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Le paradigme idéologique de France Culture    Page 23 sur 31

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Philaunet En ligne


Admin

221
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Communautarisme - Ven 03 Jan 2020, 15:00

Il y a une certaine ironie à entendre la station, par la voix de sa directrice, clamer son "ouverture", sa passion pour "l'altérité", son souhait d'avancer "ensemble" ("tous ensembleu") et de voir Mme Treiner avec quelques autres employées de France Culture se prêter à cette mise en scène narcissique et communautariste du magazine Elle  :

Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree593
L'article de Elle Magazine sous-titrait le 26 avril 2019 : "Vive la sororité à la radio !" et ce chapeau : "Audiences en hausse, explosion des podcasts… La réussite du groupe va de pair avec une féminisation manifeste de ses équipes. Nous avons tendu le micro à ces grandes voix et fortes têtes de la maison ronde "

Imagine-t-on un instant un journal écrivant "La réussite du groupe va de pair avec une masculinisation manifeste de ses équipes", par exemple dans l'hypothèse où l'on augmenterait la part des hommes dans l'Éducation nationale au niveau primaire et secondaire ("on compte 82% de femmes chez les professeurs des écoles" / "64% chez les certifiés" LCP 2018) ?

Pour ce qui concerne la réussite, chacun jugera selon son expérience les Serrell, Gacon, Charon, Tourret, Farine, Broué, Gayot, Gesbert, Richeux, Rocquigny, Mosna-Savoye, etc. Les diverses rubriques de ce forum ont déjà analysé les productions de ces employées. Je tiens par ailleurs à disposition, en plus des noms d'excellentes productrices passées sur FC, une vingtaine d'autres noms de productrices œuvrant de manière remarquable dans des stations publiques européennes. Voir par exemple la rubrique dédiée aux radios culturelles étrangères.

Si tout simplement, le personnel de Radio France était recruté sur ses compétences en matière radiophonique et non sur son sexe, sa photogénie et sa subordination à une idéologie ?

Philaunet En ligne

Philaunet
Admin

222
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La débâcle de France Culture, elle, est avérée - Lun 06 Jan 2020, 13:53

En ce début d'année, la barre est placée haut...

"La pensée d'xxxxxxxxx et sa relecture au présent de zzzzzzzzzz se révèlent particulièrement fécondes face à la débâcle de notre civilisation".

"la débâcle de notre civilisation", il faut ne pas avoir grand-chose dans la tête et être fort éloigné du réel pour coller cette expression dans le descriptif.

"la nouveauté de certaines formes d’activismes, qui donnent lieu à ce qu’elle nomme des « dispositifs génératifs » : un art de la parole et de la convention qui donne naissance à une relation, une sensibilité d’un nouveau type."

Ah, si c’est un "nouveau type", alors la station doit s'en faire l'écho... Une émission culturelle à souhait * : moulinade frénétique des idées creuses lesquelles rapportent néanmoins des pépètes en livres vendus et en conférences, voire en postes au CNRS.

* La Grande table idées 06-01-2020.

antonia 


223
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Brouillage des repères sur France-Culture - Mer 08 Jan 2020, 14:14

Ce qui tend à tout brouiller sur France-Culture, c'est que tout problème de société, de morale est envisagé à l'aune d'une option politique. Si l'on n'adhère pas à un soi-disant progrès dans les moeurs ou dans l'organisation sociale, on est traité avec mépris de conservateur et surtout de réactionnaire.
L'affaire Matzneff renverse toutes ces habitudes et ça fait plaisir.Tous ces intellectuels gauchistes ou de droite qui ont fait la loi pendant 40 ans sont remis à leur place.Seul, contre tous, Jean-Claude Michéa,marxiste pourtant,  dénonçait l'horreur de cette prédation d'enfants ou jeunes adolescents et écrivait que la plupart des gens étaient scandalisés de voir ce type obtenir des prix et être encensé dans beaucoup de médias.(IMichéa est dans le sillage d'Orwell qui parle de Common decency) . C'est pourquoi, nous, les gens ordinaires,on est heureux, à l'instar de Denise Bombardier, de voir  que cette comédie prend fin  et que les protagonistes de cette complaisance sont démasqués.La colère bouillait en nous.
De même, l'auteure des "Monologues du vagin" démasque le mal à sa racine.Le grossier machisme qui règne plus ou moins dans toutes les cultures  a rendu les femmes honteuses de leur corps.La publicité s'est emparée de cette dévalorisation pour vendre des produits ou pour changer notre corps.Ce machisme insupportable est installé chez beaucoup d'hommes de  droite comme de gauche.
Maintenant, F.C. nous assomme avec les absurdités du genre: dans 15 ans , on les entendra se repentir d'avoir rendu des jeunes à moitié dingues.Mais ils ne s'excusent jamais.

