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Au fil de l'écoute    Page 9 sur 85

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antonia 


81
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Re: Au fil de l'écoute - Mer 15 Déc 2010, 21:19

Lola, vous savez bien que j'ai toujours mes gros sabots, surtout en ce moment, c'est bien chaud avec de la paille dedans. Bon, donc, qu'est-ce que ces listes?
la liste de ceux qui seront fusillés demain matin, la liste de ceux qui vont être dénoncés au Parti ou des listes d'objets?
s'il vous plait, une petite explication pour l'ignare ravie que je suis

Lola 

Lola

82
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Re: Au fil de l'écoute - Mer 15 Déc 2010, 21:28

La liste ou les listes (vu les emplois divers), à la fois les listes de mots, d'idées, les usages que certains en font, le rôle des listes dans certains textes médiévaux, les listes de Pérec etc. La pratique de la liste comme le concept de liste. Pourquoi fait-on des listes et comment les fait-on ou les a-t-on faites.

fanch 


83
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Re: Au fil de l'écoute - Mer 15 Déc 2010, 22:33

Bérégovoy à la tribune de l'Assemblée avait des listes (qu'il agitait menaçant). Voinchet la liste des chroniqueurs-queuses des Matins. Baddou la liste des toquards. Laporte la-liste-de ses-invités-dans-une-autre-émission. Martel la liste de ses suffisances et insuffisances. Goumarre la liste de ses plateaux inox. Nessie la liste des trolls. Lebrun La liste type. Richeux la liste de ses clichés. Lola la liste des Saint-Thomas. François la liste de ses dessins. Laure Adler la liste de ses dégâts. Th.Baumgartner la liste de ses mythologies de poche de la radio. Et qui peut bien collectionner la liste des listes ?

Frédéric / masterkey 

Frédéric / masterkey
Admin

84
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Re: Au fil de l'écoute - Jeu 16 Déc 2010, 09:45

Mais Bertrand Russel, bien sûr, à défaut de posséder celle des listes qui ne se contiennent pas.

Marrant, en novembre dernier (enfin 2009), les Matins avaient reçu Umberto Ecco pour sa publication d'un livre consacré ... aux listes, il en avait été question dans le fil des matins : https://regardfc.1fr1.net/france-culture-f1/les-matins-de-france-culture-t19-40.htm#2125.
Ca tombe à période régulière ces sujets, visiblement, en fin d'année (peut-être pour accompagner l'équipe de PLPDC dans la confection de sa liste au père Noël ?)

Enfin la liste des listes et autres bizarreries conceptuelles avaient été évoquées.

http://www.regardfc.com

antonia 


85
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indicatif futur - Sam 18 Déc 2010, 13:56

Cette nuit, à 3H30, j'ai entendu l' émission "Indicatif futur" datant de 1972, réalisée par Bertrand Jérôme et Claude Dupont : "les jeunes face à l'emploi". Les jeunes interviewés provenaient du Val d'Oise et de Seine St Denis. Ah, ce n'était pas "les pieds sur terre"!. C'était trés, trés sympathique. Ils ne se plaignaient pas de la société, des salauds de patrons, des vieux de plus de 60 ans qui leur prennent le boulot, etc. Mais pourquoi: parce que les deux interviewers ne les orientaient pas. Ils leur faisaient ressentir, expliquer certaines de leurs contradictions, revenir sur ce qu'ils venaient de dire. Une véritable interview.
Et quand on pense qu'on nous rebat sans arrêt les oreilles de sondages avec une impossibilité, quand on est interrogé, d'être a la fois sur deux réponses ou sur aucune....mais, bon sang, c'est toujours la servitude volontaire!
Entre parenthèses, les sondages de France Culture, comment sont-ils faits? quelqu'un du forum a t-il déjà été "sondé"(!).
Pendant deux ans, je crois, une enquêtrice de l'IFOP m'a questionnée sur le moral des ménages. Ils ont pas honte d'avoir fabriqué un tel concept! le moral des ménages!!

