France Cucu est tellement ouverte sur le monde (de l'édition) qu’elle se fout d’inviter une, deux, trois, ou plus, le même écrivain-socio-popo pour dire la même chose, mais pas à la même heure.
En plus, le format unique super excitant des émissions de gaz à effet de sociopopo fait que nous passons d’un entretien promo à un autre entretien promo avec ce seul changement notable, le passage de relai d’un producteur à un autre.
Mais les bafouillis et les euh euh demeurent, magnifiques, grandioses, sauf peut-être dans le lancement, écrit sur un tapis rouge, car il est difficile de bafouiller, malgré de notables efforts, sur un texte écrit.
Le prod’ qui a le plus le sens de l’humour, au point de donner à ses quarante neuf minutes d’expression orale libérées de toutes contraintes, sauf celles de la promo socio-po, un titre frappé du sot de l’ironie, n’est autre que Sylvain Bourmeau, que certains ont affublé d’un surnom ridicule afin de le ridiculiser (trop facile), ce qu’ici nous ne ferons pas, car nous considérons que Sylvain Bourmeau n’a pas besoin de surnom pour l’être.
La direction des programmes, qui veille à un déroulement harmonieux de la grille, tient absolument à ce que les promos choisies en fassent le tour. L’auditeur du matin, du midi ou du soir n’est peut-être pas le même, et il serait fort dommage qu’il passe à travers la promo qu’il a loupée parce qu’il n’écoutait pas, ce con.
Samedi 18 septembre dans « La suite dans les idées », Sylvain Bourmeau, le gars sans surnom parce que c’est pas la peine, prend la suite de la Grande Tablinette du 7 septembre. Quelle suite dans les idées !
Quelle suite ! Quelle idée !
La Grande Tablinette du 7
La suisuite dans les I.D. du 18. La sobriété du titre est époustou-soufflante. Peut-être sera-t-il changé d'ici la diffusion, ou pas, car trouver un titre c'est du boulot, et bosser, franchement, à quoi bon ?
Gageons que l’écrivain invité dans le dernier quart d’heure reviendra dans la grille prochainement pour re-présenter son ouvrage.
Ce qui sera le cas certainement pour l'un des invités du 11, Charles Stépanoff, qui n’a pas encore fait le tour de la grille, mais au vu du sujet de son livre, cela ne saurait tarder. Trop tôt encore pour faire le check point, ne soyons pas trop pressés.
L’autre invité, lui, je ne vous fais pas un dessin, mais une capture d'écran, ça ira plus vite :
Mais, pourriez-vous vous dire, ce pourrait être une erreur de programmation, une bête gaffe. L'erreur étant humaine etc...
Eh bien non. Déjà que le format de l’entretien promo en direct ou dans "les conditions du" ne fait pas sauter au plafond, les écrivains/sociopos se suivent dans la grille et se ressemblent.
La suite du 4 septembre :
Ailleurs dans la grillade bien grillée de France Cucu,
Et pour le premier invité-promo, Paul Pasquali,
Nous nous sommes contentés des trois premières émissions de cette année, vous laissant le loisir de remonter dans le temps pour découvrir la même suite d’idée, ou de ne rien faire car le temps est chose précieuse. Autre chose à foutre que se coltiner du bourrage de mou.
En plus, le format unique super excitant des émissions de gaz à effet de sociopopo fait que nous passons d’un entretien promo à un autre entretien promo avec ce seul changement notable, le passage de relai d’un producteur à un autre.
Mais les bafouillis et les euh euh demeurent, magnifiques, grandioses, sauf peut-être dans le lancement, écrit sur un tapis rouge, car il est difficile de bafouiller, malgré de notables efforts, sur un texte écrit.
Le prod’ qui a le plus le sens de l’humour, au point de donner à ses quarante neuf minutes d’expression orale libérées de toutes contraintes, sauf celles de la promo socio-po, un titre frappé du sot de l’ironie, n’est autre que Sylvain Bourmeau, que certains ont affublé d’un surnom ridicule afin de le ridiculiser (trop facile), ce qu’ici nous ne ferons pas, car nous considérons que Sylvain Bourmeau n’a pas besoin de surnom pour l’être.
La direction des programmes, qui veille à un déroulement harmonieux de la grille, tient absolument à ce que les promos choisies en fassent le tour. L’auditeur du matin, du midi ou du soir n’est peut-être pas le même, et il serait fort dommage qu’il passe à travers la promo qu’il a loupée parce qu’il n’écoutait pas, ce con.
Samedi 18 septembre dans « La suite dans les idées », Sylvain Bourmeau, le gars sans surnom parce que c’est pas la peine, prend la suite de la Grande Tablinette du 7 septembre. Quelle suite dans les idées !
Quelle suite ! Quelle idée !
La Grande Tablinette du 7
La suisuite dans les I.D. du 18. La sobriété du titre est époustou-soufflante. Peut-être sera-t-il changé d'ici la diffusion, ou pas, car trouver un titre c'est du boulot, et bosser, franchement, à quoi bon ?
Gageons que l’écrivain invité dans le dernier quart d’heure reviendra dans la grille prochainement pour re-présenter son ouvrage.
Ce qui sera le cas certainement pour l'un des invités du 11, Charles Stépanoff, qui n’a pas encore fait le tour de la grille, mais au vu du sujet de son livre, cela ne saurait tarder. Trop tôt encore pour faire le check point, ne soyons pas trop pressés.
L’autre invité, lui, je ne vous fais pas un dessin, mais une capture d'écran, ça ira plus vite :
Mais, pourriez-vous vous dire, ce pourrait être une erreur de programmation, une bête gaffe. L'erreur étant humaine etc...
Eh bien non. Déjà que le format de l’entretien promo en direct ou dans "les conditions du" ne fait pas sauter au plafond, les écrivains/sociopos se suivent dans la grille et se ressemblent.
La suite du 4 septembre :
Ailleurs dans la grillade bien grillée de France Cucu,
Et pour le premier invité-promo, Paul Pasquali,
Nous nous sommes contentés des trois premières émissions de cette année, vous laissant le loisir de remonter dans le temps pour découvrir la même suite d’idée, ou de ne rien faire car le temps est chose précieuse. Autre chose à foutre que se coltiner du bourrage de mou.