référence au travail d'analyse et de recomposition opéré par le rédacteur, et non aux effets de sa publication. En ce qui me concerne je suis ici en crise permanente, demandez donc à Machefert ce qu'il en pense, tiens.
Ereinter Godard ? Pas difficile. L'homme est immonde, l'oeuvre est mensongère, le parcours biographique frôle le loufoque. Mon dossier Godard déborde des mauvais coups de ce sale type donc on crée un fil en Conversatoire quand vous voulez.
Vous achevez votre message par la question rhétorique : "Pourquoi toucher à Du jour au lendemain" ?
Ma réponse : mais, pour la raison essentielle qu'il n'y a pas de sanctuaire. Certes là où je vous rejoins, c'est qu'on court le risque de critiquer stérilement. De là à la censurer à la base il y a un pas. La critique est logée à la même enseigne que la création : il en est de bien et de mal venues, il en est de justes et d'injustes, d'inattaquables et de fautives, il en est aussi d'utiles et d'inutiles, mais le pire est certainement qu'à force d'examiner la critique on en vienne à déplacer sur elle le débat fondamental qui portait initialement sur son objet. Or cette dérive est endémique dans l'esprit français, et ça ne date pas d'hier puisqu'elle infectait déjà le Panorama de France Culture : l'intolérance à la critique est un paradoxe vivant au pays de l'esprit critique.
Je retiens votre image d'économie noire. Je sais qu'elle est présente dans ce forum et que j'y ai ma part. La justifier au moins en partie serait facile mais à quoi bon : ni ceux qui la pratiquent en toute malséante inconscience ni ceux qui voudraient la liquider (en liquidant la critique) ne changeront leur position d'un iota. En conséquence, il faut laisser le bateau suivre sa route. En rappelant que personne n'en est le prisonnier, que tous ses passagers étaient libres d'y monter ou non, demeurent libres de le quitter ou non, d'y revenir quand ça leur chante. Pour le dire clairement : ni vous ni moi ni personne n'avons le droit de censurer moralement ceux qui écrivent ici. Chacun écrit ce qu'il veut et ensuite doit assumer les réponses qu'il reçoit, fussent-elles brutales. Ce principe a un nom : c'est la liberté.
Il y a dans votre long et intéressant message quelque procès d'intention ; au sens banal du terme je veux dire, et sans drame. En l'occurrence je me sens quelque peu visé mais par principe je n'y réponds pas en tous cas pas au premier degré. Je me contente de le souligner pour ce qu'il est : un cocktail de fantasme, de leçon de morale, de diagnostic hypothétique donc contenant tout de même une part de justesse impossible à évaluer. Utile certes mais à condition de se contenter de le prendre pour ce qu'il est : une spéculation hasardeuse. Tenter d'y répondre serait accepter d'entrer dans un interminable échange de ratiocinations, justifications et autres jeux transactionnels. Très peu pour moi, et sur ce forum j'ai eu mon compte. Ma réponse est déjà bien assez longue comme ça et nous éloigne bien assez du sujet. D'ailleurs votre post et le mien auraient davantage leur place dans le sujet "Critique de la critique".
Il reste un étonnement : à vous lire, on dirait que vous oubliez la raison essentielle qui fait vivre ce fil, et cette raison c'est en partie l'éloge de Veinstein, mais plus surement encore celui de son projet radiophonique. Est-ce que par hasard vous seriez en train de nous dire que cet éloge ne doit receler aucune zone d'ombre ? Ne doit recevoir aucune réserve ? Or les réserves, les nuances, c'est tout de même le b-a-ba de l'esprit critique, non ?
J'étais auditeur assidu de "Du jour au lendemain", mais non pas auditeur béat. Mon plaisir d'écoute se doublait d'un agacement chronique. A proportion, c'est avec un minime supplément de critique que je prolonge ici quasi à moi seul la vie de cette émission. Et je me vois confronté à une irruption extérieure par un procès de censure qui tout à la fois me dénie la légitimité de mon propos et m'enjoint de faire plus et mieux ? Donc c'est là que je me rebiffe : si j'étais susceptible je vous dirais que je trouve votre plaisanterie saumâtre. Si j'étais agressif je dirais que vos propos sont tout à la fois ridicules et agressifs. Enfin si j'étais celui qui signe Nessie je dirais : "Ecrivez ce que vous voulez mon cher, mais moi je continue en suivant ma route". Et pour perpétuer la qualité et l'esprit de Du jour au lendemain, vous avez tout le web pour vous, y compris ce fil, mais vous n'avez pas la maîtrise de mon espace de parole, ni de celui des autres forumeurs.
