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''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux    Page 31 sur 42

Bas de page ↓   

Nessie 


301
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Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Mer 01 Juil 2015, 19:59

philaunet a écrit:les phénomènes de gentrification qui s'en suivent. [« s'ensuivre » est un verbe, quant à la « gentrification »...]
La gentrification c'est un peu comme la vitrification mais en remplaçant le gel transparent par l'oseille très visible.

La gentrification c'est un peu comme la vitrification mais ça ne marche pas pour Vitry (sur seine) et encore moins Vitry-le-François.

La gentrification ne doit pas être confondu avec la Dentrification sinon il faudra rebaptiser mademoiselle Rexona en mademoiselle Ultra-Brite.

Invité 


Invité

302
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Il faut connaître le milieu - Lun 31 Aoû 2015, 22:11

pour avoir une crédibilité.

[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/08/s36/NET_FC_b44dd2b4-aa05-4efd-99f1-8d8f3877f93e.mp3" debut="36:50" fin="38:15"]

Philaunet 

Philaunet
Admin

303
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Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Lun 31 Aoû 2015, 22:35

Rowan a écrit:pour avoir une crédibilité.

[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/08/s36/NET_FC_b44dd2b4-aa05-4efd-99f1-8d8f3877f93e.mp3" debut="36:50" fin="38:15"]


On n'a pas tout compris, surtout Richeux, mais ce n'est pas grave. Bon, vous attirez notre attention sur cette émission qui est la vitrine de la sottise et de la médiocrité à France Culture diurne (et il y a de la concurrence). Je n'ai plus trop envie d'y revenir, car de très belles choses m'attendent ailleurs, notamment sur France Musique.

Mais bon, puisque l'occasion est donnée, observons la langue et l'esprit de collégienne de celle qui, grâce à de bonnes relations, se trouve aux manettes d'une émission quotidienne sur la station culturelle française :

"Nous leur donnons la parole pour confronter leurs visions du métier, les aspirations, les souvenirs et les appréhensions à la veille de la rentrée scolaire"  {confronter leurs visions à quoi ? Ici, le sujet du verbe à l'infinitif est "nous"]

"Il y aura d’ici  de la littérature, des nouvelles technologies, de la sociologie, du droit du travail et du cinéma, pour évoquer sous plusieurs facettes ce moment ritualisé." [il y aura d'ici quoi ? / Évoquer sous des facettes ? ]

"Puisqu'on en en parle beaucoup. Écoutons-les !" [Ce doit être le style Richeux]

"Qu'est-ce l'on a en tête un jour avant de retrouver les élèves ?" [Être moins bête que la présentatrice de France Culture]

"Quelle transmission possible entre différentes générations d'enseignants ?" [Voilà qu'elle écrit une question sans verbe à la Frydman de l'émission  Révolutions médicales, laquelle a, soit dit en passant, le plus mauvais descriptif qu'on puisse trouver sur le site]

"Est-ce qu'une rentrée a toujours le goût de l'inconnu, après trente ans d'enseignement ?" Voilà une question d'une intelligence rare.

"Convaincus que les Nouvelles Vagues trouvent leur origine dans des moments marqués d'émotions, nous demandons" [Les Nouvelles Vagues trouvent leur origine dans le népotisme].

La rentrée (1/5)

Jean-Luuc 


304
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Pas besoin d'écouter, lire suffit - Sam 05 Sep 2015, 18:48

Sur la page des Nouvelles vagues du vendredi 4 septembre 2015, nous trouvons donc ceci :

- Aujourd’hui, comme tous les vendredis désormais, nous donnons carte blanche cinématographique à un dernier invité de la semaine (j'aurais ajouté : avant le week-end).

- Et cette rencontre, on le voit dans les films choisis aujourd’hui, peut se vivre avec l’univers d’un artiste, avec d’autres élèves venus de pays différents, d’autres langues, de signes ou de mot (juste un de mot).

- Cette rencontre peut se vivre avec soi-même, quand l’école est bonne dira-t-on (et la musique ?).

