S.Disalvo a écrit:Je n'interviens pas souvent ici, souvent freiné par le doute que mes propos n'apporteraient rien mais ce coup-ci je ne vais pas me gêner.
C'était la dernière émission que j'écoutais encore régulièrement entre 2 morceaux de nuits.
Qu'elle disparaisse, soit. Qu'Alain Veinstein disparaisse des ondes, soit.
Je peux faire mon deuil sereinement.
Mais les circonstances et... comment dire? la classe si particulière dont fait preuve France Culture provoquent chez moi un sentiment d'aversion, de répulsion et d'hostilité profonde envers cette chaîne.
Que France Culture aille se faire foutre.
Oui. De l'Olivier Poivre d'Arvor tout craché.
Je me souviens... d'une semaine qui restera pour moi le symbole de la patte (et de la pâte) Veinstein : « Walser forte, Walser piano », cinq
Surpris par la nuit d'une heure quinze chacun, du 1er au 05 janvier 2007. Du documentaire littéraire intemporel, de la très grande qualité.
Son
Du jour au lendemain était à mon avis un très bon révélateur des tares des intellectuels, écrivains, cultureux qui envahissent les rayons des libraires. Matériel de choix pour le disque dur "Horreurs radiophoniques". En cela, son émission était fort utile et ses livres sur
son expérience radiophonique très éclairants ("L'intervieweur" ; "Radio sauvage").
L'émission avec Christian Bobin fut particulièrement parlante à cet égard. Quoi qu'on pense de cet auteur, dans les premières minutes de l'émission l'on entend ceci, à mettre dans les oreilles des Broué, Voinchet et autres pénibles galopeurs : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/04/s16/RF_1155E3A5-8EA9-41BB-B5BA-192DEFB129E4_GENE.MP3" debut="02:40" fin="03:15"]