Association régie par la loi de 1901.
Présente dans le Dictionnaire de la radio (Robert Prot - PUG - 1996) qui dit en substance : fondée en 1984 ; indépendante de France Culture et indépendante de toute idéologie politique ou philosophiquedonc pas comme France Culture - ça c'est moi qui ajoute). Attachée au service public, souhaite favoriser l'évolution de la chaine dans le maintien de sa qualité, la préservation de sa spécificité, l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute, sa pérennité et son pluralisme.
Ah ah ah excusez-moi je ris : vers 2006 Jean Lebrun sachant que les auditeurs vigilants constataient depuis 6 années l'enterrement de sa crédibilité, avait profité d'une émission en direct au café El Sur pour décrire cette association comme un groupe de vieilles dames qui voudraient que France Culture n'évolue pas. Il faut dire qu'entre 1999 et 2006, l'évolution de France Culture en sus de l'avancement fabuleux de Jean Lebrun était porteuse de nombreux sujets de mécontentements pour l'auditeur, à un niveau de densité qui n'a été pulvérisé que par les années 2010-2016. J'en avais retenu qu'avec une bonne dose de culot, on peut s'imaginer échapper aux critiques en affublant du mot "évolution" les réformes imbéciles par lesquelles on salope une institution d'excellence.
Mais poursuivons : ce que Robert Prot ne dit pas dans cette notice, c'est que l'AAFC avait été fondée dans la ligne d'un mouvement de mécontentement d'auditeurs qui regrettaient la disparition d'une émission de débats : Le monde contemporain. Chaque samedi matin Francis Crémieux et Jean de Beer co-animaient un débat contradictoire. Le programme des Nuits de FC rediffuse parfois un numéro de cette émission. Le Monde contemporain avait été supprimé de la grille pour laisser la place à un magazine nouveau : Répliques, animée par Alain Finkielkraut (vous connaissez ?). Le lobby d'auditeurs ne parvint pas à ses fins (le maintien du Monde contemporain). L'émission nouvelle demeura dans les murs de Radio France et l'association dans l'annuaire de la Préfecture car la pérennité n'est pas l'apanage du service public. Elle a même décerné un prix à Alain Finkielkraut quelques années plus tard pour Répliques (en 1990), un autre à Jean Lebrun ainsi qu'à Jacques Duchateau, Eliane Contini, Olivier Germain-Thomas (pour Agora), Patrice Gélinet, Antoine Spire, Francesca Piolot...
L'Association a connu depuis 1984 des fortunes diverses. Elle est actuellement présidée par Henry Faÿ qui intervient à l'occasion sur notre forum où il a ouvert plusieurs sujets de discussion dont l'un assez fourni (intitulé originellement "Michel Onfray, qu'as-tu fait de ta promesse depuis débaptisé et renommé). Lors d'un récent passage dans nos murs, il a attiré l'attention sur son association et sur le bulletin fort intéressant qu'elle publie, bulletin dont on donnera ici régulièrement des nouvelles.
Présente dans le Dictionnaire de la radio (Robert Prot - PUG - 1996) qui dit en substance : fondée en 1984 ; indépendante de France Culture et indépendante de toute idéologie politique ou philosophiquedonc pas comme France Culture - ça c'est moi qui ajoute). Attachée au service public, souhaite favoriser l'évolution de la chaine dans le maintien de sa qualité, la préservation de sa spécificité, l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute, sa pérennité et son pluralisme.
Ah ah ah excusez-moi je ris : vers 2006 Jean Lebrun sachant que les auditeurs vigilants constataient depuis 6 années l'enterrement de sa crédibilité, avait profité d'une émission en direct au café El Sur pour décrire cette association comme un groupe de vieilles dames qui voudraient que France Culture n'évolue pas. Il faut dire qu'entre 1999 et 2006, l'évolution de France Culture en sus de l'avancement fabuleux de Jean Lebrun était porteuse de nombreux sujets de mécontentements pour l'auditeur, à un niveau de densité qui n'a été pulvérisé que par les années 2010-2016. J'en avais retenu qu'avec une bonne dose de culot, on peut s'imaginer échapper aux critiques en affublant du mot "évolution" les réformes imbéciles par lesquelles on salope une institution d'excellence.
Mais poursuivons : ce que Robert Prot ne dit pas dans cette notice, c'est que l'AAFC avait été fondée dans la ligne d'un mouvement de mécontentement d'auditeurs qui regrettaient la disparition d'une émission de débats : Le monde contemporain. Chaque samedi matin Francis Crémieux et Jean de Beer co-animaient un débat contradictoire. Le programme des Nuits de FC rediffuse parfois un numéro de cette émission. Le Monde contemporain avait été supprimé de la grille pour laisser la place à un magazine nouveau : Répliques, animée par Alain Finkielkraut (vous connaissez ?). Le lobby d'auditeurs ne parvint pas à ses fins (le maintien du Monde contemporain). L'émission nouvelle demeura dans les murs de Radio France et l'association dans l'annuaire de la Préfecture car la pérennité n'est pas l'apanage du service public. Elle a même décerné un prix à Alain Finkielkraut quelques années plus tard pour Répliques (en 1990), un autre à Jean Lebrun ainsi qu'à Jacques Duchateau, Eliane Contini, Olivier Germain-Thomas (pour Agora), Patrice Gélinet, Antoine Spire, Francesca Piolot...
L'Association a connu depuis 1984 des fortunes diverses. Elle est actuellement présidée par Henry Faÿ qui intervient à l'occasion sur notre forum où il a ouvert plusieurs sujets de discussion dont l'un assez fourni (intitulé originellement "Michel Onfray, qu'as-tu fait de ta promesse depuis débaptisé et renommé). Lors d'un récent passage dans nos murs, il a attiré l'attention sur son association et sur le bulletin fort intéressant qu'elle publie, bulletin dont on donnera ici régulièrement des nouvelles.