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Dans les journaux français Page 17 sur 17
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162Re: Dans les journaux français - Sam 08 Jan 2022, 07:45
« Au nom des bonnes audiences, la machine médiatique a renoncé à sa dignité » Pascale Clark, Le Monde 07/01/2022.
Philaunet 

Admin
163L'État de droit - Lun 17 Jan 2022, 12:16
Un constat de Muriel Fabre-Magnan, professeur de droit à Paris I, dont la pertinence est illustrée par l'absence complète à France Culture d'émissions sur le fonctionnement des institutions juridiques. Tout un pan de de la culture et du fondement des sociétés est sciemment ignoré. Contrairement au Royaume-Uni qui propose chaque année trois séries de quatre émissions sur BBC 4, Law in Action de Joshua Rozenberg.
L'article de 3400 mots ci-dessous donne une idée des sujets qui pourraient être traités dans des entretiens rigoureux, c'est-à-dire avec impartialité en apportant les voix du contradictoire, ou dans des documentaires consciencieusement élaborés, et ce au service de la constitution d'un jugement éclairé de l'auditeur. Mais à France Culture rien de tel n'existe. Ou quasiment rien, car Muriel Fabre-Magnan n'est pas une inconnue sur France Culture. Par exemple chez l'inénarrable Worms (celui qui voit le covid comme une chance) dans Le respect de la liberté, au coeur des institutions le 09/07/2020. Et aussi dans "La Grande table", La liberté se nourrit-elle d’interdits ? le 05/11/2018 et dans "Matières à penser", Les nouvelles frontières des droits de l’homme le 14/12/2018.
L'article de 3400 mots ci-dessous donne une idée des sujets qui pourraient être traités dans des entretiens rigoureux, c'est-à-dire avec impartialité en apportant les voix du contradictoire, ou dans des documentaires consciencieusement élaborés, et ce au service de la constitution d'un jugement éclairé de l'auditeur. Mais à France Culture rien de tel n'existe. Ou quasiment rien, car Muriel Fabre-Magnan n'est pas une inconnue sur France Culture. Par exemple chez l'inénarrable Worms (celui qui voit le covid comme une chance) dans Le respect de la liberté, au coeur des institutions le 09/07/2020. Et aussi dans "La Grande table", La liberté se nourrit-elle d’interdits ? le 05/11/2018 et dans "Matières à penser", Les nouvelles frontières des droits de l’homme le 14/12/2018.
Muriel Fabre-Magnan : « L'État de droit est-il malade du Covid-19 ? », Le Figaro, le 21/12/2021.
Les scientifiques se plaignent souvent de l'inculture générale dans leur discipline, mais l'inculture juridique est également patente, et peut-être plus problématique encore. On entend ainsi régulièrement accuser l'État de droit d'être la source de tous les maux contemporains, au point qu'il faudrait s'efforcer de l'affaiblir.
Mais l'État de droit n'est pas le respect de la hiérarchie des normes ; il n'est pas responsable de la dérive des droits de l'homme, des empiètements de l'Union européenne sur la souveraineté des États-Nations, et encore moins des excès de zèle bureaucratiques et technocratiques. L'État de droit est fondamentalement le contraire de l'arbitraire, que celui-ci résulte d'une absence d'État ou au contraire d'un abus de pouvoir par l'État.
Or depuis deux ans, la saga juridique autour du Covid-19 à laquelle nous assistons illustre – ad nauseam – le remplacement du droit par l'arbitraire du pouvoir. En cette période de crise sanitaire, les décisions politiques sont certes sans aucun doute particulièrement difficiles à prendre, tant l'articulation entre des objectifs divers et parfois antinomiques est délicate, que ce soit les enjeux de santé publique, la préservation des libertés individuelles, la soutenabilité du système public hospitalier, ou encore le maintien des activités économiques. Mais, précisément, le respect des principes et des procédures minutieusement forgés par le droit serait plus que jamais nécessaire.
En d'autres termes, si la situation que nous vivons actuellement est très préoccupante, c'est bien parce qu'elle est symptomatique du délitement de l'État de droit. (...)
Philaunet 

Admin
164GPA à Kiev, Ukraine - Sam 05 Mar 2022, 11:54
La GPA, dommage collatéral de la guerre en Ukraine Le Parisien, le 5 mars 2022.
Traduction du descriptif :

Billet du 17 décembre 2021 dans le fil SWR 2 Gestation pour autrui : Allemagne-Autriche vers l'Ukraine et retour sur un documentaire diffusé le 10 décembre 2021.C’est un autre dommage collatéral de la guerre en Ukraine. De nombreuses familles françaises s’inquiètent pour le processus de gestation pour autrui qu’elles ont entamé à l’autre bout de l’Europe. L’occasion aussi pour les opposants à cette pratique de dénoncer à nouveau un business « de la honte ».
Traduction du descriptif :

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