Forum des auditeurs passionnés et critiques de France Culture

Madame(comme minaudait l'agacant...rien à voir avec l'Iran même si je le trouvais passablement chattemitte!Qui? l'agac(edille)ant O.G.T.! Madame je ne suis pas vulgaire je suis marseillais et je persiste! J'insiste! Faust c'qui Faust! A coeur vaillant...Trouvez cette émission et vous me direz...

Si vous voulezrrvaiment qu'on en cause il faudra nous le rabattre car c'est hélas hors de mes moyens. Il y a encore peu de temps encore je ne dis pas, je vous aurais exhumé ce truc et deux coup de cuiller à mp3 mais on vient de me couper les yeux et de me crever les mains je me demande même comment je vais faire pour me boucher les oreilles avant le prochain épisode de Michel Onfray.

le tcha d'orant a écrit:je ne suis pas vulgaire je suis marseillais (cong!)

Well well vous commencez à m'intéresser figurez vous que depuis quelque temps je travaille sur la racine d'un sujet difficile : la vulgarité.

Si ça vous dit qu'on en cause, j'ouvre un fil sans grossièreté dans le conservatoire. Atassion il y aura de la coupure sémantique dans l'air. Mais je suis partant pour un grand balayage du sens.

...et ma grand-mère elle est pas mélomane elle est sicilienne(ouig monsieurg!) mais tout ceci nous éloigne de notre sujet! Vous disiez? D'ailleurs ne dites plus rien etplongez vous plutôt dans la lecture des oeuvres completes de l'incessamment-sous peu immortel Patrick Poivre que l'elitiste A.V. n'a jamais daigne inviter dans son salon! Il doit s' en mordre les doigts!

Ils ne prendront jamais Poivre. L'est plombé par ses forfaits le gars. Je pense même que pour arriver un jour jusqu'à la coupole, l'imposteur Olivier a plus de chances que son frère.

Chouette ! chouette ! À la place, on va pouvoir écouter 7 fois cinq minutes de variétés sciencepoiennes.
C’est vrai, l’était chiant Veinstein avec ses silences qui bouffaient du temps d’antenne et ses invités, encore plus. Au prix où c’est, c’est pas le moment de passer des nases qui eux aussi la ferme ou des piteux qui racontent que des conneries. D’ailleurs c’était fait pour s’endormir et c’est pas en endormant les auditeurs que le Poivre se serait fait une radio qui aurait pu rivaliser avec TF1. Moi j’l’aime bien le Poivre, il est drôle et original, ça avait de la gueule, quand même, la fin de l’année, avec tout le monde qui changeait d’émission avec tout le monde.
Faut dire que des années 70 au milieu des années 90 qu’est ce qu’on s’est fait ch… Rien que des vieux gâteux ou des sorbonnards, qui parlaient précautionneusement de leurs œuvres, qu’ils avaient mis des plombes, en plus, à bâtir. On n’en croyait pas ses oreilles. Place, enfin, aux efficaces qui, eux, s’prennent pas la tête avec des finasseries, qui causent dru, sans perdre leur temps ni leur assurance.
Le Veinstein, il avait un air de chien battu, parfois…C’était insupportable… Place à une antenne enfin dense et de l’espèce papillonnante. C’est tendance, ça plait aux directeurs. C’est fait pour nous épater, pour nous fidéliser et pour nous divertir.
Vous n’y comprenez rien, arrêtez de ronchonner.
Le Veinstein s’était rien qu’un vieux croûton qui datait des temps maudits (et d’ailleurs, un peu soixante-huitard, dans le ton). Ya pas de quoi en faire un plat. On n’avait, d’ailleurs, plus la place pour le garder.
Il faut : -chan-ger -les rayons- tous- les- ans-
Et aussi : -aug-men-ter-l’o-ffre-
Sur quel ton, le Boston Group doit vous le répéter pour que vous compreniez ? Autrement, vous vous faites chouraver la clientèle…
Alors chouette, chouette et rechouette and thank you for shopping france culture.

masterkey a écrit:La machine à pastille ne saura pas récupérer seule les adresses de ces émissions, celle présente dans ce message a été confectionnée à la main, mais il y a un moyen d'aller pêcher ces émissions, déjà diffusée en ANPR :  
- Repérez la page de l'émission (mettons celle du 15 juillet du Jour au lendemain : www.franceculture.fr/emission-du-jour-au-lendemain-jean-paul-michel-2010-07-15.html ).