fanch 


86
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La grande table… - Mar 21 Déc 2010, 17:25

Définitivement Gardette me rappellera les infos… et j'aime pas les mélanges donc je ne trouve pas "crédible" qu'il s'attaque à tous les sujets juste parce qu'il est journaliste… Aujourd'hui grâce à l'alerte d'Antonia j'ai écouté en différé la seconde partie de l'émission consacrée à Jean Giono, dont Broué et Gardette nous disent d'emblée qu'on fête le 40ème anniversaire de sa mort, sauf que le quarantième c'était le… 8 octobre et ça ils ne nous le diront jamais. Quand ça les arrange les journalistes commémorent au jour près ! Pi quand ça leur semble moins important ils le font quand ça les arrange ! Quelle rigueur !!!

Après Gardette énonce le poncif des poncifs sur Giono "un écrivain qui nous emmène en Provence.
Mais attention ! Pas celle des cartes postales! Dans la Provence de cet auteur, les nuages de décembre sont « très noirs et très lourds », la lumière « a des ombres d’un pourpre profond », et lorsque la neige se met à tomber, « tout est effacé, il n’y a plus de monde, plus de bruit, plus rien ». (la suite sur le site)

Par contre les invités maîtrisent leur sujet et quand on aime Giono on se régale ! Gilles Lapouge, écrivain,(à nous faire regretter Agora qu'il animait le soir vers 18h20, période Borzeix) Mireille Sacotte, écrivain et professeur à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris III,
Sophie Chérer, écrivain.

Ici les journalistes ne servent qu'à poser quelques questions banales. Ils le font sans joie, sans passion, sans intérêt pour leur sujet et ça se sent.(1) Enfin moi je le sens surtout quand c'est un sujet que je maîtrise un peu. Je ne vois pas de différence avec le Tout arrive de Laporte. Superficiel dans la façon des journalistes qui jusqu'à preuve du contraire ne sont pas des encyclopédies ! Pourtant chaque jour ils nous font croire qu'ils connaissent les sujets dont ils parlent quand ils ne les connaissent souvent que de la veille ou du matin.

(1) Choisir un extrait d'un entretien radio avec Jean Carrière (écrivain des Cévennes, Prix Goncourt pour L'épervier de Maheux) c'est usé jusqu'à la corde. On retrouve ces entretiens dans un petit bouquin édité à l'époque à la Manufacture et en édition sonore Radio-France s'il existe encore…

fanch 


87
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La grande table bis… - Jeu 23 Déc 2010, 07:53

En y repensant Gardette & Broué ont le ton des journalistes, l'accroche verbale, le raccourci (de la pensée). Puisque que c'était Lapouge qui nous entretenait de Giono (mardi 21) on imagine bien comment lui il aurait interviewé ses invités. Avec des questions pointues (et simples) avec la VOLONTÉ D'ÉCOUTER LA RÉPONSE quand les journalistes se contentent de préparer leur future question et d'écouter distraitement leur interlocuteur. Pour un journaliste il faut :
- caser des questions,
- attraper une ou deux idées génériques,
- ne pas trop faire développer celui qui répond et surtout…
PASSER A AUTRE CHOSE avant même que la pensée de l'auditeur ait pu prendre la mesure de l'écoute… Ni A. Perraud, ni O.G. Thomas ne procèdent de cette façon (ni Laurentin d'ailleurs, ni Voinchet du temps de Tout Arrive, ni même L.A. Woman, ni F. Chaslin).

J'ai mis un peu longtemps à comprendre ces façons "nouvelles" ces façons surtout qui se satisfont d"à peu près", de "clichés", de "synthèse de tout : des mots, des idées,…". Vous êtes plusieurs à le dire et depuis longtemps on a fait rentrer à Culture une modernité de l'instantané et immédiateté, voire de facilité de la conversation du "coin de la rue". Ce qui pour moi faisait Culture (je venais d'Inter) c'était une pensée développée, analysée, fouillée, expliquée sur des sujets intemporels et universels que j'avais par la suite envie d'approfondir, de prolonger par des lectures ou des échanges.

