Dès sa première intervention, sans rapport avec le sujet de l'émission ("Que révèle l'affaire Benalla ?"), il lit une longue déclaration récapitulative de l'action du gouvernement et du président, vantant l'ampleur de cette action. Et sans raison, ce petit monsieur s'excite, s'énerve, bafouille, proclamant comme d'habitude qu'on veut l'empêcher de parler et sur-joue alors ce rôle qu'il s'est attribué [son mp3="http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10175-21.09.2018-ITEMA_21818757-0.mp3" debut="09:10" fin="09:27"]. Hervé Gardette le calme gentiment et le remet à sa place, mais Brice Couturier est content : il a fait son numéro, il n'a plus rien à dire, il a lu son texte.
Le problème de BC, c'est qu'il ne parvient à faire que quelques piges ici ou là. Sur FC, sa prestation intellectuelle se limite à lire pendant 5 mn des textes trouvés sur internet, du lundi au vendredi. Et de temps en temps, à jouer le rôle de celui qu'on empêche de parler mais qui parlera quand même, dans le Grain à moudre. Mais il est producteur sur FC... alors il s'accroche en espérant succéder à Alain Finkielkraut, pensant bénéficier des mêmes protections "nationales et même internationales". Mais heureusement, Papy fait de la résistance ! Il faut donc chercher des protections gouvernementale et présidentielle, et BC s'y emploie activement, sans vergogne.
Peu après, on apprend qu'une boutique de souvenirs a été créée à l'Elysée, où l'on vend des T-shirt à l'effigie du président, façon Travolta [son mp3="http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10175-21.09.2018-ITEMA_21818757-0.mp3" debut="10:01" fin="10:25"]. Quelle déchéance institutionnelle. Et c'est Benalla qui gère cette boutique : l'homme de main reconverti en chef des ventes de l'Elysée.
Fin de l'écoute par saturation.
Pourquoi pas BC ministre de l'Information ? il en rêve, cela le calmerait et ferait des économies à FC pour payer les stagiaires.