- Examinez-en le contenu - la "source" -  ("Fichier"/"afficher la source", ou clic-droit sur la page puis "afficher la source" dans la plupart des navigateurs). Dans ce contenu, cherchez (control+F ou pomme+F) le texte div id="node- et notez le numéro qui suit (pour cette émission : 2302701).

Demandez alors au site de France Culture de vous lire l'émission correspondant à ce numéro en collant l'adresse suivante dans un navigateur : http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=le_numéro_relevé , ici : http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=2302701 .

Voilà déjà la lecture de l'émission lancée. Le rapatriement du fichier MP3 est ensuite possible par les techniques plus traditionnelles : Download Helper, ou examen du contenu de la page et recherche de l'adresse du fichier mp3.

Masterkey, mille mercis, vous êtes décidément un génie !

Rien à voir (enfin, peu) mais de mon côté j'enrage car je ne parviens pas à retrouver le nom de la romancière invitée à DJAL au printemps 2012 (?? me semble-t-il, du moins) dont on aperçoit une partie de l'interviou dans le film de Nicolas Philiber, La Maison de la Radio : je me souviens vaguement du sujet (genre autofiction d'adolescente) et du ton général de l'émission mais c'est tout. J'ai beau fouiller dans les archives du site de DJAl, aucune étincelle ne jaillit : si quelqu'un a une piste…

@chamaille

Ca m'étonnerait que vous ayez lu le fil ici depuis le début , vous diriez surement les choses d'une autre manière .
Qu'est ce que vous croyez ? Qu'on ne veut aucun changement ?
Ici il n'est question que de manière de faire .
Cette émission comme on l'a dit n'est pas une émission comme une autre , plus précisément de plein d'émissions on pourrait dire qu'elle n'est  pas comme les autres  ; ici il faudrait dire ceci  : cette émission est la seule à ne pas être comme les autres de la même manière  qu'on pourrait le dire des autres .
Qu'on l'aime ou non , qu'on aime ou  non Alain Veinstein.
Pour cette raison principale , pour la durée de l'émission , pour le respect de l'experience d'Alain V. , pour la discrétion de l'émission aussi et surtout  = simple émission de courte durée d'antenne d'heure de nuit donc "confidentielle " , etc ... , en bref pour mille et une raisons , il n'y a pas à tergiverser .
On ne veut qu'une seule chose : qu'on laisse le  principal et les principaux interressés (auditeurs) décider de la fin de cette entreprise car il s'agit  bien de cela il s'agit d'entreprendre de suivre et de poursuivre un des courants essentiels de la vie : la valeur de tout ce qui ne fait pas de bruit et agit de manière marginale sur ce qu'est le réel , une ambiance sourde (aux oreilles de la masse) , comme une poésie , un soubassement (mot Veinsteinien d'ailleurs s'il en est) qui supporte tout le reste bien en vue .
Courant , air , eau ou ce qu'on veut en bref  ... un cheval (comme dirait Souchon in Foule ...).
De plus pourquoi cette émission s'appelle telle s'appelle ainsi ?
Ce n'est pas simplement à cause de l'heure de diffusion , c'est parce que elle même dit le changement et est le changement même en train de se faire et petit à petit et jour par jour .
Ce n'est pas à coup de masse qu'on fait avancer les choses.
On peut aimer se divertir et aimer les choses plus futiles et moins "molles" (puisque que c'est un des aspects de cette critique) et où l'age entre t il là dedans ?  Bouvard est sur RTL et c'est pourtant pas du mou , c'est comme vous voulez  toutes ces émissions mais c'est pas  du changement pour autant .

