Si les chemins de la connaissance passent à 5 numéros par semaine avec Adèle Van Reeth, alors que devient Philippe Petit ?
S'il disparait de la grille, je ne le regretterai pas. Des émissions à sens unique, où se défendent sans l'ombre d'une contradiction les thèses les plus douteuses. Des effets de manche un peu datés au service de théories qui ne le sont pas moins : psychanalyse, michelfoucaltisme et autres french-théorisacheunes. Mouais. Son émission du vendredi était plutôt un observatoire de la connerie.
On se demande si Adèle va les rendre un peu moins verbeux ses Chemins. Jusqu'ici, c'était toujours à la fois trop laborieux et trop fumeux pour mon goût. Et comme Martin Quénéhen va envahir de ses formules lourdingues les 10 dernières minutes, en remplacement de la seule partie qui m'avait semblé instructive (le journal de François Noodleman, intoxiqué oui mais richement varié) eh bien c'est sans regret que j'abandonne cette fois complètement la tranche de 10h.
Comme les années précédentes, un coup d'oeil distrait sur le thème de la semaine me donnera l'occasion d'un carottage ici et là, mais si le fromage ne s'affine toujours pas, il restera imbouffable, comme tant d'autres émissions qui ont été faites après les 37 premières années de ce France Culture qui fète ses 50 ans (dont 13 de gâtisme irrémédiable ?).
S'il disparait de la grille, je ne le regretterai pas. Des émissions à sens unique, où se défendent sans l'ombre d'une contradiction les thèses les plus douteuses. Des effets de manche un peu datés au service de théories qui ne le sont pas moins : psychanalyse, michelfoucaltisme et autres french-théorisacheunes. Mouais. Son émission du vendredi était plutôt un observatoire de la connerie.
On se demande si Adèle va les rendre un peu moins verbeux ses Chemins. Jusqu'ici, c'était toujours à la fois trop laborieux et trop fumeux pour mon goût. Et comme Martin Quénéhen va envahir de ses formules lourdingues les 10 dernières minutes, en remplacement de la seule partie qui m'avait semblé instructive (le journal de François Noodleman, intoxiqué oui mais richement varié) eh bien c'est sans regret que j'abandonne cette fois complètement la tranche de 10h.
Comme les années précédentes, un coup d'oeil distrait sur le thème de la semaine me donnera l'occasion d'un carottage ici et là, mais si le fromage ne s'affine toujours pas, il restera imbouffable, comme tant d'autres émissions qui ont été faites après les 37 premières années de ce France Culture qui fète ses 50 ans (dont 13 de gâtisme irrémédiable ?).