pollux a écrit:Le cas de Marie Richeux est différent : elle (et son émission) a effectivement des défauts, mais de jeunesse, jamais d'éthique. Par contre, les critiques que, comme vous, je lis ici, sont déroutantes par leur côté systématique, presque hystérique : il paraît que même sa voix est insupportable ; bientôt c'est sa coiffure qui sera critiquée ? A côté de ce véritable lynchage, mes critiques de M. Couturier restent rares et mesurées.
Très intéressant en vérité, par la confusion conceptuelle, qui je dois le dire n'est guère surprenante.
Ainsi il y aurait chez certains des défauts d'éthique et chez d'autres des défauts de jeunesse. Qu'est-ce que c'est que cette philosophie de débutant ? C'est toute la chaine qui viole journellement la déontologie journalistique. Ce forum regorge d'exemples. Et l'on est heureux d'apprendre que la jeunesse mettrait à l'abri de ces erreurs-là. Pourquoi ? Comment ? Voila qui serait beaucoup demander. Et qui peut croire vraiment que Richeux, placée par sa mère dans la maison, est un modèle d'éthique ? Et ensuite on vient dénigrer un producteur en lui inventant une protection personnelle ? Sans l'ombre d'une piste hormis la complicité de Couturier avec le lobby juif, qu'il faut s'attendre peut-être à voir revenir comme argument-clé dans un post de 4h du matin après une nouvelle crise nocturne ?
C'est certainement à force de savourer les émissions de militantisme social que Pollux a oublié la raison d'être de la chaine : la culture. Il serait de meilleure farine d'évaluer la place et le rôle de Brice Couturier par son apport à la mission culturelle de la chaine. Elle est un peu en deçà de celle d'un Philippe Meyer, entendez presque nulle.
Pourtant, les deux producteurs ont montré en diverses occasions qu'ils pourraient faire une émission culturelle, pour peu qu'on leur en confie la mission. Pour Meyer ça crève les yeux : il suffit d'écouter ses brèves dans l'Esprit public. Quant à Couturier, il suffit de l'avoir entendu signaler de temps à autres lors des rares matinales culturelles, qu'il avait versé dans le journalisme d'actualité politique à son corps défendant, parce que son intérêt spontané l'aurait plutôt poussé vers la littérature.
Mais peu importe : un libéral déclaré ne mérite qu'une chose : se faire dégommer par les Tullius Détritus qui à grand renfort de bannissement idéologique ou d'insinuations fielleuses en général étayées par rien du tout, demandent sa tête sur le site de FC ou dans les rares forums du Web où les auditeurs mécontents ont pris l'habitude de la ramener.