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Vous trouverez dans le lien ci-dessous la bonne nouvelle du jour. P. Bergé propose à L.A. Woman de siéger au Monde ainsi qu'à Super Croix 73 (vous savez la chemise blanche sans tâches). Martel va de plus en plus être isolé avec son non-fiction, son tweet-shirt et son inaglobal. La petite société autoproclamé 'intellectuelle" va faire le tour du Monde, et comme les journalistes du dit canard viennent d'en perdre le contrôle, on peut s'attendre à tout !! (À SUIVRE)
http://www.mediapart.fr/journal/economie/191010/bhl-nicole-notat-laure-adler-antoine-bernheim-bientot-administrateurs-du-mon

Ils pourraient faire un peu semblant quand même de ne pas fonctionner uniquement par réseau et copinage.
Je veux bien que les élections se préparent et que chaque camp fourbisse ses armes mais quand même ... Pas étonnant que les journalistes français et leurs pratiques soient l'objet de la risée à l'étranger.

Elle a de l'expérience, LA Woman, dans la presse écrite ?

Attention là elle va pas y écrire elle va être au Conseil d'Administration avec BHL et consorts. Elle a de l'expérience au Seuil comme éditrice, comme conseillère culturelle de Mitterand, télé avec Patrick Rothman (émission sur l'Histoire),…

Sacré Françoué, en bon dessinateur ton œil est aiguisé !!! Bon allez je m'exclame encore un peu

Finalement, cela est-il si important ? Qui lit encore "Le Monde" de nos jours, en prenant vraiment au sérieux ce journal ? Une minorité d'individus. Est-ce vraiment la désaffection de la presse qui est en cause ou, simplement, le fait que ce journal ait lentement mais sûrement réussi à se discréditer, y compris au sein de ce qui fut un temps son lectorat ?
Ma foi, avec BHL qui collabore déjà à quelques magazines, Bergé aura eu le sentiment de faire une bonne opération médiatique. Mais qui est dupe ?

Le plus important c'est que les journalistes ont perdu le pouvoir sur leur canard !!! J'ai été abonné 20 ans et l'ai quitté pour le poids des photos et son prix !

Eh bien, d'autres, sans doute, l'abandonneront aussi. Et ce nom ne sera plus qu'un coquille vide.

Je me demande s'il y a une progression de son lectorat électronique ?
Et si ses parts de marché (à supposer qu'on arrive à calculer quelque chose comme ça) sont enviables ?

Si tel est le cas, et une fois écarté les frottements dûs au délai de report des lecteurs-papier vers la lecture-écran, alors ça peut vouloir dire, non que la crédibilité du journal a chuté, mais que la baisse des ventes ne résulte que du déclin de la presse imprimée. Et que dans le nouveau modèle de l'info en ligne, Le Monde conserve ses chances, et surtout son influence intellectuelle.