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Dernière édition par Antoine Arnoux le Ven 12 Mai 2017, 16:55, édité 1 fois
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''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux Page 27 sur 42
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Invité
261 
Vagissement radiophonique - Mer 06 Mai 2015, 16:49
Philaunet
Admin
262 Art littéraire et oratoire (rime avec mouchoir) - Jeu 07 Mai 2015, 19:13
Qui veut écrire (par courrier papier)à Marie Richeux ? Il paraît que ça lui fait toujours plaisir (voir seconde pastille).
Qui joue la pièce musicale ci-dessous ? On ne le sait pas, ce ne doit pas être très important, n'est-ce pas ? Il suffit de savoir que c'est (un extrait de ) la Sonate opus 8 pour violoncelle seul de Zoltan Kodaly, que Marie Richeux prononce "codali" (what else?) pour l'habituel "codaille". Il faut au moins écouter cette pièce pour pardonner ce qu'on lit puis qu'on entend ensuite (si un forumeur connaît l'interprète, please) :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s19/NET_FC_f09e745a-198c-4aaa-adc5-ece731bbcf3e.mp3" debut="54:43" fin="57:15"]
Le morceau d'anthologie de la prose richeusienne (remarquez c'est tous les jours la fête... ouvrons les fenêtres pour ne pas nous étrangler) :
"C'est le quatrième moment d'une semaine thématique autour du noir.
Aujourd'hui le noir est parfait. Il est tellement parfait que le narrateur questionne le hasard, la providence, le destin. On n'apprendra à personne qu'on lit autant dans les lignes de la main que dans le noir du marc de café que dans les cendres. Que tout est question de vision. C'est aussi ce que dit le poète à qui les mots et les vers permettent de mettre à jour le mystère de la vie demeuré dans l'ombre.
Le narrateur du livre dont il est question aujourd'hui, brûle. Il brûle de tous ses nerfs sans saisir la raison de ce feu. Noir parfait donné à lire une sorte de carnet de sa quête, ou tout fait diablement sens, les rencontres se reliant au noms de lieux, à des mythes, et à des croyances obscures dont la vérité éclate grec aux lunettes dont le narrateur s'est muni."
Me plaît énormément : « des croyances obscures dont la vérité éclate grec aux lunettes (...) ». Je comprends mieux pourquoi Marie Richeux a été une porte-parole de la grève pour défendre la qualité du Service public de la radio...
On ne manquera pas, à une minute du début de cette pastille, la désannonce de Richeux et la prise de relais de Gardette. Du grand art (tignole).
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s19/NET_FC_f09e745a-198c-4aaa-adc5-ece731bbcf3e.mp3" debut="57:14" fin="59:47"]
Qui joue la pièce musicale ci-dessous ? On ne le sait pas, ce ne doit pas être très important, n'est-ce pas ? Il suffit de savoir que c'est (un extrait de ) la Sonate opus 8 pour violoncelle seul de Zoltan Kodaly, que Marie Richeux prononce "codali" (what else?) pour l'habituel "codaille". Il faut au moins écouter cette pièce pour pardonner ce qu'on lit puis qu'on entend ensuite (si un forumeur connaît l'interprète, please) :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s19/NET_FC_f09e745a-198c-4aaa-adc5-ece731bbcf3e.mp3" debut="54:43" fin="57:15"]
Le morceau d'anthologie de la prose richeusienne (remarquez c'est tous les jours la fête... ouvrons les fenêtres pour ne pas nous étrangler) :
"C'est le quatrième moment d'une semaine thématique autour du noir.
Aujourd'hui le noir est parfait. Il est tellement parfait que le narrateur questionne le hasard, la providence, le destin. On n'apprendra à personne qu'on lit autant dans les lignes de la main que dans le noir du marc de café que dans les cendres. Que tout est question de vision. C'est aussi ce que dit le poète à qui les mots et les vers permettent de mettre à jour le mystère de la vie demeuré dans l'ombre.
Le narrateur du livre dont il est question aujourd'hui, brûle. Il brûle de tous ses nerfs sans saisir la raison de ce feu. Noir parfait donné à lire une sorte de carnet de sa quête, ou tout fait diablement sens, les rencontres se reliant au noms de lieux, à des mythes, et à des croyances obscures dont la vérité éclate grec aux lunettes dont le narrateur s'est muni."
Me plaît énormément : « des croyances obscures dont la vérité éclate grec aux lunettes (...) ». Je comprends mieux pourquoi Marie Richeux a été une porte-parole de la grève pour défendre la qualité du Service public de la radio...
