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Journalisme et médias Page 2 sur 2
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Admin
12L'AFP, source et inspiration de France Culture et des médias français - Jeu 13 Aoû 2020, 08:53
L'AFP, en sélectionnant des faits comme informations aux médias, leur donne le statut d'événements et oriente les perspectives. C'est ce que l'on appelle la fabrication de l'opinion. Beaucoup de médias ne se donnent plus la peine d'aller plus loin qu'un copié-collé des dépêches de cette agence de presse au statut particulièrement flou.
"Game over", c'est de l'information ? Ou une nette prise de position sur le sujet ?
"Game over", c'est de l'information ? Ou une nette prise de position sur le sujet ?
Philaunet
Admin
13''Observatoire du journalisme'' - Dim 06 Mar 2022, 13:38
Un site intitulé Observatoire du journalisme
Un article :
Conflit russo-ukrainien : pourquoi nous attendrons pour en parler le 28 février 2022.
Un article dans une rubrique intitulée "Veille médias" Adèle Van Reeth nommée à la tête de France Inter le 4 mars 2022.
À comparer avec Acrimed - Observatoire des médias qui incarne une vision critique différente.
Un article :
Conflit russo-ukrainien : pourquoi nous attendrons pour en parler le 28 février 2022.
Un article dans une rubrique intitulée "Veille médias" Adèle Van Reeth nommée à la tête de France Inter le 4 mars 2022.
À comparer avec Acrimed - Observatoire des médias qui incarne une vision critique différente.
Philaunet
Admin
14''Mécaniques du journalisme'' - Jeu 07 Avr 2022, 09:01
Les articles sur France Culture sont assez rares, enfin ceux qui ne sont pas des louanges de commande (cf. Télérama). Celui-ci date de 2021 et porte sur un produit que la radio dite culturelle promeut largement. À consulter avec l'esprit critique habituel envers toute source de diffusion, ici l'Ojim : Mécaniques du journalisme : France Culture en partenariat avec Bellingcat (...).
Curly
15France Info démonte les fake news de France Info - Lun 17 Avr 2023, 11:41
France Info a une rubrique hyper pointue, ''Le vrai du faux''. Décrypter les fake news, c'est le boulot de cette rubrique de vrai du faux.
La tactique en deux temps : 1, on balance une fake news, 2, on la démonte, on la plie on la range.
Démonstration.
1,
et 2,
Si on suit bien la rubrique du vrai du faux du faux du vrai du faux, on en conclut, comme il est bien écrit dans le vrai du faux du vrai du je sais plus je suis paumé, que ''France Infaux du vrai du faux avec l'AFP'' font partie, je cite le vrai du faux du faux du démerdez-vous j'en peux plus, d' ''une partie de l'opposition''.
La tactique en deux temps : 1, on balance une fake news, 2, on la démonte, on la plie on la range.
Démonstration.
1,
et 2,
Si on suit bien la rubrique du vrai du faux du faux du vrai du faux, on en conclut, comme il est bien écrit dans le vrai du faux du vrai du je sais plus je suis paumé, que ''France Infaux du vrai du faux avec l'AFP'' font partie, je cite le vrai du faux du faux du démerdez-vous j'en peux plus, d' ''une partie de l'opposition''.
Philaunet
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16La déontologie du service public : un scandale pour Médiapart et des journalistes de Radio France - Lun 08 Juil 2024, 10:41
Des journalistes à qui il est demandé de respecter l'éthique du service public en ne transformant pas Radio France en tribune politique ? Un scandale selon tel ou tel, devenus par la grâce de la généralisation, l'ensemble de Radio France...
La Présidente de Radio France ? Rien moins qu'un ascenseur pour les fachos. Mais qu'attendre d'autre de Médiapart, la source première des rédactions de Radio France et d'un bon nombre de producteurs de France Culture qui en invite complaisamment les représentants.
Médias Analyse Yunnes Abzouz - 7 juillet 2024 : "Traiter le RN comme un parti banal : des journalistes se rebiffent face à leur direction".
Au prétexte de ne laisser aucun Français de côté, les grands médias ont ouvert leurs colonnes au RN en rompant le cordon sanitaire autrefois de rigueur. Dans certaines rédactions, l’heure est à la protestation ou au moins à l’introspection.
La Présidente de Radio France ? Rien moins qu'un ascenseur pour les fachos. Mais qu'attendre d'autre de Médiapart, la source première des rédactions de Radio France et d'un bon nombre de producteurs de France Culture qui en invite complaisamment les représentants.
Médias Analyse Yunnes Abzouz - 7 juillet 2024 : "Traiter le RN comme un parti banal : des journalistes se rebiffent face à leur direction".
Au prétexte de ne laisser aucun Français de côté, les grands médias ont ouvert leurs colonnes au RN en rompant le cordon sanitaire autrefois de rigueur. Dans certaines rédactions, l’heure est à la protestation ou au moins à l’introspection.