La grande table c'est du Grain à Moudre… à midi. Je peux dans les deux cas prendre à la sauvette une idée ou cet impitoyable "air du temps tendance" que tellement portent en sautoir. Laporte enfile les perles (et son admiration cucul et sirupeuse pour son dernier invité du 18/12), Goumarre jongle avec sur ses plateaux, Martel les explose en les crachant dans la soupe…

À part l'exception notoire de Baumgartner la jeune garde est à l'image de ceux qui viennent éructer avec Baddou le samedi, où à l'image de Richeux baba&pola. Il faudra attendre un peu pour voir comment OPA peut influencer ces tendances lourdes de société. Ces nouveaux producteurs (non élevés à/par la radio) reproduisent à la radio les tics issus des "nouvelles" technologies sans imaginer un seul instant qu'une AUTRE ÉCRITURE EST POSSIBLE.

Quant aux journalistes… en les faisant entrer à Culture on leur a fait accroire que grâce à leur statut ils pouvaient être les maîtres universels des ondes quand ils sont tout justes maîtres de leur parole tellement stéréotypée…

dandylion 


88
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La grande table ter... - Sam 01 Jan 2011, 00:33

Aujourd hui, dans la grande table un intervenant a distribué Leslie Howard dans le role d'Eliza Doolitle dans la version de 1938 de Pygmalion-My fair Lady !
Very Happy Laughing

fanch 


89
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C'est pas moi qui le dit… - Jeu 13 Jan 2011, 17:41

Olivier Chaumelle (producteur à Fc) :
"Cette radio est la gloire du Service public,… (…)a quelque chose de parfaitement irréprochable. Fm et Fc c'est très prestigieux aussi mais des fois il peut arriver qu'on s'emmerde un petit peu à écouter ces chaînes un peu intello… (…) c'est fait avec une telle délicatesse… on n'est jamais déçu… l'emmerdement ça n'existe pas à l'écoute de (…) quelque soit l'heure à laquelle on se branche dessus…"

CQFD

(…) = FIP
extrait du feuilleton "Vous avez loupé Marie-Martine" sur Fip, feuilleton podcastable, à l'occasion des 2x20 ans de la chaîne,

Nessie 

Nessie

90
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Une gerbe pour Quénéhen - Jeu 20 Jan 2011, 13:03

Martin Quénéhen a fait dimanche l'intro la plus bète de toute la semaine. Il a pourtant une sacrée concurrence sur la grille : entre la duchesse à gros-sabots-des-zamoureux (chaque soir 22h15), l'échappée de Thanksgiving (une fois sur deux au grain à moudre), la concierge SM-pète-sec (le mercredi à 21h), Mademoiselle Sucre d'orge (chaque matin 6h05), sans oublier le gueulard des ondes (samedi 15h), et j'en passe, j'en passe.... C'est que l'intro idiote est en train de devenir une des deux marques de fabrique de France Culture saison 2010-2011 (l'autre, c'est le dialogue-bidon nunuche, on donnera bientôt dans ce fil la liste des heures à éviter).

En tous cas nos fatigants de l'intro, ce dimanche Martin Quénéhen les enfonce tous, passant une bonne minute à expliquer que France Culture colle à l'actualité (super pour une station culturelle !), et là il tartine bien gras pour s'excuser de ne pas traiter du sujet o-bli-gé de ce dimanche, qui est la révolution en Tunisie. Mais, mais, mais qu'on se rassure dit-il : le Xav'e en a traité une heure avant et Martel va en parler une heure après, et il y aura aussi les Matins de demain matin, et nos Retours de toutes façons en avaient causé la semaine dernière. Après cette revue l'auditeur s'attend à ce que Quénéhen promette de remettre le couvert dimanche prochain, pitié...

Non c'est génial quand même : passer une minute à se justifier de ce qu'on ne fait pas, rien que ça c'est débile. Tout en insistant bien lourdement à énumérer l'armée de ceux qui le font quand même, à côté dans la même maison (mais dans ce cas, pourquoi cette auto-déploration ?). Et puis se justifier encore parce que nous on l'avait déjà fait avant. Et tout ça pour fièrement annoncer que la chaine culturelle colle à l'actu non culturelle.

En passant il a oublié de citer L'Esprit public, la Rumeur du monde, et Hubert Védrine du vendredi. C'est pas une radio culturelle, c'est une colonne de chenilles processionnaires qui se larde les arpions jusqu'aux salades de l'actu. Mais qui donc leur a ouvert la grille du potager ?

./...



Dernière édition par Nessie le Jeu 20 Jan 2011, 22:51, édité 1 fois

Nessie 

Nessie

91
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Avec Martin Quénéhen, France Culture s'enfonce - Jeu 20 Jan 2011, 13:09

./...

En tous cas, quand une émission commence par un tel faisceau de preuves d'amateurisme moi ça me donne envie de couper illico. Mais enfin je tiens bon, parce que je sais que cette semaine l'invité c'est Philippe Pignarre qui, tout militant qu'il soit avec ses gros godillots, est généralement très bien informé et qu'il a des trucs intéressants à dire, et tant pis s'il les arrose avec une véhémence quelque peu hystérique. Ca c'est pas grave : l'auditeur qui connait Pignarre sait qu'il suffit de retirer la couche d'outrance c'est un peu comme la couche de saindoux en haut du pot de rillettes.

Le problème en attendant l'invité, c'est que l'intro de Quénéhen continue, et qu'elle ne sera pas seulement journalistiquement bête, en plus elle est toujours aussi bète dans sa façon de chercher l'effet, avec des pseudo-trouvailles qui feraient casser la copie en école de journalisme. D'habitude il joue plutôt de la périphrase prétentieuse et des images lourdingues, mais cette semaine en plus il a opté pour le style négligé-branchouille-qui-se-voudrait-nerveux. Dans tous les cas, ça montre que Quénéhen a du apprendre à lire l'info dans Libé au début des 80's. Alors les conneries s'enchaînent : on apprend que "Médiator" rime avec "tête de mooort", que c'est une "amphète" a-no-rex-i-gène (et vlan 5 syllabes c'est trop pour lui du coup sur ce mot-là Martin se ramasse, comme Ali Baddou et Frédéric Martel, mais c'est pas pour ça qu'il a raccourci "amphétamine" : "amphète" c'est plusse branché). On apprend aussi de ladite "amphète" qu'elle a un nom de groupe de hard-rock, ah bon et ça apporte quoi à l'info, cette comparaison ? Mais sachez donc brave con d'auditeur, que l'info est secondaire pour qui veut faire genre. Et comme Quénéhen veut faire genre il enfile les lieux communs et les images idiotes : on apprend que "le rapport se lit comme un polar", que le médiator va être passé au "stéthoscope que dis-je à l'IRM" dit Martin qui a appris dans un atelier d'écriture comme on fait pour filer la métaphore alors il abuse du procédé comme abusent tous les mauvais écriveurs. Et parce que c'est en plus un de ces dialogues lourdauds comme la chaine nous en saoule depuis la rentrée, Martin est relayé par Agnès"395e-clope-sans-dormir"Chauveau qui continue dans le même style. Nos deux clowns journalistiques accumulent leurs clichés de mauvaise littérature au service de quoi ? Au service d'un sensationnalisme bas-de-gamme, toujours en forçant bien le jugement à gros traits et sur les airs archi-usés de "A qui la faute ?" et "A qui profite le khrïme". Bref, les vices journalistiques de France Culture se trouvent condensés dans l'intro de ces Retours du dimanche.

Quénéhen se gave de mots pour faire de l'effet, mais il ferait mieux de se relire et peut-être d'ouvrir son dictionnaire. Il n'y a pas que ses effets, clichés, et images superflues ("éclabousse", "brûlant rapport", "vieux patriarche milliardaire", "mission régalienne", "filière malade" je fais pas la liste mais en écoutant vous en trouvez souvent plusieurs dans une seule phrase) il y a aussi, et carrément, de la faute de rédaction. Je donne un exemple : il nous est dit que l'IGAS aurait fait le "portrait-robot" du médicament dangereux.
Question : et en quoi est-ce un portrait-robot ?
Réponse : ça n'en est pas un.
Tout au plus ça aurait pu être un portrait, même si le mot "tableau" suffisait. Eventuellement un "réquisitoire" pour qui tient absolument à faire image, au moins celle là n'était pas excessive. Mais voila : "portrait-robot" ça charge, et puis ça nous rapproche du polar. Pas de pot pour Quénéhen : son image met complètement à côté, car on ne fait le portrait-robot que des coupables qu'on cherche et pas de ceux qu'on a attrapés. Et puis le coupable c'est pas le Mediator, c'est Servier (toute l'émission est faire pour le dire). Bon, je n'insiste pas mais rien que sur cette connerie-là, il y a encore à dire.

Or des conneries comme celles-là, chaque semaine Quénéhen nous en sert quelques unes, et toujours avec ce ton archi-satisfait de celui qui se la joue. Agnès Chauveau conclut leur numéro prétentieux en annonçant le "truculent" journal sonore qui fait le pont avant d'accueillir l'invité. Oui, un "truculent" journal sonore. L'auditeur se demande en quoi il est "truculent". Réponse : il n'est pas truculent, il est outré. Truculent est une autre faute de vocabulaire, un mot mal choisi pour justifier les extraits de Damia qui soulignent d'un humour mal venu les drames humains qu'on exploite à fond en 1' de ce Journal sonore : des drames dont on fera une série de gags qui non seulement méritent décorticage, mais surtout sont à la limite de la faute professionnelle. Je vous conseille d'écouter, car ça vaut le coup de voir comment chez Quénéhen et Chauveau on se fend la poire en exploitant quelques morts.

Faut-il épingler toutes les lourdeurs de ces intros ? Entre le bétisier et la collection de fautes de goûts, rien que de commencer l'inventaire déjà c'est épuisant et puis ça serait même un rien sadique de décortiquer le tout. Mais surtout c'est franchement une épreuve, que d'écouter attentivement un tel bric-à-brac de journalisme débutant, où l'on trouve tout ce qu'il ne faut pas faire dans ce métier mais que les parvenus de FC se permettent à chaque heure sur la fréquence. Je dis bien à chaque heure, car l'intro lourdingue de Martin & Agnès ne fait qu'illustrer une médiocrité maison dont ils n'ont pas l'exclusivité.

Par chance on peut y échapper grâce à un bon logiciel pour la réécoute, qui permet de faire des sauts de 15 secondes chaque fois qu'on entend la voix de ces 2 plaies de radio. Comme ça on entend l'invité et pas trop les producteurs. N'empêche : ils m'ont tellement saturé dimanche, qu'il m'a fallu 4 jours pour retrouver le courage de dépiauter l'émission à la recherche de Philippe Pignarre, qu'il faudra encore dégraisser de ses lourdeurs à lui. Lourdeurs qui sont d'ailleurs bien en phase avec le terreau idéologique de cette émission intoxiquée, et donc bien en phase avec les options idéologiques de cette radio. D'ailleurs il n'y a pas que les options idéologiques, avec le jugement forcé et les conditionnels insinuants ; on retrouve les autres options de l'info made in FC : le sensationnel, la culpabilisation, et le fin du fin qu'est cette façon de conjuguer l'alarmisme médical avec la diabolisation du système dont on se fait chaque jour le propagandiste en vendant de l'épidémie au bon con d'auditeur. Mais ça c'est un autre sujet : l'incohérence de la rédaction de FC (attention : sujet épais !).



Dernière édition par Nessie le Mar 01 Fév 2011, 04:28, édité 1 fois

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