Très cordialement vôtre
Nessie
J'ai toujours cru que la crisis mise en oeuvre par la critique faisait référence au travail d'analyse et de recomposition opéré par le rédacteur, et non aux effets de sa publication. En ce qui me concerne je suis ici en crise permanente, demandez donc à Machefert ce qu'il en pense, tiens.
Ereinter Godard ? Pas difficile. L'homme est immonde, l'oeuvre est mensongère, le parcours biographique frôle le loufoque. Mon dossier Godard déborde des mauvais coups de ce sale type donc on crée un fil en Conversatoire quand vous voulez.
Vous achevez votre message par la question rhétorique : "Pourquoi toucher à Du jour au lendemain" ?
Ma réponse : mais, pour la raison essentielle qu'il n'y a pas de sanctuaire. Certes là où je vous rejoins, c'est qu'on court le risque de critiquer stérilement. De là à la censurer à la base il y a un pas. La critique est logée à la même enseigne que la création : il en est de bien et de mal venues, il en est de justes et d'injustes, d'inattaquables et de fautives, il en est aussi d'utiles et d'inutiles, mais le pire est certainement qu'à force d'examiner la critique on en vienne à déplacer sur elle le débat fondamental qui portait initialement sur son objet. Or cette dérive est endémique dans l'esprit français, et ça ne date pas d'hier puisqu'elle infectait déjà le Panorama de France Culture : l'intolérance à la critique est un paradoxe vivant au pays de l'esprit critique.
Je retiens votre image d'économie noire. Je sais qu'elle est présente dans ce forum et que j'y ai ma part. La justifier au moins en partie serait facile mais à quoi bon : ni ceux qui la pratiquent en toute malséante inconscience ni ceux qui voudraient la liquider (en liquidant la critique) ne changeront leur position d'un iota. En conséquence, il faut laisser le bateau suivre sa route. En rappelant que personne n'en est le prisonnier, que tous ses passagers étaient libres d'y monter ou non, demeurent libres de le quitter ou non, d'y revenir quand ça leur chante. Pour le dire clairement : ni vous ni moi ni personne n'avons le droit de censurer moralement ceux qui écrivent ici. Chacun écrit ce qu'il veut et ensuite doit assumer les réponses qu'il reçoit, fussent-elles brutales. Ce principe a un nom : c'est la liberté.
Il y a dans votre long et intéressant message quelque procès d'intention ; au sens banal du terme je veux dire, et sans drame. En l'occurrence je me sens quelque peu visé mais par principe je n'y réponds pas en tous cas pas au premier degré. Je me contente de le souligner pour ce qu'il est : un cocktail de fantasme, de leçon de morale, de diagnostic hypothétique donc contenant tout de même une part de justesse impossible à évaluer. Utile certes mais à condition de se contenter de le prendre pour ce qu'il est : une spéculation hasardeuse. Tenter d'y répondre serait accepter d'entrer dans un interminable échange de ratiocinations, justifications et autres jeux transactionnels. Très peu pour moi, et sur ce forum j'ai eu mon compte. Ma réponse est déjà bien assez longue comme ça et nous éloigne bien assez du sujet. D'ailleurs votre post et le mien auraient davantage leur place dans le sujet "Critique de la critique".
Il reste un étonnement : à vous lire, on dirait que vous oubliez la raison essentielle qui fait vivre ce fil, et cette raison c'est en partie l'éloge de Veinstein, mais plus surement encore celui de son projet radiophonique. Est-ce que par hasard vous seriez en train de nous dire que cet éloge ne doit receler aucune zone d'ombre ? Ne doit recevoir aucune réserve ? Or les réserves, les nuances, c'est tout de même le b-a-ba de l'esprit critique, non ?
J'étais auditeur assidu de "Du jour au lendemain", mais non pas auditeur béat. Mon plaisir d'écoute se doublait d'un agacement chronique. A proportion, c'est avec un minime supplément de critique que je prolonge ici quasi à moi seul la vie de cette émission. Et je me vois confronté à une irruption extérieure par un procès de censure qui tout à la fois me dénie la légitimité de mon propos et m'enjoint de faire plus et mieux ? Donc c'est là que je me rebiffe : si j'étais susceptible je vous dirais que je trouve votre plaisanterie saumâtre. Si j'étais agressif je dirais que vos propos sont tout à la fois ridicules et agressifs. Enfin si j'étais celui qui signe Nessie je dirais : "Ecrivez ce que vous voulez mon cher, mais moi je continue en suivant ma route". Et pour perpétuer la qualité et l'esprit de Du jour au lendemain, vous avez tout le web pour vous, y compris ce fil, mais vous n'avez pas la maîtrise de mon espace de parole, ni de celui des autres forumeurs.
