Comme ça je n'imagine pas non plus sur France Culture un forum consacré à l'émission Répliques. Mais je m'intéresse juste pour le moment aux commentaires apportés aux émissions tels que j'ai pu les voir sur le site. Or je n'en ai jamais vu plus de dix sur la même émission pour établir ma liste, même si j'ai pioché au hasard pour ne pas y passer trop de temps.
Je fais une digression. En parlant d'émissions, c'est bien sûr au sens des diffusions qui portent chacune sur un sujet particulier. C'est d'ailleurs étonnant qu'il n'y ait pas une façon concise de distinguer ce sens de celui de la série régulière de telles diffusions, série qui porte un nom et qui est généralement animée par la même personne. Ouf ! Et encore je dois en oublier pour que ce que j'ai écrit vaille définition.
Pour en revenir au sujet, tout dépend de la façon de valider, c'est-à-dire de censurer. Moi aussi je suis très libertaire. Mais je reconnais que, dans certaines circonstances, parce que les contraintes naturelles et les procédures de régulation implicites sont absentes, on se trouve tout étonné de constater que la liberté des autres ne peut plus être contenue.
Je vais voir ce qu'en dit Nessie mais, a priori, si une personne à laquelle, en fonction des valeurs du lieu, on reconnaît une autorité, est capable de tout lire avec un œil exercé, eh bien qu'on lui confère le droit de trancher. Reste qu'il faut parfois sans doute motiver ses décisions, voire répondre aux contestations de certaines personnes censurées, ce qui prend aussi du temps et de l'énergie. Et puis, s'il est nécessaire qu'il y ait plusieurs relecteurs, c'est comme dans l'enseignement : pour ne pas qu'on soit accusé de faire deux poids deux mesures, il faudrait à la limite qu'il y ait des réunions d'harmonisation au sujet des cas litigieux.
Par ailleurs l’autogestion j'y crois, oui, mais seulement dans la mesure où il y a, comme ce que j'ai dit auparavant, de ces contraintes naturelles ou de ces procédures implicites (ou non) qui jouent. Il y a une expérience de pensée qui s'applique ici... qui dit en substance que si on pouvait faire ce qu'on voulait en toute impunité, on commettrait tous les crimes. Le pronom indéfini correspond au cas général, ce qui n'exclut pas les exceptions, mais je peux imaginer que les auditeurs de France Culture comme les autres se livrent à des débordements inadmissibles.
Quant au cas des activistes qui pourraient s'infiltrer, je reconnais qu'il pourrait poser problème dans le cadre simple que j'envisage. Une personne suffisamment intelligente et motivée peut sans doute manipuler, voire détruire un groupe. Si on ne dispose pas d'un relecteur à sa mesure, autant prier qu'un tel pervers n'arrive jamais !
Je fais une digression. En parlant d'émissions, c'est bien sûr au sens des diffusions qui portent chacune sur un sujet particulier. C'est d'ailleurs étonnant qu'il n'y ait pas une façon concise de distinguer ce sens de celui de la série régulière de telles diffusions, série qui porte un nom et qui est généralement animée par la même personne. Ouf ! Et encore je dois en oublier pour que ce que j'ai écrit vaille définition.
Pour en revenir au sujet, tout dépend de la façon de valider, c'est-à-dire de censurer. Moi aussi je suis très libertaire. Mais je reconnais que, dans certaines circonstances, parce que les contraintes naturelles et les procédures de régulation implicites sont absentes, on se trouve tout étonné de constater que la liberté des autres ne peut plus être contenue.
Je vais voir ce qu'en dit Nessie mais, a priori, si une personne à laquelle, en fonction des valeurs du lieu, on reconnaît une autorité, est capable de tout lire avec un œil exercé, eh bien qu'on lui confère le droit de trancher. Reste qu'il faut parfois sans doute motiver ses décisions, voire répondre aux contestations de certaines personnes censurées, ce qui prend aussi du temps et de l'énergie. Et puis, s'il est nécessaire qu'il y ait plusieurs relecteurs, c'est comme dans l'enseignement : pour ne pas qu'on soit accusé de faire deux poids deux mesures, il faudrait à la limite qu'il y ait des réunions d'harmonisation au sujet des cas litigieux.
Par ailleurs l’autogestion j'y crois, oui, mais seulement dans la mesure où il y a, comme ce que j'ai dit auparavant, de ces contraintes naturelles ou de ces procédures implicites (ou non) qui jouent. Il y a une expérience de pensée qui s'applique ici... qui dit en substance que si on pouvait faire ce qu'on voulait en toute impunité, on commettrait tous les crimes. Le pronom indéfini correspond au cas général, ce qui n'exclut pas les exceptions, mais je peux imaginer que les auditeurs de France Culture comme les autres se livrent à des débordements inadmissibles.
Quant au cas des activistes qui pourraient s'infiltrer, je reconnais qu'il pourrait poser problème dans le cadre simple que j'envisage. Une personne suffisamment intelligente et motivée peut sans doute manipuler, voire détruire un groupe. Si on ne dispose pas d'un relecteur à sa mesure, autant prier qu'un tel pervers n'arrive jamais !