- Au programme, un premier long métrage saoudien, un film américain des sixties, un autre américain des nineties, un documentaire allemand, et deux documentaire français.

- Il y est beaucoup question de langage, de mots, de possibilité de s’exprimer, ce n’est pas un hasard pour une écrivain. Une écrivain ici, quand deux lignes plus bas, sous le titre "invité(s)" :

Marie Desplechin, ecrivaine (sans accent, cela va sans dire)

- Les Nouvelles Vagues ne viennent pas de nulle part,  et souvent on ne sait pas toujours ce qui nous a fait changé de cap

- il raconte comment ses pas dans Le Louvre le mènent toujours vers une toile du 18ème siècle, Le Pierrot d’Antoine Vatteau. (Pauvre Watteau).

http://www.franceculture.fr/emission-les-nouvelles-vagues-la-rentree-55-l-education-en-debat-carte-blanche-cinema-a-marie-desple

Jean-Luuc 


305
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cherche invité pour émission - Lun 07 Sep 2015, 03:27

Découvert (presque) par hasard sur le compte twitter des Nouvelles Vagues ces deux premiers messages :

-Daté du 24 août 2015 : Chercheurs, doctorants, collectif, artiste ... Écrivez-nous unCOURT mail lesnouvellesvagues@radiofrance.com pour nous dire ce que vs faites

-Daté du 4 septembre 2015 : Bonjour Twitter, appel à développeurs et joueurs jeu vidéo de guerre ( et chercheur sur le sujet ) pour émission le 09/09.

Est-ce bien surprenant ? Tu veux vendre ta salade à F.C. ? Facile, envoie un tweet. Ouvrir des livres, enquêter, réunir ses connaissances et les mutualiser avec des collaborateurs compétents censés travailler en tant qu'attachés de production est bien fastidieux de nos jours. Si la communauté Internet peut faire le boulot à ta place, pourquoi s'en priver ?

https://twitter.com/lesnouvellesvag

Yann Sancatorze En ligne

Yann Sancatorze

306
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Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Lun 07 Sep 2015, 11:32

NPR le fait occasionnellement lorsqu'ils préparent une série de reportages sur un fait de société particulier. This American Life lance aussi quelques appels à contribution et reçoivent des centaines de lettres, mais c'est aussi très rare. La grande majorité des intervenants dans un sujet sont, bien sûrs, localisés par un personnel qualifié. Ici, pour les Nouvelles Vagues, il s'agit simplement de radio bon marché, au rabais, à niveau associatif. Un petit club qui s'enchante, et qui ne peut compter que sur la diffusion au niveau national pour faire valoir son importance auprès de développeurs en quête de notoriété.
C'est la grande braderie.

Invité 


Invité

307
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La fille de Duras et de Poivre d'Arvor - Lun 14 Sep 2015, 22:53

Édité par l'auteur.



Dernière édition par Antoine Arnoux le Ven 12 Mai 2017, 17:21, édité 1 fois

Jean-Luuc 


308
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Rappel : A. Veinstein l'a invitée dans Du jour au lendemain. - Mar 22 Sep 2015, 01:56

En date du lundi 21 septembre 2015, Les nouvelles vagues ouvrent une semaine thématique intitulée "FAIRE BREF" (en capitales). Cela synthétise bien l'esprit de la station : du format court développé à outrance.

Ci-dessous, le "texte" entier du premier numéro. Se rendre compte de ce que sont ces phrases enchaînées les unes aux autres peut produire un vertige d'une autre nature qu'un relevé isolant fautes et propos fumeux :