George Weaver a écrit:
Rien à voir (enfin, peu) mais de mon côté j'enrage car je ne parviens pas à retrouver le nom de la romancière invitée à DJAL au printemps 2012 (?? me semble-t-il, du moins) dont on aperçoit une partie de l'interviou dans le film de Nicolas Philiber, La Maison de la Radio : je me souviens vaguement du sujet (genre autofiction d'adolescente) et du ton général de l'émission mais c'est tout. J'ai beau fouiller dans les archives du site de DJAl, aucune étincelle ne jaillit : si quelqu'un a une piste…

Il s'agit peut-être de Bénédicte Heim, que l'on peut voir dans cet article de Télérama (3ième extrait Télérama avec dailymotion):
http://www.telerama.fr/cinema/nicolas-philibert-je-voulais-filmer-la-radio-en-faire-du-cinema,95647.php

Avec votre eau, vos moulins et vos soubassements marginaux qui donneraient une assise aux bruits assourdis des changements infinitésimaux du réel, ah !... vous me faites rire ! Dites, vous ne seriez pas, par hasard, un adepte de Claude Mettra ? Si c’est le cas, il faut que ça vous passe car cette époque est révolue, finie, terminée. Les GO de la chaîne ont eu l’extrême habileté de dénicher des vedettes télévisuelles pour remplacer à terme le fameux tissu nourricier et matriciel auquel vous faites allusion. Ils ont décidé, pour notre bien, que nous voulions des infos, des rubriques avec beaucoup d’invités qui nous laisserons sourds, muets et incapables de penser (c’est mieux comme ça) et des émissions courtes. Des pastilles, des roudoudous, des sucettes et des émissions virgules. La virgule, spécialité de FC, est la forme vers laquelle doit tendre, désormais, toute émission et non pas un intervalle de temps les séparant. Vous conviendrez qu’il y beaucoup d’avantages avec cette approche dichotomique : chaque émission étant minuscule, les vides entre elles sont très nombreux. En conséquence, il ne faut plus trop de tissu matriciel (cad d’émissions roboratives et ennuyeuses qui emmènent les auditeurs dans des univers d’où ils risqueraient de ne plus revenir) car le vide ne se nourrit pas. Nous ne nous rendrons pas compte de l’absence de ces nutriments mauvais pour nous, nous ne souffrirons plus jamais de leur disparition.
C’est tout bénef, vive les GO !
Et vous pensez toujours que c’est pas du changement ? Que le vrai changement se fait au rythme d ‘AV et de ses circonvolutions hasardeuses, entre trois mondes, celui d’hier, de demain et celui de ses invités ? Et pourquoi pas rajouter celui de Mettra, aussi, et de ses mondes souterrains ? C’était hier. FC n’est pas DJAL. Nous tendons vers un univers radiophonique où il y aura un seul monde : celui de la radio, de toutes les radios, uniformisées, rationalisées, avec ses vedettes, ses virgules, ses infos, et personne ne vous croira si vous continuez à dire que c’est pas du changement et que pourtant vous aimez le changement.

Alain Machefert a écrit:

George Weaver a écrit:
Rien à voir (enfin, peu) mais de mon côté j'enrage car je ne parviens pas à retrouver le nom de la romancière invitée à DJAL au printemps 2012 (?? me semble-t-il, du moins) dont on aperçoit une partie de l'interviou dans le film de Nicolas Philiber, La Maison de la Radio : je me souviens vaguement du sujet (genre autofiction d'adolescente) et du ton général de l'émission mais c'est tout. J'ai beau fouiller dans les archives du site de DJAl, aucune étincelle ne jaillit : si quelqu'un a une piste…

Il s'agit peut-être de Bénédicte Heim, que l'on peut voir dans cet article de Télérama (3ième extrait Télérama avec dailymotion):
http://www.telerama.fr/cinema/nicolas-philibert-je-voulais-filmer-la-radio-en-faire-du-cinema,95647.php

Mille mercis, Alain, c'est exactement ça ! (comme dirait Laurent Goumarre…)

Et grâce à la géniale astuce de Masterkey, on peut réécouter ce DJAL du 24 mai 2011 (pardon, je m'étais trompé d'un an…) ici.