Très cordialement vôtre
Nessie
Dernière édition par Nessie le Ven 06 Fév 2015, 07:59, édité 3 fois
Viederland
Invité
216Machine à fumée - Mar 13 Jan 2015, 10:38
Nessie, vous dites " spéculation hasardeuse " et c'est le sentiment que j'ai eu moi-même : je me suis levé trop tôt, et je n'ai pas fait l'effort de revoir tout le billet, soigner les phrases et les idées, plus ou moins fabriquées sur le tas. Je suis lent à écrire, plus encore à corriger, reformuler - c'est d'ailleurs pour cela que j'eus préféré, finalement ou plutôt au départ, quelques phrases courtes. Aussi, le fait que vous n'ayez pas cédé à la réaction et à l'irritation vous honore. J'ai bien pensé moi même qu'il y avait quelque chose d'aporétique à dénoncer les instances critiques .. sur un forum critique - sans parler de votre soutien à l’émission, sujet de ce forum. Mais encore, à ma décharge, ce qui rend caduque mon expression même est que je refuse d'emblée d'aller au charbon pour décortiquer le contenu de telle ou telle remarque sur tel ou point de détail - d'où ma tentative de traiter le problème "par le haut" ou en usant d'idées abstraites, par exemple, synthétiques. Refusant d'y aller, j'ai voulu critiquer les mouvements mêmes qui m'y enjoignent - avec beaucoup de maladresse, j'en conviens. Pour tenter de ne pas reproduire cet écueil, à titre d'exemple, j'ai tiqué sur votre adhésion partielle et ambivalente au sujet d'Anne Wiazemsky : cet entretien m'a surpris pendant le sommeil, et pour ne parler que d'elle, je l'ai trouvé très rigoureuse, et très sincère - à supposer d'ailleurs, que ce soient là forcément des qualités - mais aussi très libre, très naturelle. Dans cet entretien, on apprend maintes choses qui sont sans doute des détails, mais personnellement j'ai toujours apprécié les détails, car médités en gros plans, ils valent autant que leurs contraires, grandes théories, grands récits par exemple. Et puis, comme vous le soulignez vous-même, la seule association d'univers tellement hétérogènes, notamment en termes de séquences temporelles, c'est à dire de François Mauriac à JLG, m'a personnellement ravi, et c'est bien à elle, Anne Wiazemsky, que nous devons cette relation ... Il y a encore bien entendu, beaucoup d'autres "points critiques" avec lesquels je reste en désaccord - par exemple mention faite d'une différence notoire et discriminatoire entre un Veinstein de la première heure - que certains s'approprient, par dessus le marché - et le Veinstein tardif - d'autant qu'à mes yeux, l'interviewer n'est vraiment pas la pièce maîtresse du projet Veinstein - lequel à toujours et pour cause, plutôt cherché à s'effacer - et l'on connait tous ce que peut donner le projet inverse, cf le blouson noir aux cheveux d'or. Donc, en définitive ma conclusion temporaire est que je ressens pas mal d'incrustations sur ce forum comme des goujateries ou des impertinences déguisées en idées, je m'explique : c'est comme si l'on disait à une très belle femme : tu es magnifique, en revanche, tes pieds sont mal formés. Pour finir, et préciser à nouveau ma position : elle n'est pas solide car je balance entre deux décisions : tenter de défaire une à une les critiques qui me semblent devoir l'être, ou croire que je pourrais faire l'économie de ce travail en usant de grandes phrases "résumantes" aux effets magnétiques. Incapable de trancher, forcément, je me ramasse ...
Je profite de ce billet pour répondre à Philaunet : ANPR oui mais j'ai déjà tout, concernant DJAL. S'il y a moyen de faire mieux, ou plus ? Pour ma part, je m'engage à retrouver mon vieil ami rat de bibliothèques, mais je sais d'ores et déjà que ses cassettes sont verrouillées dans des cartons. De plus, il n'en a pas beaucoup, pour ce qui est des archives DJAL. Merci.
Je profite de ce billet pour répondre à Philaunet : ANPR oui mais j'ai déjà tout, concernant DJAL. S'il y a moyen de faire mieux, ou plus ? Pour ma part, je m'engage à retrouver mon vieil ami rat de bibliothèques, mais je sais d'ores et déjà que ses cassettes sont verrouillées dans des cartons. De plus, il n'en a pas beaucoup, pour ce qui est des archives DJAL. Merci.
