Oh oh qu'entends-je un peu avant midi ce jour ?
Belle idée : une fiction quotidienne de 10 minutes, en fin de matinée.
Belle surprise : en écoutant au vol, on reconnait tout de suite le style Fiction-France Culture
Belle déception : au bout d'une minute on comprend que c'est adapté d'une série télé : les Soprano.
Belle dégringolade : la désannonce par une voix immature, qui nous promet en prochain épisode Sex in the city.
Bilan : France Culture crève de s'aligner sur la télé, et à force d'en imiter les "trouvailles", fait crever tous ceux de ses auditeurs qui la fuient la télé.
Après la présentation en duo masculin-féminin (Broué-Gardette), après les interviews connement agressives et faussement impertinentes (Martel) imitées de Fogiel ou de la mère Ferrari, après le débat-quotidien-sur-sujet-de-sauciété-à-l'ordre-du-jour, voici le repompage des fictions télé dans le genre soap-décoincé-branchy-mauderne.
Aura-t-on un jour pitié de l'auditeur qui s'imagine que la culleture sert à enrichir l'esprit en le nourrissant pour de bon, et non à le gaver de produits standarts vite avalés, vite digérés, vite expulsés, quand ils ne sont pas tout de suite restitués dans un renvoi de dégout.
Belle idée : une fiction quotidienne de 10 minutes, en fin de matinée.
Belle surprise : en écoutant au vol, on reconnait tout de suite le style Fiction-France Culture
Belle déception : au bout d'une minute on comprend que c'est adapté d'une série télé : les Soprano.
Belle dégringolade : la désannonce par une voix immature, qui nous promet en prochain épisode Sex in the city.
Bilan : France Culture crève de s'aligner sur la télé, et à force d'en imiter les "trouvailles", fait crever tous ceux de ses auditeurs qui la fuient la télé.
Après la présentation en duo masculin-féminin (Broué-Gardette), après les interviews connement agressives et faussement impertinentes (Martel) imitées de Fogiel ou de la mère Ferrari, après le débat-quotidien-sur-sujet-de-sauciété-à-l'ordre-du-jour, voici le repompage des fictions télé dans le genre soap-décoincé-branchy-mauderne.
Aura-t-on un jour pitié de l'auditeur qui s'imagine que la culleture sert à enrichir l'esprit en le nourrissant pour de bon, et non à le gaver de produits standarts vite avalés, vite digérés, vite expulsés, quand ils ne sont pas tout de suite restitués dans un renvoi de dégout.