(...) Un difficile équilibre entre neutralité et attachement aux valeurs humanistes
Sur les antennes de Radio France, plusieurs journalistes se sont aussi posé la question de se positionner clairement contre l’extrême droite. « Mais ce qui est arrivé aux membres de la Société des journalistes de France 3 nationale [mis à l’écart du traitement de la campagne par la direction pour avoir signé une tribune appelant les médias à faire « front commun contre l’extrême droite » – ndlr] nous a tous refroidis », raconte, amère, une journaliste de France Info.
À France Culture, la proposition de renouer avec un traitement spécifique pour l’extrême droite a très vite été balayée. « La chefferie nous a très vite dit qu’il n’était pas question d’appeler à faire barrage et de ne surtout pas tenir un discours anti-extrême droite », relate une voix de la station. Même son de cloche à France Inter, où une réunion s’est tenue mercredi en présence des rédacteurs en chef et du directeur de l’information, Marc Fauvelle. Là encore, consigne a été donnée de garder la même distance et la même neutralité, afin de ne pas verser dans « le journalisme de combat ».
« La neutralité, ça ne veut rien dire, balaye une rubricarde de France Inter. Est-ce qu’on est partisan quand on énonce des faits et qu’on explique que le programme du RN fait l’impasse sur l’environnement ou l’éducation ? » Cette injonction à la neutralité est parfois vécue comme un frein et une manière de désarmer l’audiovisuel public dans son combat pour l’information face à l’empire médiatique de Vincent Bolloré, lequel n’a pas hésité pendant ces trois dernières semaines à s’affranchir des règles déontologiques pour faire campagne en faveur du RN.
Une fébrilité qui se traduit dans le traitement éditorial
« On respecte les règles sur les temps de parole avec le doigt sur la couture quand d’autres les violent allègrement, fulmine une voix de la radio publique. On passe d’ailleurs plus de temps à équilibrer qu’à faire des angles de décryptage sur les programmes. Notre mission de service public, c’est de nous porter en défense de la culture, des valeurs humanistes et de l’égalité entre tous. Or l’extrême droite a pour projet de s’en prendre à ces principes. »
Ainsi une forme de fébrilité a-t-elle pu s’observer dans les rédactions des médias publics ces dernières semaines. À France Info par exemple, où certaines propositions de sujets sur les impasses du programme du RN sont passées à la trappe, afin de ne pas entrer en opposition trop frontale avec le parti d’extrême droite. « On aurait pourtant pu mettre le paquet pour montrer ce que c’est l’extrême droite au pouvoir : on a des exemples dans des municipalités en France ou des pays européens », regrette une rubricarde de France Info.
Sur une autre antenne du service public, on a plutôt suggéré à des pigistes de recueillir des témoignages de votant·es RN issu·es de l’immigration, pour montrer que cela existe aussi. Dans un autre genre, des rédacteurs en chef ont même suggéré que le RN ne soit plus qualifié de parti d’extrême droite. « On voit bien que nos dirigeants sont perméables aux critiques qui décrivent l’audiovisuel public comme un repaire de gauchistes, constate une reporter de terrain à Radio France. L’affaire Meurice en est l’exemple. »
La crainte de voir le RN arriver au pouvoir inquiète d’autant plus les journalistes du service public de l’information que le parti a maintes fois répété qu’il comptait privatiser l’audiovisuel public. « On est dans un rapport très existentiel avec ce qui se passe, on risque potentiellement de disparaître, résume un journaliste de France Culture. C’est pour ça qu’on n’est pas très à l’aise de traiter le RN comme un parti lambda quand eux ne se privent pas pour nous attaquer. »
Une crainte qui s’est retranscrite dans les questions et relances des journalistes de la matinale de France Inter le mardi 2 juillet, quand ceux-ci ont interrogé Marine Le Pen sur son projet de privatisation de l’audiovisuel public. La discussion s’est même poursuivie après l’interview dans les couloirs de la station entre la députée d’extrême droite et le journaliste Yaël Goosz, à qui elle a assuré ne pas vouloir vendre France Inter à Vincent Bolloré, pour éviter d’être rappelée à l’ordre par Bruxelles au nom des règles européennes sur la concentration des médias. Elle a affirmé songer plutôt à un repreneur étranger.
Afin d’y voir plus clair et d’organiser la réplique en cas de prise du pouvoir par le RN, les sociétés de journalistes (SDJ) de Radio France et le SNJ-CGT ont convié les personnels des antennes publiques à une assemblée générale. À l’issue de celle-ci, les participant·es se sont mis·es d’accord pour formuler une demande de rendez-vous auprès de Sibyle Veil, PDG de Radio France, afin d’évoquer trois points. Le premier vise à obtenir une réaffirmation des principes humanistes et antiracistes par la présidence ; le deuxième consiste à exiger le soutien systématique de la direction envers tout personnel visé par des propos racistes ou à caractères discriminatoires. Enfin, les salarié·es de Radio France souhaitent aussi disposer d’un droit de veto sur la nomination des directeurs et directrices de l’information, « afin de se prémunir de ce qui est arrivé au Journal du dimanche l’été dernier ». (...)
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