Fontaine 

Fontaine

224
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un bon dialogue du vagin pour tout clarifier... - Mer 08 Jan 2020, 14:59

Faut-il sauver francimposture ?

Delphine Ernotte pose sa candidature à la direction de france télévision qui fusionnera maby avec radio france pour devenir france média , en attendant les pinçons chantent et nous prennent pour des charlots (comprend qui peut) .

L'audiovisuel vous tienne en joie.

Philaunet En ligne

Philaunet
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225
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Re: Le paradigme idéologique de France Culture - Mer 08 Jan 2020, 19:33

antonia(https://regardfc.1fr1.net/t370p220-le-paradigme-ideologique-de-france-culture#34619) a écrit:Ce qui tend à tout brouiller sur France-Culture, c'est que tout problème de société, de morale est envisagé à l'aune d'une option politique. Si l'on n'adhère pas à un soi-disant progrès dans les moeurs ou dans l'organisation sociale, on est traité avec mépris de conservateur et surtout de réactionnaire.
L'affaire Matzneff renverse toutes ces habitudes et ça fait plaisir.Tous ces intellectuels gauchistes ou de droite qui ont fait la loi pendant 40 ans sont remis à leur place.Seul, contre tous, Jean-Claude Michéa,marxiste pourtant,  dénonçait l'horreur de cette prédation d'enfants ou jeunes adolescents et écrivait que la plupart des gens étaient scandalisés de voir ce type obtenir des prix et être encensé dans beaucoup de médias.(IMichéa est dans le sillage d'Orwell qui parle de Common decency.
Gallimard a publié Matzneff. Qui en a pris la responsabilité ? France Culture n'a jamais fait de topo sur Matzneff alors que ses pratiques étaient connues dans le monde culturel depuis longtemps. Pour ne pas déplaire à l'éditeur partenaire ? Ou pour que le carnet d'adresses de l'écrivain ne soit pas rendu public ?
(...) dans 15 ans , on les entendra se repentir d'avoir rendu des jeunes à moitié dingues.Mais ils ne s'excusent jamais.
Oui, tous les rebelles de pacotille et les apocalyptiques de cette station sont des sectaires qui endoctrinent les jeunes. Le renouveau maoïste et trotskyste est patent chez les intellectuels de salon qui conduisent la plupart des émissions de la station publique avec la bénédiction de la directrice. Dans 15 ou 20 ans, on se demandera comment cette dérive délétère aura pu être permise, comment en 2020 une station publique prétendument culturelle aura pu programmer une journée pareille : "Une Excellente journée sur la chaîne de tous les savoirs, la suite".

Heureusement, il y a des consolations :

Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree609
Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree608

Philaunet En ligne

Philaunet
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226
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France Culture en mode LFI - Ven 17 Jan 2020, 20:54

Il faudra quand même expliquer aux auditeurs de France Culture si les comptes Twitter adossés à la station publique ont pour fonction de s'indigner et de prendre parti politiquement, comme c’est devenu systématiquement le cas (Voir Munier qui ne cache plus ses sympathies politiques radicales). Il faudrait en effet savoir : est-ce que Perrine Kervran (La série doc) et Emmanuel Laurentin (table ronde) ont pour mission de relayer des propos véhéments sur l'actualité, sans que la réalité de ce qui est rapporté ne soit établie contradictoirement ?

Les producteurs utilisant le sigle FC ne sont-ils pas tenus à une obligation de réserve ? Il y a là un gros problème de déontologie à résoudre.

Que les producteurs se créent des comptes personnels pour s'exprimer au lieu de le faire au nom et avec les moyens de de la station publique !

Exemple :
Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree654


Philaunet En ligne

Philaunet
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227
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De l'idéologie jusqu'au trognon - Lun 20 Jan 2020, 14:13

Mais comment font-ils ? C'est vraiment affreux ! Economie de la mort (1/4) "Vers une société d'héritiers 20/01/2020. "

"Cette semaine, # entendezvousleco passe de vie à trépas et plonge dans l'économie de la mort. 1er épisode : la question de l'héritage et des inégalités qu'il entraîne."

Du matin au soir : les inégalités, les victimes, les profiteurs. La mort ? L'angle de "l'inégalité".

Il y en a un autre : par exemple combien coûte exactement un cercueil ? Et comment fait-on quand on n'a pas les moyens de payer des funérailles ?

"I Can't Afford to Die"  Sat 19 Jan 2019. Il n'y a pas là d'idéologie bourdieusienne ou marxiste sous-jacente, l'émission traite avec tact et intelligence la façon de faire face aux frais. Une sacrée leçon de radio documentaire inimaginable à France Culture.

La série mémorable et patrimoniale, We Need to Talk About Death "Joan Bakewell and her panel discuss death and dying, exploring the choices open to us and confronting the questions we fear the most."

Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree671

Curly 

Curly

228
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France Catastrophe, le pire est à venir : bientôt 4% d'audimamate. - Mer 22 Jan 2020, 14:45

C’est pas moi qu’a commencé, c’est Guillaume-à-6h57-il-est-6h57-Erner, sacré Popo 1er Empereur des Socios Popos, empire fondé en 2015.
Dans son humeur popo, Popo 1er découvre, et nous fait découvrir par la même occasion car le partage des connaissances est le credo - in unum sociologum, psychanalysem omnipotentem, factorem marxisti et politicae, visibilium apocalyptium et invisibilium – du Lider Maximo de la mamate.
Retour sur une popolémique que seule La Chaîne météo n’en a pas parlé, et encore cela reste à ne pas vérifier.
Il existerait des journalistes-militants, et attendez, cela reste à prouver, alors rajoutons des guillemets de précaution au conditionnel initial, soyons prudents. Je recommence.
Il existerait des «journalistes-militants ».
Mon Dieu, ça existait ! Y en avait partout ! Que pouvons-nous faire de cette chienlit ?
« que faut-il faire de ces journalistes militant(s) ? Autoriser leur discours ou les cantonner à certains espaces ? »
Mais si on les cantonne dans un parc, ça veut dire qu’on les autorise ? Non ?
Rassurez-vous amis militants, ce parc existe. Il s’appelle France Culllturre.
Popo Ninja termine ainsi son humeur : « Alors, me revient une phrase d’Orwell qui dit à peu près ceci, ‘’si le mot liberté signifie encore quelque chose, alors il désigne le droit de dire aux gens des choses qu’ils n’ont absolument pas envie d’entendre’’ »
Parce qu’il est vrai que :
- le journaliste de « Là-bas si j’y suis » (ça existait encore ?) a asséné sur son compte Twittwitt des vérités qui dérangent en appelant à mots couverts à un lynchage présidentiel.
- nous n’avons pas forcément envie d’entendre les moulinades quotidiennes de Ranfre Tulucre, et c’est vrai que ces vérités dérangent, pas de doute : c’est de l’argent public balancé en l’air pour des tables rondes qui tournent tournent autour de sujets militants.

Déjà, nous pouvons nous rappeler du merveilleux tapis rouge, très rouge, déroulé en l’honneur de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, qui était dénué de tout militantisme et d’une neutralité exemplaire.
Mais aujourd’hui, que de culrture ! C’est impressionnant ! Et encore, grève oblige, une partie des programmes nous manque. Snif.
Ce mamate : un nouveau tapis rouge (celui de la ZAD est resté sur place puisqu’il a permis de monter pas moins de 50 yourtes) est déroulé pour un popolitologue qui n’en est plus à une popolémique près.
C’est l’actu culturelle dans ce qu’elle a de plus pointue et approfondie : implosion sociale (garantie sans militantisme), et que du fun avec, pèle-mêle, épidémie en Chine, mémoire de la Shoah, destitution de Trump, écologie au troisième degré (merci le Granule), Call of Duty, Sida, et grande culture allemande avec de vrais morceaux de nazis dedans.
La suite : féminisme, re-féminisme, anti-capitalisme (Faites sauter les banques !), sujets qui donnent lieu à des émissions hautement culturelles et créatives. Le message est clair, et toujours, soulignons-le car c’est important, sans militantisme aucun. Les thématiques qui tournent autour des tablinettes à débat toute la journée : féminisme, fin du monde et marxisme. Et puis basta.
Et ne vous y trompez pas. S’il vous semble que l’émission s’annonce culturelle, écoutez-y voir deux minutes, vous allez vite plonger.
Allez au pif, hier soir, Matières à phosphorer : Un grand médecin humaniste de l’Antiquité, Galien de Pergame.
Et au bout de huit lignes, toc toc toc, qui voilà ?
«... le détachement comme exercice spirituel afin de se préparer au pire. »
Credo in unum  sociologum, psychanalysem omnipotentem, factorem marxisti et politicae, visibilium apocalyptium et invisibilium. Amen.

Philaunet En ligne

Philaunet
Admin

229
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Militantisme politique et recherche historique - Sam 25 Jan 2020, 08:06

Une démarche scientifique qui interroge : "C’est en réfléchissant aux idéaux militants que j’ai rencontré la nécessité de les fonder plus solidement. Pierre Rosanvallon"

Ledit Rosanvallon n'est vraiment pas maltraité par franceculture.fr, vu le nombre d'invitations reçues pour exprimer ses critiques de la société française et de ses représentants. Ce soir, il est avec l'intervieweuse du matin, qui est également employée dans la revue de son collègue de l'émission du midi (le soir, c’est le rédacteur en chef de la revue qui assure la bonne parole) : Les Masterclasses.

