L'émission, Radio Libre, est diffusée le samedi après-midi de 15h30 à 17h.
Le générique de l'émission est une sorte de muzikette electro-beat djeun.
Le présentateur s'appelle Ali Baddou.
Nessie s'était attaqué cet été au défi de défendre (un peu) Mitch Onfray (aka la Monf'), je vais tenter de mon côté une ascension de cet autre pic qu'est la défense de Radio Libre.
Pas de Baddou, fidèle à lui-même, pas du parler, décontracté mais tonique comme un verre de vodka-orange. Pas de Radio Libre en général, que je confesse mal connaître, mais du Radio Libre du samedi 4 novembre, encore écoutable et podcastable à l'heure qu'il est (tout dépend plutôt de la date à laquelle on lit ce billet).
Car pendant cette heure et demie, étendue plus que confortable au regard des standards actuels de la grille, c'est Jean Malaurie qu'on entend (à bon entendeur...), qui raconte, et qui passionne. Ali Baddou a la bonne idée de le laisser parler, en longueur, n'intervient que peu, ne ponctue bêtement qu'avec une parcimonie qu'on ne lui connaissait pas. Et l'émission, peut-être la première du genre produite par l'ex-excité du matin, mérite l'enregistrement et la réécoute.
On la trouvera là, s'il est avant samedi prochain.
Le générique de l'émission est une sorte de muzikette electro-beat djeun.
Le présentateur s'appelle Ali Baddou.
Nessie s'était attaqué cet été au défi de défendre (un peu) Mitch Onfray (aka la Monf'), je vais tenter de mon côté une ascension de cet autre pic qu'est la défense de Radio Libre.
Pas de Baddou, fidèle à lui-même, pas du parler, décontracté mais tonique comme un verre de vodka-orange. Pas de Radio Libre en général, que je confesse mal connaître, mais du Radio Libre du samedi 4 novembre, encore écoutable et podcastable à l'heure qu'il est (tout dépend plutôt de la date à laquelle on lit ce billet).
Car pendant cette heure et demie, étendue plus que confortable au regard des standards actuels de la grille, c'est Jean Malaurie qu'on entend (à bon entendeur...), qui raconte, et qui passionne. Ali Baddou a la bonne idée de le laisser parler, en longueur, n'intervient que peu, ne ponctue bêtement qu'avec une parcimonie qu'on ne lui connaissait pas. Et l'émission, peut-être la première du genre produite par l'ex-excité du matin, mérite l'enregistrement et la réécoute.
On la trouvera là, s'il est avant samedi prochain.