Stéphane Deligeorges recevait hier Jacques Buslé pour une exploration des moeurs ichtyologiques. Une somme invraisemblable d'informations, découvertes et bizarreries a été abordée. Parfois trop rapidement, mais comment faire autrement avec pareil foisonnement ? Le baryton SD qui parfois n'hésite pas à cabotiner, s'en est donné à coeur joie avec tout ce fourbis de nageoires anales, chibre fourchu et autres poisson-couille des abysses. On sentait que ça déconnait joyeusement dans le studio, et ça aurait pu être désagréable, mais ça ne l'était pas. Idem pour le cabinet de curiosités des sujets trop brièvement effleurés mais qui donne fichtrement envie de se plonger dans la vulgarisation de Jacques Buslé (grand pêcheur à la mouche, soit dit en passant). Stéphane Deligeorges : théorie et pratique d'un gai savoir ?
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Continent sciences Page 1 sur 5
Bas de page ↓Henry Faÿ
2la canne de Jeanne - Lun 26 Oct 2009, 14:11
Chronique animale de Stephane Deligeorges, qui n'a pas l'air de connaitre son Brassens sur le bout des doigts "le pauvre canard femelle", viole par un canard. Un canard femelle, c'est une canne.
Henry
clavier qwerty
Henry
clavier qwerty
Dernière édition par Henry Faÿ le Lun 26 Oct 2009, 14:13, édité 1 fois (Raison : correction)
Frédéric / masterkey
Admin
3Re: Continent sciences - Ven 30 Oct 2009, 16:31
Peut-être y a-t-il eu un raté amusant sur la chronique animalière (l'histoire du vagin des canes qui se complexifie et se tortille suivant l'évolution, *pour* diminuer les risques de progéniture consécutive aux viols qu'elles subissent est quand même croustillant), mais l'émission elle-même à défriché rapidement le système solaire et - plus allusivement - la galaxie, sur un mode passionnant comme souvent à Continent Science.
Le seul reproche que je ferai à l'émission de lundi 26 est celui d'une dispersion trop grande, et d'un survol encore bien rapide à mon goût d'un grand panel de sujets, des quatre forces fondamentales (qu'on a une nouvelle fois cité, sans en donner plus qu'un aperçu), à la constitution du système solaire et ses huit planètes, et au mouvement de la terre à travers la galaxie.
Ce dernier passage a été le plus original, l'invité nous invitant à nous figurer notre mouvement à travers l'espace pas uniquement comme celui une ellipse autour du soleil (à 30 km/s, soit 100 000 km/h), mais comme celui d'une trajectoire en tire-bouchon, compte-tenu de la révolution du système solaire autour de la galaxie, à la vitesse bien plus grande de 200 km/s (soit 720 000 km/h).
On peut rappeler en complément que c'est une approximation à grande échelle d'espace et de temps : en ce moment, le système solaire est attiré vers une direction nommée Apex, mais ce mouvement est vraisemblablement temporaire (puis il ne se fait "qu'à" la vitesse 36 km/s).
Rappelons que notre galaxie elle-même se dirige toutes voiles dehors vers sa grande soeur Andromède, et que le choc inter-galactique est prévu pour dans trois milliards d'années... Notre armée de 200 milliards d'étoiles contre celle assez nettement plus grande d'Andromède devrait fournir un spectacle son et lumière (ah non, il n'y a pas de son dans l'espace) des plus impressionnants. Le tout, vraisemblablement, sans choc réel pour le système solaire, mais avec des conséquences quand même étonnantes : suivant les scénarios, le soleil et ses planètes auraient des chances de finir dans des endroits bien plus denses en étoiles, et qu'en conséquence, sur terres, nos nuits soient définitivement blanchies en raison de l'intensité lumineuse stellaire environnante, soit se faire éjecter du tout formé par les deux galaxies au moment de "l'impact" (un impact de plusieurs centaines de milliers d'années quand même), et fini les étoiles, les nuits seraient alors définitivement noires et non-romantiques.
