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Le passé radiophonique de Broué ni de Gardette ne plaide d’ailleurs pas pour eux. En 10 années de maison, Broué a pu faire illusion quand elle prenait les commandes de la matinale pour remplacer le gueulard des ondes qui en était le titulaire. Entre nous c’est pas difficile de briller quand on remplace Ali Baddou. Même Marc Voinchet y a gagné une respectabilité (mais une saison et demi plus tard il n’en reste pas lourd). Avant il y avait eu ses déplorables prestations du samedi après-midi pendant les early 2000’s. C’était l’école Adler dans toute sa splendeur : affligeant aussi bien dans le choix des sujets que par l’amateurisme débraillé de la présentation . Caroline Broué n’a réussi à redresser durablement son image qu’en prenant, le temps d’une saison ou deux, les commandes de l’Economie en questions. C’était toujours aussi terne mais normalement informant, donc en progrès pour elle. Ça n’a guère duré : le jeu de chaises musicales ayant repris, Caroline est allée ensuite confectionner un des pires tandems radiophoniques dans une émission d’actu dominicale. Et quand le tandem a changé de case pour aller s’asseoir à la grande table, le seul exploit des successeurs (les actuels titulaires) aura été d’augmenter encore le niveau de vulgarité. C’est dans cette émission du dimanche que nos radioteurs du dimanche avaient mis au point leur formule du dimanche, avec le second pédaleur dans la semoule, Hervé Gardette, qui avait été en son temps un des plus connement ricanants parmi tous les présentateurs du journal. Il a réussi finalement à marquer son plus gros point sur l’échelle de l’incompétence, avec l’ouverture en fanfare du désastreux site de France Culture. Ceux qui arrivent après la partie trouveront dans ce forum un fil entier pour servir au plus mérité la réputation d’Hervé Gardette en chef de projet.
Dressée par ces deux as de l’inculture souriante et fiérote d’elle-même, la Grande table a donc dignement rejoint toute une série d’émissions affreusement bètes et tellement pauvres en culture qu’elles gagneraient à lui tourner le dos, à la culture. Mieux vaudrait parler cuisine ou bien football ou encore lire l’annuaire, ça serait même pas moitié aussi creux, et au moins le contenu serait cohérent avec l’affiche. Oui je déconne, mais voyez vous c’est pour ne pas pleurer, car la situation est grave : La grande table représente parfaitement la main-mise sur cette radio par des journalistes réactifs, dynamiques, souriants, contents d’eux mais parfaitement vides de savoir ou d’idées personnelles, qui n’auront donc jamais rien de futé à dire, ne savent pas poser une question pertinente, et tout simplement ne savent pas faire de la radio culturelle. Mais ils ne sont pas inactifs (hélas) puisque tous leurs efforts sont employés à étaler et prouver cette incompétence chaque jour à midi pendant 90 minutes. C’est chaque jour un festival de bourdes d’inculture, questions à la con, problématique foireuse, idées reçues : voilà pour le contenu, et Octave en a relevé quelques exemples ci-dessus. Dans ce fil on en tartinerait des pages et des pages, de ces bourdes, si on avait l’abnégation et le courage de les écouter et de les noter. Depuis que la Grande table est dressée, je n’ai pas pu écouter une seule émission en entier sans craquer (lire : sans couper, excédé du taux de sottises entendues). J’en avais conservé une pour en inventorier les défauts, mais chaque fois que je m’attelle à ce travail de titan, j’y renonce presque immédiatement parce que ça me tire des larmes dont je ne sais pas si c’est de rire ou de honte.
Le passé radiophonique de Broué ni de Gardette ne plaide d’ailleurs pas pour eux. En 10 années de maison, Broué a pu faire illusion quand elle prenait les commandes de la matinale pour remplacer le gueulard des ondes qui en était le titulaire. Entre nous c’est pas difficile de briller quand on remplace Ali Baddou. Même Marc Voinchet y a gagné une respectabilité (mais une saison et demi plus tard il n’en reste pas lourd). Avant il y avait eu ses déplorables prestations du samedi après-midi pendant les early 2000’s. C’était l’école Adler dans toute sa splendeur : affligeant aussi bien dans le choix des sujets que par l’amateurisme débraillé de la présentation . Caroline Broué n’a réussi à redresser durablement son image qu’en prenant, le temps d’une saison ou deux, les commandes de l’Economie en questions. C’était toujours aussi terne mais normalement informant, donc en progrès pour elle. Ça n’a guère duré : le jeu de chaises musicales ayant repris, Caroline est allée ensuite confectionner un des pires tandems radiophoniques dans une émission d’actu dominicale. Et quand le tandem a changé de case pour aller s’asseoir à la grande table, le seul exploit des successeurs (les actuels titulaires) aura été d’augmenter encore le niveau de vulgarité. C’est dans cette émission du dimanche que nos radioteurs du dimanche avaient mis au point leur formule du dimanche, avec le second pédaleur dans la semoule, Hervé Gardette, qui avait été en son temps un des plus connement ricanants parmi tous les présentateurs du journal. Il a réussi finalement à marquer son plus gros point sur l’échelle de l’incompétence, avec l’ouverture en fanfare du désastreux site de France Culture. Ceux qui arrivent après la partie trouveront dans ce forum un fil entier pour servir au plus mérité la réputation d’Hervé Gardette en chef de projet.
Dressée par ces deux as de l’inculture souriante et fiérote d’elle-même, la Grande table a donc dignement rejoint toute une série d’émissions affreusement bètes et tellement pauvres en culture qu’elles gagneraient à lui tourner le dos, à la culture. Mieux vaudrait parler cuisine ou bien football ou encore lire l’annuaire, ça serait même pas moitié aussi creux, et au moins le contenu serait cohérent avec l’affiche. Oui je déconne, mais voyez vous c’est pour ne pas pleurer, car la situation est grave : La grande table représente parfaitement la main-mise sur cette radio par des journalistes réactifs, dynamiques, souriants, contents d’eux mais parfaitement vides de savoir ou d’idées personnelles, qui n’auront donc jamais rien de futé à dire, ne savent pas poser une question pertinente, et tout simplement ne savent pas faire de la radio culturelle. Mais ils ne sont pas inactifs (hélas) puisque tous leurs efforts sont employés à étaler et prouver cette incompétence chaque jour à midi pendant 90 minutes. C’est chaque jour un festival de bourdes d’inculture, questions à la con, problématique foireuse, idées reçues : voilà pour le contenu, et Octave en a relevé quelques exemples ci-dessus. Dans ce fil on en tartinerait des pages et des pages, de ces bourdes, si on avait l’abnégation et le courage de les écouter et de les noter. Depuis que la Grande table est dressée, je n’ai pas pu écouter une seule émission en entier sans craquer (lire : sans couper, excédé du taux de sottises entendues). J’en avais conservé une pour en inventorier les défauts, mais chaque fois que je m’attelle à ce travail de titan, j’y renonce presque immédiatement parce que ça me tire des larmes dont je ne sais pas si c’est de rire ou de honte.
Dernière édition par Nessie le Dim 20 Mar 2011, 21:34, édité 3 fois
