[nolettrine]
Nous supposerons qu'il fallait lire :
je ne dépose ici qu'un misérable point
ou :
donnons à ce forum rien de plus que ce point
ou encore :
ne pouvant l'annuler, j'ai modifié mon post
NB : les chercheurs du GRAM ont montré qu'à partir du simple point on peut produire sinon une infinité d'alexandrins, du moins un très grand nombre. De même en nous inspirant de Cantor, à partir du vide nous en produirons une infinité. En premier lieu une abondance d'énoncés qualitatifs capables de signifier le vide absolu :
"tout ce que Laure Adler a dit d'intelligent"
ou :
"inventaire du savoir de Xavier Delaporte"
Puis, si l'on assimile le vide au Zéro, alors il existe une infinité de façons de considérer le Zéro comme un alexandrin sous forme d'énoncé quantitatif. Donnons un exemple : "153 moins 100, moins cinquante et moins trois" et pour les féministes de la rime, son pendant "153 moins 100, moins trois et moins cinquante". La suite des nombres étant infinie, il existe un nombre infini de soustractions ayant pour résultat zéro, et (ô splendeur) un sous-ensemble non moins infini dont l'énoncé donnera un alexandrin. Je ne poursuis pas la démonstration, mais à ce stade il est évident que tout point de l'espace contient une infinité d'alexandrins virtuels. Nous sommes cernés par l'alexandrin et entre deux alexandrins on peut encore en glisser un autre et même deux, et entre les deux encore un, et encore. Aucune raison de s'arrêter en chemin et croyez-moi ça va vous emmener loin. Cantor lui-même n'en est pas revenu, qui écrit à Stéphane Deligeorges dans sa fameuse lettre du 20 juin 1877 : "Je le vois mais je ne le crois pas". Pour Cantor ça s'est fini au cabanon du Dr Blanche. Deligeorges quant à lui jettera l'ancre dans une autre maison de fous.
100 ans plus tard la controverse rebondit au GRAM où un lecteur de Banesh Hoffman postule l'existence de l'Alexandrin de Planck, que l'on rencontre si l'on suit Etienne Klein jusqu'à la plus petite division possible de l'espace vide. La chose est connue depuis longtemps : je renvoie aux 'Papiers du GRAM' (Groupe de Recherche de l'Alexandrin Minimal), numéro à paraître prochainement aux Editions du Dr Blanche.
C'est un alexandrin dissimulé ??Krante11 a écrit:.
Nous supposerons qu'il fallait lire :
je ne dépose ici qu'un misérable point
ou :
donnons à ce forum rien de plus que ce point
ou encore :
ne pouvant l'annuler, j'ai modifié mon post
NB : les chercheurs du GRAM ont montré qu'à partir du simple point on peut produire sinon une infinité d'alexandrins, du moins un très grand nombre. De même en nous inspirant de Cantor, à partir du vide nous en produirons une infinité. En premier lieu une abondance d'énoncés qualitatifs capables de signifier le vide absolu :
"tout ce que Laure Adler a dit d'intelligent"
ou :
"inventaire du savoir de Xavier Delaporte"
Puis, si l'on assimile le vide au Zéro, alors il existe une infinité de façons de considérer le Zéro comme un alexandrin sous forme d'énoncé quantitatif. Donnons un exemple : "153 moins 100, moins cinquante et moins trois" et pour les féministes de la rime, son pendant "153 moins 100, moins trois et moins cinquante". La suite des nombres étant infinie, il existe un nombre infini de soustractions ayant pour résultat zéro, et (ô splendeur) un sous-ensemble non moins infini dont l'énoncé donnera un alexandrin. Je ne poursuis pas la démonstration, mais à ce stade il est évident que tout point de l'espace contient une infinité d'alexandrins virtuels. Nous sommes cernés par l'alexandrin et entre deux alexandrins on peut encore en glisser un autre et même deux, et entre les deux encore un, et encore. Aucune raison de s'arrêter en chemin et croyez-moi ça va vous emmener loin. Cantor lui-même n'en est pas revenu, qui écrit à Stéphane Deligeorges dans sa fameuse lettre du 20 juin 1877 : "Je le vois mais je ne le crois pas". Pour Cantor ça s'est fini au cabanon du Dr Blanche. Deligeorges quant à lui jettera l'ancre dans une autre maison de fous.
100 ans plus tard la controverse rebondit au GRAM où un lecteur de Banesh Hoffman postule l'existence de l'Alexandrin de Planck, que l'on rencontre si l'on suit Etienne Klein jusqu'à la plus petite division possible de l'espace vide. La chose est connue depuis longtemps : je renvoie aux 'Papiers du GRAM' (Groupe de Recherche de l'Alexandrin Minimal), numéro à paraître prochainement aux Editions du Dr Blanche.
Dernière édition par Nessie le Lun 19 Nov 2012, 14:06, édité 1 fois