Je jure mes grands dieux qu'en écrivant ce coup de gueule -acide mais poli- contre la chronique à manipes de Cécile de Kervasdoué, je ne savais pas que ça serait un jour confirmé par un hasard de recherche qui m'a mené à la page d'hagiographie ou d'auto-panégyrique de la journaliste dans Wikipedia ici détournée en page FaceBook à la gloire de Cécile de Kervasdoué. Qu'on en juge :à la page 2 de ce fil, Nessie a écrit:Elle est vraiment marrante à écouter, chaque matin la revue de presse internationale de Cécile de Kervasdoué : on se croirait au Guignol du Luxembourg [...] innovation ondique-scénique qui mérite d’être saluée : une diction de montreuse de marionnettes.
Ne sous-estimons pas les qualités radiophoniques de Cécile, douée d’un bon esprit de synthèse (toujours mono-orientée, mais belle synthèse quand même) et surtout d’une remarquable présence vocale dont elle use pour marteler toujours la même prestation à l’orientation hyper-prévisible. Le trick de Cécile, son invention-à-elle, sa signature ondique, sa marque de fabrique, c’est la tagadac-tac-tique du guignol.[...]
<< Elle est chanteuse lyrique (soprano). Elle a étudié le chant avec le contre-ténor Robert Expert et l’alto Jeanine Fourrier. Elle a fait une formation théâtrale en commedia dell'arte à destination du jeune public. Elle crée un spectacle itinérant de clown lyrique ; Elle tient un premier rôle dans Douce et Barbe Bleue opéra pour enfants d'Isabelle Aboulker [...] >>
Il n'y a plus de mystère.
Elle a une voix (on le savait)
Elle fait du guignol (on l'entendait)
Elle nous parle comme aux moutards (on la remercie)