On ne manquera pas, à une minute du début de cette pastille, la désannonce de Richeux et la prise de relais de Gardette. Du grand art (tignole).
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s19/NET_FC_f09e745a-198c-4aaa-adc5-ece731bbcf3e.mp3" debut="57:14" fin="59:47"]
Marie's Fan Club
Invité
264 Le nouvel estran. - Sam 09 Mai 2015, 23:34
Sur son blog, Marie Richeux écrit en lettres capitales (et en très gros caractères) :
INTERROGER LES RAPPORTS
Marie Richeux a consacré une semaine entière au langage, sans jamais s'interroger sur la novlangue arty dont elle est pourtant une des plus ferventes vulgarisatrices.
Résistance !
INTERROGER LES RAPPORTS
Marie Richeux a consacré une semaine entière au langage, sans jamais s'interroger sur la novlangue arty dont elle est pourtant une des plus ferventes vulgarisatrices.
Résistance !
Philaunet
Admin
265 Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Ven 15 Mai 2015, 09:17
Vivement la réforme des collèges !
« ( ...) cette béance a été comblée par des dizaines de dizaines de version du Sacre du printemps, comme toutes dansés au dessus du manque »
Le Printemps (4/5)
« ( ...) cette béance a été comblée par des dizaines de dizaines de version du Sacre du printemps, comme toutes dansés au dessus du manque »
Le Printemps (4/5)
Rex Honnah
Invité
266 La culture ne prête qu'aux Riche(s) heuh - Ven 15 Mai 2015, 13:01
Si les sacres du printemps sont dansés au dessus du manque
j'espère qu'ils sont joués au dessus du désir pour avoir cette sensation du massacre du tympan
de l'oreille de Van gogh et de abbatiale de Conques.
L'ère de l'humour sur Inculture France a bien commencé avec Richemarie.
A quand une émission jubilatoire non éjaculatoire sur notre rapport au rapports sexuels ?
Je vous salue Marie, le ciel me tient en joie.
NB:
ce mossieur fait manger les pissenlits par le Racine aux personnages d'un grand classique
Nous sommes sur Inculture.
j'espère qu'ils sont joués au dessus du désir pour avoir cette sensation du massacre du tympan
de l'oreille de Van gogh et de abbatiale de Conques.
L'ère de l'humour sur Inculture France a bien commencé avec Richemarie.
A quand une émission jubilatoire non éjaculatoire sur notre rapport au rapports sexuels ?
Je vous salue Marie, le ciel me tient en joie.
NB:
ce mossieur fait manger les pissenlits par le Racine aux personnages d'un grand classiqueNous sommes sur Inculture.
Philaunet
Admin
267 Honte à France Culture - Ven 15 Mai 2015, 13:38
Rex Honnah a écrit:(...)
L'ère de l'humour sur Inculture France a bien commencé avec Richemarie.
(...)
NB:
Nous sommes sur Inculture.
Il faut sans doute rire de tout cela, mais l'humour est bien gentil devant les innombrables et systématiques fautes d'orthographe, de grammaire, de logique et l'imbécillité des propos rapportés sur le site de France Culture à diverses pages dont celle de Marie Richeux est un triste exemple.
Encore une fois, au moment où les débats se focalisent sur l'école, sur l'apprentissage des savoirs fondamentaux au collège, comment peut-on laisser passer des pages de descriptifs bourrés de fautes sur le site de France Culture, par exemple dans la page Journée Spéciale " Culture, Nouvelle génération" (pas brillante, le moins qu'on puisse dire) où l'on peut lire :
« (...) retour en grâce du vinyle et de la cassette chez les mélomanes qui rejoignent la grande toile en s’échangeant sur le web [sic] ».
La page de Richeux est une insulte permanente aux auditeurs et à la culture, et ce, chaque jour depuis plusieurs années. N'y a-t-il personne pour le remarquer ou quoi ? Où sont les chroniqueurs des journaux généralistes, les revues sérieuses, les syndicats de profs, etc, pour s'intéresser enfin à la vitrine de France Culture, radio censée transmettre et éduquer ? Il y a là une démission complète.
Philaunet
Admin
268 Hagiographie en vue - Jeu 21 Mai 2015, 15:55
Il paraît (selon Marc Voinchet) que Marie Richeux a son portrait dans Télérama cette semaine (la photo rappellerait "un Véronèse"...). Qui nous le fournira ? Interdit de rire.