Parcours :
"Du militantisme à l'Université
   Je suis arrivé par hasard dans la carrière académique, de façon relativement tardive car j’ai été élu maître de conférences à l’EHESS en 1983, j’étais déjà jeune adulte. Tout le début de ma vie d’adulte était une vie militante. Au lieu d’avoir un passé de doctorant, j’ai eu un passé de militant. Mais je me suis rattrapé parce que j’ai fini par avoir trois doctorats ! Si je suis devenu universitaire, c’est pour répondre aux questions que je me posais dans ma vie militante. J’ai eu 20 ans en mai 68. C’est en réfléchissant aux idéaux militants que j’ai rencontré la nécessité de les fonder plus solidement. Pierre Rosanvallon
"

Vision de l'histoire :
"L'Histoire : le laboratoire des questions du présent

   Je me suis toujours senti homme des sciences sociales, j’écris un type d’Histoire qui sans cesse fait appel aux autres sciences sociales, un livre d’Histoire qui essaie d’être nourri par une conceptualisation de théorie / philosophie politique. Ce qui a organisé mon travail, c’est un objet, c’est la réflexion sur la démocratie, sur le contrat et la justice sociale. Mon approche de l’Histoire est celle de la considérer comme un laboratoire des questions du présent. Si l’on veut comprendre les difficultés de la démocratie aujourd’hui même quotidiennement, les mêmes questions se sont posées dès la période la Révolution française, dans l’Amérique des années 1780, ou encore dans l’Angleterre des années 1660. L'intérêt de l'Histoire, c'est restaurer de façon vivante les interrogations, les pistes de réflexion, me faire personnage vivant de cette histoire. (...) Mon travail, oui, c'est de lire, mais il faut aussi imaginer. La politique n'est pas que des idées. Elle prend sens dans des lieux, des mises en scène, des moments d'incompréhension, de tumultes. C'est une lecture, mais une lecture qui regarde. Pierre Rosanvallon
"


On comprend qu'il soit publié dans la revue de France Culture, aoc, laquelle revue (Bourmeau tient au mot journal, c’est idiot) a rajouté un podcast radiofrance à son actif... Peut-être, en plus de définir, avec d'autres, le cadre politique et idéologique de la station, Rosanvallon sera-t-il bientôt directeur des programmes ou, à défaut, animateur d'une émission ?

Au fait, à rajouter à La Vie des idées : "La Nuit des idées,  autour du thème 'Être vivant'. France Culture s'y associe". Un "thème" tout à fait dans l'air du temps, pas fourre-tout pour un sou.

Philaunet En ligne

Philaunet
Admin

230
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Le service public trahi par un(e) militant(e) politique - Mar 28 Jan 2020, 21:05

Il n'y a donc personne pour arrêter la personne qui se cache derrière le nom de "France Culture" qui écrit :

Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree716

Et en même temps toujours le même employé (?) qui prend le nom de la radio publique pour poster cette photo (encore un modèle posant pour une banque d'images !) afin d'illustrer une conférence (voir la légende)...

Le paradigme idéologique de France Culture - Page 23 Scree717

S'approprier les moyens et le nom de la station pour faire de la politique sous prétexte de relais de ceci ou de cela est une trahison du service public.

Philaunet En ligne

Philaunet
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231
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Comment France Culture véhicule son message politique - Mer 29 Jan 2020, 11:15

Simple et signalé depuis des lustres dans ce forum (2 lustres et demi) : la station invite des personnes qui représentent les opinions de la direction et des employésFC choisis pour leur adhésion au paradigme. Ces personnes sont invitées à présenter leurs points de vue sans qu'aucune contradiction ne leur soit opposée, au contraire.

Dernier exemple en date : Chapoutot. Il est partout. En tant que multi-invité sur la chaîne, en tant qu'auteur d'un livre largement commenté sur la chaîne, en tant que vedette d'une vidéo de FC, quotidiennement mise à jour sur Twitter et complaisamment présentée (cf. ci-dessus).

Évidemment, Chapoutot, s'inscrit dans la combat politique de France Culture qui jour après jour donne la parole aux anti-capitalistes, le couple Cagé-Piketty et consorts, et aux contempteurs du "néo-libéralisme".

Tiens à propos... Qu'écrivait ledit Chapoutot il y a deux mois dans Libération ? Macron ou le triomphe de la destructrice pensée néolibérale.

Un titre qui pourrait être celui de chaque émission socio-politique et des autres qui véhiculent cette opinion en filigrane. Le service public de la radio culturelle a été phagocyté par un discours d'opposition politique systématique sous des airs de ne pas y toucher ("ce sont les invités qui parlent"). Qui est dupe ?

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Re: Le paradigme idéologique de France Culture -

Le paradigme idéologique de France Culture     Page 23 sur 31

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