La Palme d'or revient à France Culture qui n'a pas cessé depuis trois semaines de vilipender la Russie, Poutine et la minorité russe de l'Ukraine :
Pas de représentation du point du vue russe ; pas de mise en perspective ; aucune considération pour la minorité russophone ; aucune analyse critique de la politique de l'Otan, et avec l'appui de cette organisation, de la politique des USA aux frontières de la Russie ; aucune considération pour les intérêts russes ; aucune reconnaissance ni légitimation de ces intérêts ; aucune reconnaissance d'une place au sein du concert des Nations d'une Russie indépendante, pays-continent à lui tout seul ; aucune analyse prospective d'un avenir européen avec la Russie...
"Journalistes" ouvertement anti-Poutine avec, dans ce qui n'est que du "commentaire", l'intériorisation du discours de propagande du nouveau gouvernement Ukrainien dit pro-européen : dans les faits, tout bonnement pro-Otan et pro-américain, et financé comme tel ; journalistes anti-russophones donc : vocabulaire dépréciatif à l'encontre des Russes, jugements de valeur hors du cadre de la mission qui devrait être celle d'un journaliste ; propos sans nuances ; reportages déséquilibrés...
Pour encadrer ce suivisme et larbinisme, et finalement, ce fiasco journalistique, un Antoine Mercier qui doit très certainement déjeuner avec sa serviette noué autour de son coup, fourchette d'un main et morceau pain de l'autre, et une ventriloque, liseuse de dépêches AFP, qui répond au nom de Caroline Broué.
Après la Libye et la Syrie... avec la crise ukrainienne, c'est un nouveau naufrage des médias qui nous est proposé ; naufrage qui confirme et consacre une fois de plus la fin du journalisme et d'une information sans parti pris ; et quand on sait que la vérité des faits est un mille-feuilles qui demande à la fois de l'expertise - histoire et culture -, un très haut niveau de conscience professionnelle et la reconnaissance d'un risque : celui de passer à côté de la vérité, tout simplement...
Longtemps l'on pourra s'interroger sur la question de savoir comment tous en sont arrivés là.
Certes ! Contre les médias privés nous sommes sans recours... en revanche, contre France Culture et les radios et télés du service public financés par les contribuables, nous pouvons agir en manifestant notre colère et notre écœurement...
N'hésitez pas à le fairehttp://espacepublic.radiofrance.fr/
Pas de représentation du point du vue russe ; pas de mise en perspective ; aucune considération pour la minorité russophone ; aucune analyse critique de la politique de l'Otan, et avec l'appui de cette organisation, de la politique des USA aux frontières de la Russie ; aucune considération pour les intérêts russes ; aucune reconnaissance ni légitimation de ces intérêts ; aucune reconnaissance d'une place au sein du concert des Nations d'une Russie indépendante, pays-continent à lui tout seul ; aucune analyse prospective d'un avenir européen avec la Russie...
"Journalistes" ouvertement anti-Poutine avec, dans ce qui n'est que du "commentaire", l'intériorisation du discours de propagande du nouveau gouvernement Ukrainien dit pro-européen : dans les faits, tout bonnement pro-Otan et pro-américain, et financé comme tel ; journalistes anti-russophones donc : vocabulaire dépréciatif à l'encontre des Russes, jugements de valeur hors du cadre de la mission qui devrait être celle d'un journaliste ; propos sans nuances ; reportages déséquilibrés...
Pour encadrer ce suivisme et larbinisme, et finalement, ce fiasco journalistique, un Antoine Mercier qui doit très certainement déjeuner avec sa serviette noué autour de son coup, fourchette d'un main et morceau pain de l'autre, et une ventriloque, liseuse de dépêches AFP, qui répond au nom de Caroline Broué.
Après la Libye et la Syrie... avec la crise ukrainienne, c'est un nouveau naufrage des médias qui nous est proposé ; naufrage qui confirme et consacre une fois de plus la fin du journalisme et d'une information sans parti pris ; et quand on sait que la vérité des faits est un mille-feuilles qui demande à la fois de l'expertise - histoire et culture -, un très haut niveau de conscience professionnelle et la reconnaissance d'un risque : celui de passer à côté de la vérité, tout simplement...
Longtemps l'on pourra s'interroger sur la question de savoir comment tous en sont arrivés là.
Certes ! Contre les médias privés nous sommes sans recours... en revanche, contre France Culture et les radios et télés du service public financés par les contribuables, nous pouvons agir en manifestant notre colère et notre écœurement...
N'hésitez pas à le fairehttp://espacepublic.radiofrance.fr/
Dernière édition par Serge Uleski le Lun 28 Avr 2014, 20:22, édité 1 fois