Signalons, pour en finir avec notre vitesse sidérale, que notre superamas local, nommé superamas de la Vierge (qui contient notre groupe local de galaxie et les amas environnants, soit plusieurs milliers de galaxies), fonce à la vitesse astronomique (facile, Stéphane Deligeorges à fait à peu près la même) de 500 km/s vers le Grand Attracteur, zone de nature inconnue et difficilement observable, car située dans le plan de la voie lactée.
Le principal mouvement que nous effectuons en lisant ces lignes suit donc globalement une trajectoire droite légèrement tire-bouchonnée (doublement) à près de 2 millions de km/h (les radars ne flashent plus à cette vitesse), vers quelque chose qui pèse à peu près 100 milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de kilos (blurps).
Le seul reproche que je ferai à l'émission de lundi 26 est celui d'une dispersion trop grande, et d'un survol encore bien rapide à mon goût d'un grand panel de sujets, des quatre forces fondamentales (qu'on a une nouvelle fois cité, sans en donner plus qu'un aperçu), à la constitution du système solaire et ses huit planètes, et au mouvement de la terre à travers la galaxie.
Ce dernier passage a été le plus original, l'invité nous invitant à nous figurer notre mouvement à travers l'espace pas uniquement comme celui une ellipse autour du soleil (à 30 km/s, soit 100 000 km/h), mais comme celui d'une trajectoire en tire-bouchon, compte-tenu de la révolution du système solaire autour de la galaxie, à la vitesse bien plus grande de 200 km/s (soit 720 000 km/h).
On peut rappeler en complément que c'est une approximation à grande échelle d'espace et de temps : en ce moment, le système solaire est attiré vers une direction nommée Apex, mais ce mouvement est vraisemblablement temporaire (puis il ne se fait "qu'à" la vitesse 36 km/s).
Rappelons que notre galaxie elle-même se dirige toutes voiles dehors vers sa grande soeur Andromède, et que le choc inter-galactique est prévu pour dans trois milliards d'années... Notre armée de 200 milliards d'étoiles contre celle assez nettement plus grande d'Andromède devrait fournir un spectacle son et lumière (ah non, il n'y a pas de son dans l'espace) des plus impressionnants. Le tout, vraisemblablement, sans choc réel pour le système solaire, mais avec des conséquences quand même étonnantes : suivant les scénarios, le soleil et ses planètes auraient des chances de finir dans des endroits bien plus denses en étoiles, et qu'en conséquence, sur terres, nos nuits soient définitivement blanchies en raison de l'intensité lumineuse stellaire environnante, soit se faire éjecter du tout formé par les deux galaxies au moment de "l'impact" (un impact de plusieurs centaines de milliers d'années quand même), et fini les étoiles, les nuits seraient alors définitivement noires et non-romantiques.
Signalons, pour en finir avec notre vitesse sidérale, que notre superamas local, nommé superamas de la Vierge (qui contient notre groupe local de galaxie et les amas environnants, soit plusieurs milliers de galaxies), fonce à la vitesse astronomique (facile, Stéphane Deligeorges à fait à peu près la même) de 500 km/s vers le Grand Attracteur, zone de nature inconnue et difficilement observable, car située dans le plan de la voie lactée.
Le principal mouvement que nous effectuons en lisant ces lignes suit donc globalement une trajectoire droite légèrement tire-bouchonnée (doublement) à près de 2 millions de km/h (les radars ne flashent plus à cette vitesse), vers quelque chose qui pèse à peu près 100 milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de kilos (blurps).
Frédéric / masterkey
Admin
5Re: Continent sciences - Lun 29 Aoû 2011, 15:39
Ouch, le fil de "Continent Science" était enfoui 6 pages sous terre (en dernière page du forum France Culture)! Je pensais que c'était le genre d'émission dont on exhumait au moins annuellement le sujet, à la rentrée, pour se féliciter tout à la fois de sa reconduction et de la permanence de sa qualité.
Eh bien si depuis 2009 on n'en avait pas parlé, l'émission de rentrée ce lundi, dont je n'ai capté que la deuxième partie, en est une bonne occasion. Avec un thème qui illustre bien la diversité et le renouvellement dont est capable l'émission, qui ne ressasse pas beaucoup malgré son âge : une présentation de divers courants philosophiques de l'écologie.
L'invité est Stéphane Ferret, qui publie Deepwater Horizon - Ethique de la nature et philosophie de la crise écologique, que je ne connais pas du tout, mais que je crois avoir entendu dans un des rares Grains à moudre originaux de l'année passée - ou bien était-ce une personne dont les propos étaient assez proches ? -.
Bref, au cours de ce numéro (du passage écouté), sont donc exposés diverses éthiques écologiques, des courants "wellfairistes" qui prônent une conduite simplement bienveillante à l'égard de l'animal, aux mouvances de la deep ecology, jusqu'aux approches écologistes extrêmes, égalitaristes du point de vue de la nature, qui voient en l'homme essentiellement un nuisible - donc à éradiquer -.
L'un des intérêts de cette exposition est le classement des différents courants en "H" ou "non-H" (c'est cet axe précisément que j'avais retenu du Grain à moudre), pour "humano-centrée" ou non. Ca rappellera aux amateurs de SF les romans de Van Vogt, et Bachelard (ou Korzybski?) aux autres, mais ça marche assez bien et ça fait sens.
Le propos de l'invité a en tout cas le mérite d'une assez grande clarté, d'illustrations parlantes, et quoi qu'il expose des positions peu communes, en tout cas pour les non spécialistes de ces approches, il fait un bon travail de détourage des parti-pris implicites qui sous-tendent les positions en question.
Deligeorges relance aussi bien qu'à l'accoutumée. Par ailleurs, c'est HS mais on peut signaler son passage aux Mythologies de poche pour un bon numéro, où certaines archives, notamment l'introduction pour un documentaire en Nouvelle-Calédonie, valent le coup d'oreille.
Eh bien si depuis 2009 on n'en avait pas parlé, l'émission de rentrée ce lundi, dont je n'ai capté que la deuxième partie, en est une bonne occasion. Avec un thème qui illustre bien la diversité et le renouvellement dont est capable l'émission, qui ne ressasse pas beaucoup malgré son âge : une présentation de divers courants philosophiques de l'écologie.
L'invité est Stéphane Ferret, qui publie Deepwater Horizon - Ethique de la nature et philosophie de la crise écologique, que je ne connais pas du tout, mais que je crois avoir entendu dans un des rares Grains à moudre originaux de l'année passée - ou bien était-ce une personne dont les propos étaient assez proches ? -.
Bref, au cours de ce numéro (du passage écouté), sont donc exposés diverses éthiques écologiques, des courants "wellfairistes" qui prônent une conduite simplement bienveillante à l'égard de l'animal, aux mouvances de la deep ecology, jusqu'aux approches écologistes extrêmes, égalitaristes du point de vue de la nature, qui voient en l'homme essentiellement un nuisible - donc à éradiquer -.
L'un des intérêts de cette exposition est le classement des différents courants en "H" ou "non-H" (c'est cet axe précisément que j'avais retenu du Grain à moudre), pour "humano-centrée" ou non. Ca rappellera aux amateurs de SF les romans de Van Vogt, et Bachelard (ou Korzybski?) aux autres, mais ça marche assez bien et ça fait sens.
Le propos de l'invité a en tout cas le mérite d'une assez grande clarté, d'illustrations parlantes, et quoi qu'il expose des positions peu communes, en tout cas pour les non spécialistes de ces approches, il fait un bon travail de détourage des parti-pris implicites qui sous-tendent les positions en question.
Deligeorges relance aussi bien qu'à l'accoutumée. Par ailleurs, c'est HS mais on peut signaler son passage aux Mythologies de poche pour un bon numéro, où certaines archives, notamment l'introduction pour un documentaire en Nouvelle-Calédonie, valent le coup d'oreille.
antonia
6Re: Continent sciences - Lun 29 Aoû 2011, 17:30
Dans la même veine des sciences, il y avait hier 28/08/11 à 14h une excellente émission "Le goût des mathématiques". En bref, tous les gamins, avant 5 ans, ont le goût des maths! les invités se sont un peu perdus dans des discussions mathématiques auxquelles je n'ai pas compris grand chose mais , néanmoins, c'était joyeux et optimiste
Frédéric / masterkey
Admin
7Re: Continent sciences - Lun 29 Aoû 2011, 18:00
Très intéressant à première vue, antonia, merci beaucoup de cette indication ! Je m'empresse de donner le lien direct vers l'émission, que j'essaierai d'écouter au plus tôt : http://www.franceculture.com/emission-croisements-le-gout-des-mathematiques-2011-08-28.html
Pour ajouter quelques mots là-dessus, les deux invités "croisés" sont des sommités, tous deux professeurs au Collège de France, et dont je pense beaucoup de bien :
Alain Connes est mathématicien, et mon ancien voisin. J'ai eu la chance de discuter avec lui de philosophie des mathématiques, sur lesquelles il a une position extrêmement singulière, même parmi les mathématiciens avec qui il partage un "réalisme" platonicien (il pense que les entités mathématiques ont une existence propre et que nous percevons via l'intuition mathématique, qui en est l'organe sensitif), mais il pense même que le monde physique est en quelque sorte un sous-ensemble de l'univers mathématique en général - et en quelque façon, la réalité du monde mathématique est plus profonde que celle du monde physique -. Ses positions, à un état moins avancées, ont été vulgarisé dans un livre de dialogue/dispute avec Jean-Pierre Changeux, Matière à penser, dans lequel toutefois il n'est pas à son meilleur, de mon point de vue.
Par ailleurs, on lui doit une branche importante des mathématiques, celle des algèbres et géométries non-commutatives, qui ont notamment des applications dans plusieurs domaines dont la physique quantique. Fondé sur ces constructions, Connes a proposé un modèle d'unification des interactions de la physique, apparemment très élégant (pour qui navigue avec aisance dans les mondes non-commutatifs) mais que de récents résultats du LHC (ou du FermiLab ?) semblent infirmer.
Stanislas Dehaene, lui, est un à l'instar de JP Changeux, un neuroscientifique de premier plan, et porté entre autre sur la cognition et les mathématiques. Ses modèles d'expérimentation sur la conscience, l'inconscient, les rapports entre cerveau, nombres et lecture ont apporté des résultats expérimentaux importants. Il est par ailleurs un vulgarisateur exceptionnellement clair, à mon goût. J'en ai déjà parlé sur le forum, je suis épaté de ce que l'on puisse posséder à ce point la capacité à présenter si clairement, de manière si limpide des recherches pointues, leur contexte, et tout ce qui est nécessaire pour en comprendre l'objet. Ses conférence en général et au Collège de France en particulier sont à écouter sans modération si la thématique de la psychologie cognitive, notamment sur les états de conscience et le fonctionnement de l'inconscient, étudiés au scanner et à l'IRM, vous intéresse.
Pour ajouter quelques mots là-dessus, les deux invités "croisés" sont des sommités, tous deux professeurs au Collège de France, et dont je pense beaucoup de bien :
Alain Connes est mathématicien, et mon ancien voisin. J'ai eu la chance de discuter avec lui de philosophie des mathématiques, sur lesquelles il a une position extrêmement singulière, même parmi les mathématiciens avec qui il partage un "réalisme" platonicien (il pense que les entités mathématiques ont une existence propre et que nous percevons via l'intuition mathématique, qui en est l'organe sensitif), mais il pense même que le monde physique est en quelque sorte un sous-ensemble de l'univers mathématique en général - et en quelque façon, la réalité du monde mathématique est plus profonde que celle du monde physique -. Ses positions, à un état moins avancées, ont été vulgarisé dans un livre de dialogue/dispute avec Jean-Pierre Changeux, Matière à penser, dans lequel toutefois il n'est pas à son meilleur, de mon point de vue.
Par ailleurs, on lui doit une branche importante des mathématiques, celle des algèbres et géométries non-commutatives, qui ont notamment des applications dans plusieurs domaines dont la physique quantique. Fondé sur ces constructions, Connes a proposé un modèle d'unification des interactions de la physique, apparemment très élégant (pour qui navigue avec aisance dans les mondes non-commutatifs) mais que de récents résultats du LHC (ou du FermiLab ?) semblent infirmer.
Stanislas Dehaene, lui, est un à l'instar de JP Changeux, un neuroscientifique de premier plan, et porté entre autre sur la cognition et les mathématiques. Ses modèles d'expérimentation sur la conscience, l'inconscient, les rapports entre cerveau, nombres et lecture ont apporté des résultats expérimentaux importants. Il est par ailleurs un vulgarisateur exceptionnellement clair, à mon goût. J'en ai déjà parlé sur le forum, je suis épaté de ce que l'on puisse posséder à ce point la capacité à présenter si clairement, de manière si limpide des recherches pointues, leur contexte, et tout ce qui est nécessaire pour en comprendre l'objet. Ses conférence en général et au Collège de France en particulier sont à écouter sans modération si la thématique de la psychologie cognitive, notamment sur les états de conscience et le fonctionnement de l'inconscient, étudiés au scanner et à l'IRM, vous intéresse.
Frédéric / masterkey
Admin
8Re: Continent sciences - Lun 14 Nov 2011, 14:38
Le Continent science de la semaine dernière (du 7/11) permettra d'entendre plus avant Stanislas Dehaene, en partie sur la discussion abordée dans le message qui précède, dans le fil consacré à l'émission Croisements qui en a traité, et aux développement dont avec Langevin, on discutait dans un sujet annexe, qui parlait mathématiques, réalité et droit.
Dehaene toujours aussi clair et pédagogue, y présente les avancées dans un domaine qu'il étudie depuis longtemps : la description des structures mentales où s'élaborent les aptitudes aux mathématiques. De là (d'une naturalisation des aptitudes mathématiques) à penser que c'est dans ces structures-mêmes que naissent les mathématiques, il faudra être convaincu par le professeur Dehaene pour sauter le pas.
La page de l'émission : http://www.franceculture.fr/emission-continent-sciences-ou-vivent-les-idees-mathematiques-2011-11-07
Dehaene toujours aussi clair et pédagogue, y présente les avancées dans un domaine qu'il étudie depuis longtemps : la description des structures mentales où s'élaborent les aptitudes aux mathématiques. De là (d'une naturalisation des aptitudes mathématiques) à penser que c'est dans ces structures-mêmes que naissent les mathématiques, il faudra être convaincu par le professeur Dehaene pour sauter le pas.
La page de l'émission : http://www.franceculture.fr/emission-continent-sciences-ou-vivent-les-idees-mathematiques-2011-11-07
alain43
9continent science et ''la tete au carré'' - Ven 25 Nov 2011, 08:54
continent science et "la tête au carré" sont diffusés à la même heure sur france culture et france inter, je suis obligé de jongler de l'un à l'autre , ne peut t-on pas les décaler?
merci
merci
masterkey
Admin
10Re: Continent sciences - Ven 25 Nov 2011, 09:30
Bonjour Alain,
Bien d'accord avec vous. Autant la Marche de l'histoire est idéalement placée à l'heure des Pieds sur terre, autant ces deux émissions, quoique je préfère nettement la première, gagneraient à n'être pas placées en face.
Il faut vous dire qu'ici sur ce forum, nous n'avons aucun rapport avec France Culture ni Radio France en général, autre que celui d'auditeurs. Nous n'avons donc d'influence sur les programmes que celle de notre satyre ou de nos encouragements.
Si vous souhaitez emprunter une voie d'expression officielle, ce sont les sites de Radio France ou de France Culture qui vous y donneront accès.
Et je me permet de rediriger le tout vers le sujet "Continent Sciences".
Bien d'accord avec vous. Autant la Marche de l'histoire est idéalement placée à l'heure des Pieds sur terre, autant ces deux émissions, quoique je préfère nettement la première, gagneraient à n'être pas placées en face.
Il faut vous dire qu'ici sur ce forum, nous n'avons aucun rapport avec France Culture ni Radio France en général, autre que celui d'auditeurs. Nous n'avons donc d'influence sur les programmes que celle de notre satyre ou de nos encouragements.
Si vous souhaitez emprunter une voie d'expression officielle, ce sont les sites de Radio France ou de France Culture qui vous y donneront accès.
Et je me permet de rediriger le tout vers le sujet "Continent Sciences".
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