Viederland
Invité
217Les pièges de la métaphore - Mar 13 Jan 2015, 12:57
On peut aussi supposer une belle femme très pénible, rien n'interdirait a priori de le lui signifier.
Nessie
218Youssef Ishaghpour - François Boddaert - Ven 30 Jan 2015, 16:14
Après quelques débats aussi passionnants qu'utiles car j'espère bien qu'ils permettront de faire un pas important vers une vaste collection de Jour au lendemain, nous reprenons le cours de nos propositions d'écoute : il y a aussi que j'étais occupé à châtier quelques parasites dans la cour d'un potager limitrophe résultat j'ai laissé passer l'occasion de signaler un fort intéressant entretien avec Youssef Ishaghpour : le délai de réécoute étant dépassé, l'entretien ne peut plus entrer dans notre pastille mais vous pouvez tout de même l'obtenir en clickant sur ce lien
En revanche pour François Boddaert, la disponibilité résiduelle de plusieurs semaines nous permet de vous proposer cette pastille qui économise les premières notes de l'indicatif -une précieuse demi-minute- que par ailleurs vous pouvez obtenir en entier si vous le souhaitez, en clickant sur le lien précédent (Ishaghpour, merci de suivre) comme quoi même quand on veut se plaindre y a pas moyen ah la la décidément on n'est jamais content.
Pour écouter François Boddaert et son éloge des villes : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2012/05/s20/RF_F7F28524-8B6C-4B9B-A419-1F1AC6643B9C_GENE.MP3" debut="00:30" fin="34:47"]
En revanche pour François Boddaert, la disponibilité résiduelle de plusieurs semaines nous permet de vous proposer cette pastille qui économise les premières notes de l'indicatif -une précieuse demi-minute- que par ailleurs vous pouvez obtenir en entier si vous le souhaitez, en clickant sur le lien précédent (Ishaghpour, merci de suivre) comme quoi même quand on veut se plaindre y a pas moyen ah la la décidément on n'est jamais content.
Pour écouter François Boddaert et son éloge des villes : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2012/05/s20/RF_F7F28524-8B6C-4B9B-A419-1F1AC6643B9C_GENE.MP3" debut="00:30" fin="34:47"]
JJJL
219Re: Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition - Ven 06 Fév 2015, 03:24
Bonjour
Je refais surface aprés plusieurs mois .
Je voulais dire que j'ai l'émission de SEPT 2005 sur les 20 ans de l'émission , donc si ça interesse quelqu'un qu'il me dise ici ou en MP comment faire pour la poster ...
Question : ça dure combien de temps une direction de FC en général ?
Je refais surface aprés plusieurs mois .
Je voulais dire que j'ai l'émission de SEPT 2005 sur les 20 ans de l'émission , donc si ça interesse quelqu'un qu'il me dise ici ou en MP comment faire pour la poster ...
Question : ça dure combien de temps une direction de FC en général ?
_________________
JJJL
Viederland
Invité
220Bias Adjustment - Sam 07 Fév 2015, 23:06
Bonsoir
Oui ça m’intéresse bien si vous avez une autre version que celle qui circule déjà issue d'un fichier Real Player - en clair avec un son horrible 8 Kbps / 8 bits.
En plus clair donc, oui si vous avez une version avec un son de qualité, issu d'un enregistrement FM ?
Merci d'avance.
G.Viederland
Oui ça m’intéresse bien si vous avez une autre version que celle qui circule déjà issue d'un fichier Real Player - en clair avec un son horrible 8 Kbps / 8 bits.
En plus clair donc, oui si vous avez une version avec un son de qualité, issu d'un enregistrement FM ?
Merci d'avance.
G.Viederland
JJJL
221Re: Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition - Sam 07 Fév 2015, 23:19
OK , mais je ne connais pas la procédure à suivre pour l'envoi du son .
Pour l'autre question que je posais je vois qu'il n'y a pas de durée générale de direction donc en fait je me demande ce qui fait qu'à tel moment on change de directeur ...
Pour l'autre question que je posais je vois qu'il n'y a pas de durée générale de direction donc en fait je me demande ce qui fait qu'à tel moment on change de directeur ...
_________________
JJJL
Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition Page 22 sur 25
Haut de page ↑Regards sur France Culture » LES FORUMS » France Culture » Alain Veinstein - Emissions en réécoute avant disparition
Permission de ce forum:
Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum