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Au fil de l'écoute Page 25 sur 85
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Invité
241emissions radio France Culture - Mar 03 Déc 2013, 11:32
Bonjour. Je vous écoute tous les jours. J'ai remarqué , le soir en particulier dans certaines de vos émissions, que les paroles sont perturbées par une musique que vous diffusez simultanément. Ce mélange est exaspérant et de mauvais gout. L'écoute est perturbée. C'est antinomique et de mauvais gout. Bonne journée. JACQUES
Nessie
242Radio-Brouillon, 456eme édition - Ven 06 Déc 2013, 15:48
Nous sommes le 6 décembre 2013, début d'après midi. J'écoute ma captation des nuits. Je sais déjà que le programme qui suit les nuits va être bouleversé, mais la curiosité me pousse à aller voir comment ça s'est passé. Eh bien je suis pas déçu...
Marc Voinchet à 6h03 "Il y a comme un mélange en ce moment à l'antenne".
Un mélange, ah ouiche tu parles ! Les super-pros du service public n'ont même pas été foutus de nous faire un son correct. Mais reprenons depuis le début :
- Il est juste 6h pile, et après les 20 secondes habituelles de blanc à l'antenne pour passer des Nuits de FC à l'ouverture de journée par Tewfik Hakem, voila qu'effectivement c'est ce dernier qui, tout patelinesquement enregistré, commence son babillage, puis discute 1 minute avec son invité, puis lance "Histoire de" par André Brahic.
- A 6h03, quelques mesures de musique africaine viennent se superposer à la naissance du soleil, et le grand improvisateur Marc Voinchet lance, toujours en surimpression, qu'on vient d'apprendre la mort d'un soleil cette nuit : Nelson Mandela nous a quittés. Ca dure une demi-minute puis Voinchet renonce et Brahic continue.
- A 6h04, les as de la technique ont enfin réussi à shunter Brahic et après encore 5 ou 10 secondes de blanc, Voinchet peut lancer l'obituaire du jour. On apprend que la nouvelle est connue depuis la veille, 22 heures. Et France Culture n'a pas été foutu de nous faire un démarrage propre à 6 heures pétantes.
(et à 06h45, Antoine Marette ouvrira sa revue de presse par un "Les journaux ont eu le temps de bouleverser leurs Unes..." eh oui, mais France Culture n'a pas eu le temps de préparer une transition propre).
Bonjour les nuls...
Marc Voinchet à 6h03 "Il y a comme un mélange en ce moment à l'antenne".
Un mélange, ah ouiche tu parles ! Les super-pros du service public n'ont même pas été foutus de nous faire un son correct. Mais reprenons depuis le début :
- Il est juste 6h pile, et après les 20 secondes habituelles de blanc à l'antenne pour passer des Nuits de FC à l'ouverture de journée par Tewfik Hakem, voila qu'effectivement c'est ce dernier qui, tout patelinesquement enregistré, commence son babillage, puis discute 1 minute avec son invité, puis lance "Histoire de" par André Brahic.
- A 6h03, quelques mesures de musique africaine viennent se superposer à la naissance du soleil, et le grand improvisateur Marc Voinchet lance, toujours en surimpression, qu'on vient d'apprendre la mort d'un soleil cette nuit : Nelson Mandela nous a quittés. Ca dure une demi-minute puis Voinchet renonce et Brahic continue.
- A 6h04, les as de la technique ont enfin réussi à shunter Brahic et après encore 5 ou 10 secondes de blanc, Voinchet peut lancer l'obituaire du jour. On apprend que la nouvelle est connue depuis la veille, 22 heures. Et France Culture n'a pas été foutu de nous faire un démarrage propre à 6 heures pétantes.
(et à 06h45, Antoine Marette ouvrira sa revue de presse par un "Les journaux ont eu le temps de bouleverser leurs Unes..." eh oui, mais France Culture n'a pas eu le temps de préparer une transition propre).
Bonjour les nuls...
Dernière édition par Nessie le Sam 07 Déc 2013, 15:42, édité 1 fois
Nessie
243Un gâteau pour Coco - Sam 07 Déc 2013, 15:34
Entendu ce jour en fin de matinée, un lapsus qui fait sourire.
La voix de Coco ou d'une bonne imitatrice nous annonce le numéro des "Regardeurs" pour cette semaine : "La montagne Sainte-Geneviève, peinte par Cézanne".
Evidemment, c'est tout à fait excessif de dire que France Culture est tout bobotement et parigotement Paris-centrée. Mais non voyons pas du tout du tout...
La voix de Coco ou d'une bonne imitatrice nous annonce le numéro des "Regardeurs" pour cette semaine : "La montagne Sainte-Geneviève, peinte par Cézanne".
Evidemment, c'est tout à fait excessif de dire que France Culture est tout bobotement et parigotement Paris-centrée. Mais non voyons pas du tout du tout...
Partisan de France
Invité
244Au-delà de la polémique, ce que nous apprend ou nous confirme l'actualité... - Sam 11 Jan 2014, 09:28
Bonjour,
J'ai écrit à cette adresse, ce matin "http://www.franceculture.fr/contact" ce cri du coeur pendant l'émission "Le Secret des sources", sur France Culture, donc :
Thème du jour et mon message :
Valls, les médias et tout le pouvoir : Vous êtes une coalition qui méprisez
ce pays et ses citoyens, merci à Valls et à sa bêtise, de nous avoir
montré à tous cette triste réalité !
Si un général comme celui de gendarmerie, pouvait nous ranger de nouveau à
l'honneur tel que le fit celui que je n'ai pas besoin de nommer ici, en
réagissant et en nous guidant face à votre dictature qui se confirme, jour
après jour, pour notre plus grande honte à nous, citoyens français, et
notre impuissance à ne savoir ou pouvoir réagir pour s'y opposer.
11/01/2014 >>
Merci d'exprimer vos plus intimes pensées, réagissez et n'ayez pas peur de parler parce qu'il est enfin temps de commencer à résister, de choisir sa patrie ou de choisir de la trahir.
J'ai écrit à cette adresse, ce matin "http://www.franceculture.fr/contact" ce cri du coeur pendant l'émission "Le Secret des sources", sur France Culture, donc :
Thème du jour et mon message :
__________________
<< Les médias font-ils la "com" de Manuel Valls ?Valls, les médias et tout le pouvoir : Vous êtes une coalition qui méprisez
ce pays et ses citoyens, merci à Valls et à sa bêtise, de nous avoir
montré à tous cette triste réalité !
Si un général comme celui de gendarmerie, pouvait nous ranger de nouveau à
l'honneur tel que le fit celui que je n'ai pas besoin de nommer ici, en
réagissant et en nous guidant face à votre dictature qui se confirme, jour
après jour, pour notre plus grande honte à nous, citoyens français, et
notre impuissance à ne savoir ou pouvoir réagir pour s'y opposer.
11/01/2014 >>
__________________
Je ne sais pas si vous réalisez vous aussi dans quelle situation notre pays se trouve, et j'écris ici, pour savoir si vous-mêmes vous mesurez à quel point cette domination qui nous écrase est grande, omnipotente, généralisée et qu'un média comme France Culture participe de cette domination et, selon moi, sans ambiguïté.Merci d'exprimer vos plus intimes pensées, réagissez et n'ayez pas peur de parler parce qu'il est enfin temps de commencer à résister, de choisir sa patrie ou de choisir de la trahir.
munstead
245Re: Au fil de l'écoute - Sam 18 Jan 2014, 14:04
Une chronique d'Antoine Mercier à l'heure du déjeuner. Evoquant l'affaire Gayet, il explique longuement la théorie des deux corps du roi. C'est vraiment pousser l'analyse un peu loin pour une affaire de galipette et de cocufiage! Un peu plus tôt , le titi Dominique SOuchier face à Pierre Joxe a montré que devant un homme politique sérieux, sur des sujets techniques, il tenait mal la distance. Et Joxe l'a sèchement rembarré quand il lui a posé une long-gue question sur "l'affaire". Si les interlocuteurs de ces éditocrates avaient plus souvent le courage de les contredire, de leur mettre le nez dans leurs insuffisances, de montrer leur manque de travail de préparation, le journalisme s'en porterait mieux.
Nessie
246Découvrir Copi, une deuxième chance ? - Mer 22 Jan 2014, 11:10
Avant hier en signalant une fumante 'Anerîe du jour', Antoine Arnoux a écrit:Chardantzig abomine tous les Français qui désapprouvaient le projet de loi relatif au « mariage pour tous » ; aussi ne manque-t-il jamais une occasion d'exprimer aux auditeurs la sainte horreur que lui inspirent encore ces « viragos ménopausées » et autres « porteurs de Barbour [?] à tempe rasée », évidemment « pétainistes ». Il ne craint pas non plus d'établir une analogie que seuls des pisse-froid hitlérophiles tiendront pour grotesque :
« (…) trois millions de personnes ont vociféré pendant des mois, transformant leurs enfants en ce que [sic] elles-mêmes reprochent aux Palestiniens de faire lorsqu'ils mettent des bombes autour de la taille des leurs pour aller se faire exploser en tuant des juifs (...) » (vingt-huitième minute).
http://www.franceculture.fr/emission-secret-professionnel-le-secret-professionnel-de-la-politesse-au-moyen-de-la-grossierete-201[...]
Cette chute était d'autant plus immonde qu'elle était parachutée après une émission plutôt réussie. Réussie oui et pourtant le titre en était absurdement choisi, car plutôt que le secret professionnel de la politesse et passons, c'était le Secret Professionnel de Copi. Au début des années 80 j'étais trop jeune sans doute pour apprécier le sel de son dessin dans Libé (La vieille pute). Du coup le 'Une vie une oeuvre' donné en juillet dernier par Ségolène Dargnies n'avait guère retenu mon attention. A tort ? Ca se pourrait bien.
Car ici c'est Jorge Lavelli qui est venu ce dimanche évoquer Copi au micro de Charles Dantzig. Aïe, Deuxième handicap : Lavelli je ne supporte pas, enfin je veux dire le metteur en scène. Et pourtant, ici c'est le témoin qui parle. C'est l'ami de longue date qui évoque avec délicatesse le disparu, sa finesse d'esprit, son humour portègne, typiquement portègne dira Dantzig qui n'est pas de trop dans le dialogue entre le vivant et le fantôme. Lentement les allergiques à Copi se disent qu'ils ont dû rater quelque chose. Après tout offon kamème, ce type était à Paris depuis les début des 60's. Il a fait ses armes sous la chape Gaullienne. Il apparait même dans la collection de l'Humour secret que Sternberg avait rassemblée chez Julliard. Bref : il est de la génération des Topor et des Arrabal, plutôt que de ceux qui depuis 30 ans nous forcent un peu plus chaque jour l'injection de moraline en pleurnichant la domination alors que pour eux la condition homosexuelle est celle d'une armée de militants et d'intellectuels engagés pilotant le rouleau-compresseur de l'idéologie devenue dominante. Voila qui renverse la perspective : Copi n'est pas un sous-produit de mai 68, ni un décadent des 80's. Il apparait ici comme un subversif un vrai, mais aussi un pur, et en même temps un grand raffiné ce qui est en soi un exploit. Ces 30 minutes sont à méditer ou à savourer avant d'aller tremper l'orteil dans sa soupe (j'ai dit l'orteil) pour voir si elle est bonne.
Et puis les histoires d'amour finissent mal. Copi meurt du Sida et en 2014 pour l'auditeur du Secret professionnel, le réveil est brutal avec la chute plaquée par là dessus comme un couvercle ou une chape d'idéologie. Le forçage de Chardantsigue n'en est que plus crapuleux et du coup on n'a plus qu'une envie : lui faire bouffer sa casquette.
Dernière édition par Nessie le Mar 11 Mar 2014, 05:29, édité 1 fois
Nessie
247Re: Au fil de l'écoute - Mar 25 Fév 2014, 10:36
Joëlle Gayot qui produit "Changement de décor", émission hebdomadaire prétendûment consacrée au théâtre, en fait consacrée au théâtre transgressif et politiquement engagé, est une fille d'une remarquable inculture. Elle ne sait pas ce que c'est qu'un r0tring. Elle en est peut-être restée au Bic ? Non, si ça se trouve ça non plus elle ne connait pas. Mais c'est pas grave car il y a pire.
Joëlle Gayot ne sait pas lire. Ca oui c'est plus gênant. Joëlle Gayot, productrice sur une radio culturelle, ne sait pas lire le nom d'un éditeur qu'elle ne connait pas ? Ou bien depuis des années elle le lit de travers ? On ne sait pas. On remarque simplement qu'à deux reprises, elle est incapable de lire correctement le nom de Klincksieck. On me dira que c'est un nom d'origine étrangère. D'autres répondront que c'est un éditeur ayant son pignon sur rue sorbonnarde depuis presque 2 siècles, une paille.
Vous êtes bien sur France Culture, la chaine de radio dont les producteurs sont incultes. Mais ils bénéficient d'une aide en cabine : après avoir deux fois prononcé fautivement "Klinnskik" (à 1' et à 17'40 - elle doit penser que c'est une maison d'édition théâtrale fondée par le grand comédien allemand Kloss Kinski) elle a finalement compris ce que les techniciens lui ont balancé dans le casque : on dit -et d'ailleurs on lit- Klingsik. Ouf. Nous on n'a pas appris grand chose de Joëlle Gayot ce dimanche, mais elle, au moins elle a appris à prononcer correctement un nom d'éditeur. Nous voila rassurés en constatant que France Culture remplit encore parfois sa mission d'instruction.
Joëlle Gayot ne sait pas lire. Ca oui c'est plus gênant. Joëlle Gayot, productrice sur une radio culturelle, ne sait pas lire le nom d'un éditeur qu'elle ne connait pas ? Ou bien depuis des années elle le lit de travers ? On ne sait pas. On remarque simplement qu'à deux reprises, elle est incapable de lire correctement le nom de Klincksieck. On me dira que c'est un nom d'origine étrangère. D'autres répondront que c'est un éditeur ayant son pignon sur rue sorbonnarde depuis presque 2 siècles, une paille.
Vous êtes bien sur France Culture, la chaine de radio dont les producteurs sont incultes. Mais ils bénéficient d'une aide en cabine : après avoir deux fois prononcé fautivement "Klinnskik" (à 1' et à 17'40 - elle doit penser que c'est une maison d'édition théâtrale fondée par le grand comédien allemand Kloss Kinski) elle a finalement compris ce que les techniciens lui ont balancé dans le casque : on dit -et d'ailleurs on lit- Klingsik. Ouf. Nous on n'a pas appris grand chose de Joëlle Gayot ce dimanche, mais elle, au moins elle a appris à prononcer correctement un nom d'éditeur. Nous voila rassurés en constatant que France Culture remplit encore parfois sa mission d'instruction.
Dernière édition par Nessie le Jeu 27 Mar 2014, 14:15, édité 1 fois
Nessie
248Noter celle-la car pour en trouver une autre on risque d'attendre un moment - Sam 15 Mar 2014, 13:10
Coup de pot : j'étais assis. Pour une fois, Voinchet m'a fait rire non par son ridicule, mais par la qualité du gag, oh il faut dire que c'était surtout l'effet de surprise mais enfin ça marche. Et comme c'est pas souvent qu'il en fait une bonne, je crois indispensable de reporter celle-là.
Ca s'est passé vendredi matin dans la chronique de Munier, qui rendait compte de "Portraits d'éditeur", de François Dosse. Pensez, l'âge d'or de l'édition française. Entre autres anecdotes, Munier rapporte le généreux désintéressement de Beckett laissant son éditeur toucher lui-même le chèque du Nobel. Et figurez-vous que Munier parle alors de "l'auteur de Molloi" ; oui il prononce /mɔlwa/. Voinchet le laisse achever la chronique puis demande : "Ah tiens vous dites Molloi, vous dites pas Moloil ?". "... oui, Molloy" blêmit Munier qui n'a pas compris qu'après avoir envoyé son service Marc a foncé au filet ce qui lui permet, à peine le retour de Munier, d'enchainer en volée "Vous dites pas 'Madame Bovarail' ?" (/madambɔvaraj/). Cloué en fond de court, Munier rit de bon coeur. Et moi aussi d'ailleurs en racontant l'affaire je me marre encore je vous jure que c'est vrai.
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s11/NET_FC_42ef4440-eba9-4deb-b52a-d94193c666b5.mp3" debut="02:08" fin="04:05"]
A part ça, quand on sait que ces deux là se détestent, ça laisse rêveur. Ah oui au fait pour ceux qui le savent pas : Voinchet déteste radicalement Munier autant qu'il chérit Xavier. Il feint de cirer les pompes du premier et de brocarder le second. M'est avis qu'il a de très bonnes raisons de se sentir complexé devant la culture et le sérieux professionnel de l'un, tandis que dans l'autre (devinez lequel) il ne voit qu'un gamin attardé qui ne risque pas de lui faire de l'ombre, hein.
PS : Au fait, je vous jure là encore qu'il y a quelques semaines, j'ai entendu un producteur ou un invité, et pas un gamin hein non un homme de culture, qui mentionnait "Taïte-laïve" je crois bien que c'était un samedi ou un dimanche mais je ne sais plus si c'était chez Souchier, Dantzig, ou même chez Jeanneney, ni qui avait glissé sur cette peau de banane, juste avant de se reprendre et de s'excuser en rigolant, c'était du lapsus pur, et du savoureux encore.
Ca s'est passé vendredi matin dans la chronique de Munier, qui rendait compte de "Portraits d'éditeur", de François Dosse. Pensez, l'âge d'or de l'édition française. Entre autres anecdotes, Munier rapporte le généreux désintéressement de Beckett laissant son éditeur toucher lui-même le chèque du Nobel. Et figurez-vous que Munier parle alors de "l'auteur de Molloi" ; oui il prononce /mɔlwa/. Voinchet le laisse achever la chronique puis demande : "Ah tiens vous dites Molloi, vous dites pas Moloil ?". "... oui, Molloy" blêmit Munier qui n'a pas compris qu'après avoir envoyé son service Marc a foncé au filet ce qui lui permet, à peine le retour de Munier, d'enchainer en volée "Vous dites pas 'Madame Bovarail' ?" (/madambɔvaraj/). Cloué en fond de court, Munier rit de bon coeur. Et moi aussi d'ailleurs en racontant l'affaire je me marre encore je vous jure que c'est vrai.
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s11/NET_FC_42ef4440-eba9-4deb-b52a-d94193c666b5.mp3" debut="02:08" fin="04:05"]
A part ça, quand on sait que ces deux là se détestent, ça laisse rêveur. Ah oui au fait pour ceux qui le savent pas : Voinchet déteste radicalement Munier autant qu'il chérit Xavier. Il feint de cirer les pompes du premier et de brocarder le second. M'est avis qu'il a de très bonnes raisons de se sentir complexé devant la culture et le sérieux professionnel de l'un, tandis que dans l'autre (devinez lequel) il ne voit qu'un gamin attardé qui ne risque pas de lui faire de l'ombre, hein.
PS : Au fait, je vous jure là encore qu'il y a quelques semaines, j'ai entendu un producteur ou un invité, et pas un gamin hein non un homme de culture, qui mentionnait "Taïte-laïve" je crois bien que c'était un samedi ou un dimanche mais je ne sais plus si c'était chez Souchier, Dantzig, ou même chez Jeanneney, ni qui avait glissé sur cette peau de banane, juste avant de se reprendre et de s'excuser en rigolant, c'était du lapsus pur, et du savoureux encore.
Dernière édition par Nessie le Jeu 27 Mar 2014, 14:17, édité 3 fois
Nessie
249Souvenirs souvenirs - Mar 18 Mar 2014, 22:09
C'était dans ce même fil de discussion, dans le post 132 à la date du 2 juin 2011, après 37 minutes de diffusion sur la fréquence de FC, de deux émissions simultanées oui ça veut dire les sons entremêlés, le forum Regards n'avait pas laissé passer cet événement sans une intense rigolade ce qui fait qu'on pouvait lire ceci :
Je ranime cette histoire parce qu'on m'a informé que cet ACR-involontaire avait poursuivi une carrière sous le nom qui lui avait été donné ici. La recherche Google indique outre deux pages de notre site de téléchargement (toutes deux en déshérence), deux plates-formes proposant 'L'éloge du savon', dont un qui semble concerné par le relâchement du musulman autant que par les dialogues Léautaud-Mallet (il y a peut-être un mixage fumant à faire, là aussi ?), tandis que l'autre fraye avec la scène pop japonaise. S'il y a des gens pour charger la chose sur leur disque dur, il va y en avoir d'autres pour classer imperturbablement le nom de Jean-Pierre Rosanvaldaive parmi les artistes ayant produit au moins une oeuvre. On attend maintenant la citation par d'autres créateurs. Si on n'avait pas peur de réveiller le crétinisme ambiant, on aurait bien envoyé cette anecdote fumante à Matthieu Conquet mais on a trop peur qu'il en cause à Xav'e
Nessie a écrit:./...
Suite à l'incident évoqué dans les deux posts précédents, voici l'entrefilet qu'on trouve sur le site de FC. Il est tout à fait révélateur mais on ne sait pas trop de quoi : de l'incompétence et du foutage de gueule peut-être ; ou bien est-ce choix délibéré en faveur d'un certain type de service et au détriment de tout souci de culture :
<< Suite à un problème technique dans la nuit du 30 au 31 mai, la diffusion de l'Eloge du savoir sur l'antenne de France Culture a été très fortement perturbée. Nos services techniques font le maximum pour que ce genre d'incident ne se reproduise plus. Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée. >>
2 remarques :
a) une fois de plus FC brandit son bouclier foireux du "problème technique", scie des scies, multi-invoquée par ces gens qui ont à coeur de ne jamais s'expliquer clairement. Notons que ça fait une bonne année que ça dure, depuis l'abondante série de foirades et de merdouilleries initiée avec le nouveau site de FC en mai 2010 (depuis ce week-end par exemple, 4 jours sans podcast), et suivi par la belle série de plantages en régie depuis septembre 2010
b) cet entrefilet que certains trouvent savoureux (au 4eme degré) est accessible à la rubrique "info" de ce fameux site de FC. Cette rubrique est en soi instructive. L'entrefilet y est déjà noyé à la 6eme page (ce qui veut dire 6 clicks - aucun autre accès rapide n'est possible). Ceci confirme que le site new-looké de FC n'a été voulu ni pour l'usage des amateurs de culture, ni pour satisfaire une demande de radio culturelle, et donc certainement pas pour l'auditoire classique de FC. Ce site ne vise qu'une clientèle qui cherche de l'info. Alors de l'info il y en a, ça oui : la rubrique vous gave de tout ce qui peut faire "info" notamment une foule de liens inutiles vers la forêt de chroniques radio, qui ont déjà plusieurs liens un peu partout dans le site.
Le pire : dans cette équipe de branques qui chapeaute la technique à FC et sur le site de la chaine, on n'a pas compris que même avec cette foirade-maison, le résultat était aussi savoureux pour certains auditeurs qu'il était dommageable pour d'autres. Et que donc il faudrait exploiter cette trouvaille comme un ACR involontaire. Chose que l'oreille attentive de l'auditeur amusé a pourtant su immédiatement remarquer : la liste ANPR a reçu une série de commentaires à la fois sardoniques et imprégnés d'esprit collectionneur. Et ce qui devait arriver est arrivé : ce gros gros plantage est en train de devenir un extrait cherché et demandé, du fait des amusantes coincidences entre les deux morceaux de ce programme qui entretisse Jean Daive et Pierre Rosanvallon. Et le résultat est finalement moins chiant à écouter que la parole du second, hélas il faut le reconnaitre. Ou même, que certains monuments de prétention comme nous en livre parfois l'ACR-le-vrai
Du coup ce chef d'oeuvre inattendu on l'a déposé, disponible au chargement gratuit dans notre fameux dossier Mediafire "les saucisses de l'exploit", sous-dossier du non moins fameux RFC-Fellows. Vous le trouverez sous ce titre et au bout de ce lien :
Eloge du savon - 110531 - Jean-Pierre Rosanvaldaive
Le morceau est découpé large : d'abord les dernières minutes de l'entretien Veinstein, puis le double lancement Eloge/Nuits où -gag- on va retrouver la voix de Veinstein rajeuni de 20 ans et parlant d'une radio "au petit bonheur". A croire que tout ça a été fait exprès, comme un happening minutieusement pensé. Enfin on laisse s'achever l'heure complète afin de servir correctement le collectionneur scrupuleux)
Je ranime cette histoire parce qu'on m'a informé que cet ACR-involontaire avait poursuivi une carrière sous le nom qui lui avait été donné ici. La recherche Google indique outre deux pages de notre site de téléchargement (toutes deux en déshérence), deux plates-formes proposant 'L'éloge du savon', dont un qui semble concerné par le relâchement du musulman autant que par les dialogues Léautaud-Mallet (il y a peut-être un mixage fumant à faire, là aussi ?), tandis que l'autre fraye avec la scène pop japonaise. S'il y a des gens pour charger la chose sur leur disque dur, il va y en avoir d'autres pour classer imperturbablement le nom de Jean-Pierre Rosanvaldaive parmi les artistes ayant produit au moins une oeuvre. On attend maintenant la citation par d'autres créateurs. Si on n'avait pas peur de réveiller le crétinisme ambiant, on aurait bien envoyé cette anecdote fumante à Matthieu Conquet mais on a trop peur qu'il en cause à Xav'e
Fontaine
250record battu - Lun 14 Avr 2014, 08:43
au moment même ou je pèse sur la pitoune du transistor Braise Couturier botte en touche en 3/10 éme de seconde.
Il répondait à une dame qui parle moins fort que Mélachon et pour situer l'extrait elle disait que le mot esclavage était galvaudé
Il est 8h 37 mn sur France Culture en ce beau matin du Lundi d'avril ( je vous conseille un film déjà ancien de Otar Iosseliani : Lundi matin)
le soleil vous tienne en joie
Il répondait à une dame qui parle moins fort que Mélachon et pour situer l'extrait elle disait que le mot esclavage était galvaudé
Il est 8h 37 mn sur France Culture en ce beau matin du Lundi d'avril ( je vous conseille un film déjà ancien de Otar Iosseliani : Lundi matin)
le soleil vous tienne en joie
Philaunet
Admin
251Pure poésie - Ven 16 Mai 2014, 22:57
Selon Hélène Hazéra « Ici le verbe est Roi. (...) Et toujours le rythme, toujours les trouvailles poétique [sic] », il fallait donc écouter d'urgence :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/05/s19/RF_DC56F6F7-0832-4901-A8D2-94A624FA8F78_GENE.MP3" debut="43:40" fin="45:30"]
Vous écoutiez une émission sur la chanson à France Culture (qui concurrence NRJ comme "musique" d'accompagnement de vos courses au supermarché).
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/05/s19/RF_DC56F6F7-0832-4901-A8D2-94A624FA8F78_GENE.MP3" debut="43:40" fin="45:30"]
Vous écoutiez une émission sur la chanson à France Culture (qui concurrence NRJ comme "musique" d'accompagnement de vos courses au supermarché).
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