En attendant, qui peut expliquer cette phrase du grand écrivain Richeux et passionaria de la grève à Radio France : « (...) une série de tablettes sont à disposition du visiteur, pour, visant une reproduction, plonger à l’intérieur de la toile »
L’intérieur (3/5) (quelle pub ne lui fait-on pas !)
En attendant, qui peut expliquer cette phrase du grand écrivain Richeux et passionaria de la grève à Radio France : « (...) une série de tablettes sont à disposition du visiteur, pour, visant une reproduction, plonger à l’intérieur de la toile »
L’intérieur (3/5) (quelle pub ne lui fait-on pas !)
Nessie
269 Les brevets de Mademoiselle Rexona - Ven 12 Juin 2015, 09:06
Citant Télérama dans un autre secteur de notre forum, Philaunet a écrit:De quelle animatrice au micro de France Culture parle-t-on dans cette mémorable citation d'un hebdomadaire ?
« Pour cette passionnée de sons, diplômée en sociologie, la pitance radiophonique s'apparente à une nourriture énergétique »
Diplômée en sociologie ? Ça ne veut rien dire mais on peut parier que le rédacteur de l'article n'en a pas la moindre idée.
Et 'abord à quel niveau : j'ai vu obtenir la licence de sociologie et même avec mention bien par des étudiants qui, il y a 30 ans, n'auraient pas eu la moyenne à l'épreuve de français sauf coup de pot mémorable.
En cas de diplôme supérieur : on ne rappelle jamais trop qu'un diplôme en Lettres & SHS n'a de signification que si l'on précise l'établissement où il a été obtenu, le nom du directeur de recherche et le sujet de la recherche. Ainsi, un diplôme obtenu à Nantes signifie que vous maîtrisez la sophistique de Bourdieu ce qui est à la portée de n'importe quel perroquet de l'ultra-gauche, et que vous n'hésitez pas trop à faire assaut de statistiques même si vous vous plantez dans l'emploi des indices de dispersion (par exemple vous confondez l'étendue avec l'écart-type ou l'écart moyen). Dans plusieurs autres universités on voit officier des professeurs incapables de donner le schéma analytique d'une recherche, ce qui veut dire qu'on confond la science avec la spéculation et la littérature. Résultat une recherche nulle est tout de même couronnée mais le diplôme récompense plutôt quelques années de corvées, à se taper basses besognes et cours dont personne ne veut et que seuls les doctorants se résignent à saloper. Enfin quand vous avez un physique Rexona, le diplôme et la mention peuvent simplement signaler que vous n'étiez pas indifférente au directeur de recherche.
Bref on ne sait pas où situer le pourcentage de diplômes de complaisance : quelque part entre 30% et 50%. Voila pourquoi je veux bien lire un CV plus complet de Marie Richeux, et même sa thèse si elle a été jusqu'au doctorat. A défaut n'importe lequel de ses travaux de recherche où je parie d'avance que soit les bourdes y seront croquignolettes, soit on y trouvera un brouillard de baratin sans signification. Aussi, si je devais parier : je la verrais bien titulaire d'un Doctorat sous influence de Baudrillard ou de Maffesoli. N'importe lequel de leurs élèves plutôt qu'eux-mêmes vu qu'elle était encore au berceau quand le premier a pris sa retraite, tandis que les appétits du second vont à d'autres créatures qu'aux nymphettes.
_________________
A l'intention de ceux qui prennent mon pseudonyme pour un bouclier : mon identité n'est ni affichée ni dissimulée.
Pour la trouver il suffit de suivre le fil de mon profil.
Invité
Invité
270 Une gloire de la Sorbonne nouvelle - Ven 12 Juin 2015, 09:11
Modifié par l'auteur.
Dernière édition par Antoine Arnoux le Ven 12 Mai 2017, 16:58, édité 1 fois
Philaunet
Admin
271 Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Ven 12 Juin 2015, 09:22
Suite au post 270 ci dessus
On y lit, entre autres délicieuses confidences, qu'« un certain socle de connaissances universitaires (dans mon cas, en sciences humaines) sont [sic] assez préférables pour trainer dans les couloirs de France Culture... ».
Nous avons eu « la pitance radiophonique » et maintenant « traîner dans les couloirs ». On sent tout un professionnalisme à l'oeuvre.
On y lit, entre autres délicieuses confidences, qu'« un certain socle de connaissances universitaires (dans mon cas, en sciences humaines) sont [sic] assez préférables pour trainer dans les couloirs de France Culture... ».
Nous avons eu « la pitance radiophonique » et maintenant « traîner dans les couloirs ». On sent tout un professionnalisme à l'oeuvre.
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