Et pour commencer, c’est en littérature que nous explorons la puissance et les usages de la brièveté. Depuis la radicalité du haïku, ou de la  courte strophe poétique, jusqu’à l’art de la nouvelle, du chapitrage, ou de la phrase courte. Le livre dont il est question aujourd’hui, est un roman, au nombre de pages plutôt généreux, mais il a pour particularité de bâtir son rythme, et sa narration sur des histoires courtes, dont le lien se révèle peu à peu, et ne fait que s’accroître. (Le lien..., le lien..., entre les histoires courtes, cela va de soi.)
« Tout le monde a une histoire, et aussi étrange que cela puisse paraître, les nôtre se sont croisés, que vous le vouliez ou non »  dit l’un des personnages Walter à Martha Lamb, dans le cinquième chapitre qui porte son prénom. D’ailleurs chacun des chapitres porte le prénom d’un des personnages, comme l’ilôt subjectif d’une grande histoire, dont la fatalité, le hasard, la géographie font qu’elle les englobe tous. Comme le ciel aux multiples nuances de bleu qui semble tous les surplomber. (Souvenirs d'une rédaction de 3è ?)
Il n’est pas dit qu’il n’y ait pas dans la brièveté de l’existence des personnages de fiction de ce livre, une considération plus métaphysique sur notre petite condition humaine, nos brefs passage sur terre, l’enfant que nous restons face à certaines peurs, et le peu de choses qui suffit à faire s’effondre un monde …

Ceci est signé par la productrice d'une émission quotidienne d'1 heure sur une radio nationale (je parle comme A. Laporte : Et tout de suite, la revue de presse culturelle quotidienne de la Dispute d'Antoine Guillot).

Jean-Luuc 


309
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Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Mer 23 Sep 2015, 18:25

Nous poursuivons notre semaine FAIRE BREF 2/4 et 3/4 avec ses textes tous aussi ingénieux les uns que les autres :

FAIRE BREF (2/4) :

Quatre réflexions autour de la brièveté nous occupent, dans cette semaine thématique raccourcie. Hier, nous parlions de l’usage et des enjeux des formes brèves en littérature ; demain nous évoquerons le réseau social Tweeter (Twitter ?) et ses 140 caractères, pour une communication politique sur le net ; jeudi enfin, nous échangerons autour du court-métrage comme forme cinématographique…Et aujourd’hui, il est question d'un concours universitaire qui demande à des doctorants de résumer le sujet de leurs thèses en 180 secondes, pas une de plus.

Le Concours MT180 est l'initiative de la Conférence des Présidents d'Universités et du Centre National de la Recherche Scientifique, qui demandent à des doctorants de résumer le sujet de leurs recherches en 180 secondes, avec le seul appui d’une diapositive. Pour la deuxième année, ce concours, inspiré du concours américains Three Minutes Thesis, invite des étudiants de huit pays francophones (Québec, France, Belgique, Cameroun, Maroc, Tunisie, Burkina Faso, Sénégal) à se retrouver sur scène. Représentant leurs université respectives, les candidats s’affrontent en trois minutes. Eloquence, bonne allure, simplicité, efficacité du propos, sens de l’humour, voici comment ils sont départagés. Car il leur faut, en ce temps, et pas une seconde de plus, séduire "le public et le jury venu assister à cet événement", indique l'organisation du concours. Dans un contexte de mise en concurrence des universités, de difficultés d’embauche des enseignants chercheurs, qu’est-ce que ce concours nous dit d’une politique universitaire française ?

Parmi nos quatre invités doctorants, plusieurs disciplines sont représentées. Noémie Mermet (Université d'Auvergne, Clermont-Ferrand) étudie les Neurosciences ; Nicolas Duracka (Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand) les Sciences de l'Information et de la Communication ; Grégory Pacini la Biologie (Université Paris-Descartes) ; Benjamin Vest les Sciences Physiques (Ecole Polytechnique). Quant à Annick Suzor-Weiner (Université Paris-Sud / Agence Universitaire de la Francophonie), elle est membre du jury de la Finale Internationale aux côtés de Noémie Mermet, lauréate de la Finale Internationale 2014, et du méthémathicien Cédric Villani. Le 1er octobre 2015 aura lieu la Finale Internationale du concours MT180, dans l'amphithéâtre de la Sorbonne à Paris.

