Le Grand Mamamouchi vous parle :
Ah, la loi du marché ! Quelle misère !
Et le pire, c’est que cette leçon de morale est donnée par le producteur d’une émission qui ne fonctionne que sur la promo.
Imaginez que plus aucun artis’ ne vienne faire sa promo sur France Cu. Antenne morte !
L’émission à Didine du jour :
Son but : vous culturer ou vous renvoyer illico presto vers la came cultureuse de l’invité ?
Le sujet de l’émission dépend de la promo du jour. Donc, la réponse est répondue.
Si l'on recense toutes les émissions promo, les partenariats à gogo, et les ressassements sans fin des mêmes sujets dans le genre de
nouvelle couche de
le touitte du Mamamouchi apparaît comme une vaste blague. Son audiovisuel public n’est fort que dans l’imagination du dedans de sa tête, ou alors lui-même n'y croit même pas et veut juste sauver son beefsteak.
Sans la loi du marché, le Mamamouche, il ferme la boutique de son « Business cultureux », que seuls les snobinards appellent « Affaires culturelles ».
Quand on se comporte comme une radio commerciale déguisée en service public, faut pas pleurnicher pour garder ce déguisement.
De toute façon, avec le réchauffement climatique, il sera bientôt superflu.
Ah, la loi du marché ! Quelle misère !
Et le pire, c’est que cette leçon de morale est donnée par le producteur d’une émission qui ne fonctionne que sur la promo.
Imaginez que plus aucun artis’ ne vienne faire sa promo sur France Cu. Antenne morte !
L’émission à Didine du jour :
Son but : vous culturer ou vous renvoyer illico presto vers la came cultureuse de l’invité ?
Le sujet de l’émission dépend de la promo du jour. Donc, la réponse est répondue.
Si l'on recense toutes les émissions promo, les partenariats à gogo, et les ressassements sans fin des mêmes sujets dans le genre de
nouvelle couche de
le touitte du Mamamouchi apparaît comme une vaste blague. Son audiovisuel public n’est fort que dans l’imagination du dedans de sa tête, ou alors lui-même n'y croit même pas et veut juste sauver son beefsteak.
Sans la loi du marché, le Mamamouche, il ferme la boutique de son « Business cultureux », que seuls les snobinards appellent « Affaires culturelles ».
Quand on se comporte comme une radio commerciale déguisée en service public, faut pas pleurnicher pour garder ce déguisement.
De toute façon, avec le réchauffement climatique, il sera bientôt superflu.