Jean-Luuc 


310
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Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux - Mer 23 Sep 2015, 18:25

FAIRE BREF (3/4)

Quatrième temps d’une semaine consacrée aux formes brèves. (Si je ne me trompe et sais compter, l'émission du mercredi n'est que le 3è temps de la semaine.)
Aujourd’hui, nous parlons de la communication politique brève sur les réseaux sociaux. Nous sommes avec Romain Pigenel, ex blogueur politique, diplômé de philosophie, passionné de jeux vidéos, il dirige la communication du gouvernement sur les réseaux sociaux, en particulier sur Twitter (@gouvernementFR). Nous évoquons le mélange des cultures à l’œuvre dans sa pratique, qui vise à rendre les contenus gouvernementaux aussi  viraux qu’une punchline de rap, de la brièveté et de l’efficacité maître-mots en matière d’Internets.

Si l’édition des pages internet semble pousser à la brièveté, pour une efficacité dans la diffusion et le partage des contenus, la politique n’a pas attendu de se faire une place sur le web pour penser le caractère percussif de sa communication
(Percutant non ?). Quel meilleur ancêtre pour un tweet, qu’un slogan politique peint au mur, ou que la petite phrase à la une d’un journal (Une manchette non ? Ou de Vinteuil.) Donc la politique aussi aime les histoires qui savent être courtes. Mais quand elles doivent se mêler à des millions d’autres, de quels stratagèmes use-t-elle, pour être au dessus de la pile ? (non "au-dessus de la mêlée" ou "en haut de la pile" mais les deux) Eh bien, par exemple, elle emploie de jeunes gens pris par la passion des réseaux et qui auront pour mission de gérer le clash entre deux cultures : celle, très verticale de l’organisation étatique et celle, plus horizontale, de l’Internet en général. (Conclusion : Internet et ses rouages sont réservés aux 20-30 ans.)

Romain Pigenel, est directeur adjoint en charge du numérique du Service d’information du gouvernement, à ce titre vous gérez par exemple le compte twitter @gouvernementFR

Philaunet 

Philaunet
Admin

311
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Maître ès fautes - Jeu 24 Sep 2015, 22:07

Jean-Luuc a écrit:Nous poursuivons notre semaine FAIRE BREF 2/4 et 3/4 avec ses textes tous aussi ingénieux les uns que les autres (...)

Merci pour vos posts 310 et 311 ci-dessus qui gardent en mémoire un état de la culture française en 2015, ce sera sans doute intéressant à rappeler quand M. Richeux tentera de gravir un nouvel échelon à France Culture...

On ne peut être exhaustif, mais enfin je relève encore des choses dans les deux anti-modèles de descriptifs que vous citez :

« des étudiants de huit pays francophones (Québec, France, Belgique, Cameroun, Maroc, Tunisie, Burkina Faso, Sénégal » [le Québec est donc un pays ? Depuis quand ?]

« (...) de la brièveté et de l’efficacité maître-mots en matière d’Internets. [sic]» [maître n'est pas relié à « mot »  par un tiret et les deux mots s'accordent au pluriel]

* II B. 1. c. α.
* α) [Placé devant un autre subst. pour indiquer le degré de perfection atteint dans un art, une spécialité, un type de comportement ou pour renforcer une qualification injurieuse] Un maître écrivain; un maître sot; un maître filou. Elle m'a prouvé qu'elle reste une maîtresse femme de ménage (Renard,Journal,1901, p. 676).Sénac aurait-il quand même l'étoffe d'un bon salaud moyen, sinon d'un maître salopard? (Duhamel,Maîtres,1937, p. 215).Le maître-argotier Émile Chautard, un simple prote d'imprimerie (Cendrars,Bourlinguer,1948, p.242).
♦ Maîtresse femme. V. femme I B 2 a.P. anal. Maître homme. Homme très habile dans son domaine. Il attendait l'attaque et toujours triomphait. Ah! celui-là, c'était un maître homme (Coppée,Pour couronne,1895, p. 270).


(sinon sur papier, le « Girodet » -Pièges et difficultés, etc. Maître § 2 page 567)

Marie Richeux n'est pas une maîtresse femme.

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312
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Re: ''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux -

''Temps qui courent'' et ex-émissions de Marie Richeux     Page 31 sur 42

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