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Curly 

Curly

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Toute une vie - Dim 26 Jan 2020, 13:11

Toute une vie
Oh la vache, on dirait du Lelouch*.
Présentation sensationnelle : « ...aujourd’hui nous ouvrons de nouvelles perspectives, et élargissons notre voyage biographique et documentaire à de grandes figures de la société civile. Entre découvertes, connaissances et émotions nous nous engageons sur la piste de toutes celles et ceux qui nous ont laissé une trace durable et inspirante.»

Aujourd’hui, Marcel Gotlib.
Disons tout de suite afin de cramer le suspense qu’il existe un bon plaisir de 1997 durable et inspirant. Et que l’entretien charcuté -il n’en reste presque rien- au début vient d’un Tribunal des Flagrants Délires de bonne facture, si l’on excepte la prestation de la remplaçante de l’avocat le plus bas d’Inter que je ne nommerai pas.

Maintenant, comment présenter le dessinateur en alignant les clichés dignes d’un magazine féminin ?
Tiens, une digression avant d’avoir la réponse. Pourquoi personne ne s’insurge contre les magazines féminins  qui cantonnent les intérêts des femmes à la mode, la couture, la cuisine, les recettes minceur et les petits potins ? Les quelques rares réactions demeurent bien timides. A quand un « Balance ta cochonne » contre Elle et le Figaro Madame ?
« Elle », on va y revenir dans quelques lignes.

Présentation de Gotlib, l’anacoluthe (on va dire que c’en est une pour être gentil) est offerte par la maison : « Aujourd’hui à l’heure du festival de la bande dessinée d’Angoulême, adepte de l’absurde et de l’humour noir il a créé des personnages très singuliers, du Gai Luron au professeur Burp en passant par Super Dupont. Marcel Gotlib, 1934-2016, c’est toute une vie d’auto-dérision et de déconnade » dit une voix nappée de synthé vaguement anxiogène, persuadée qu'elle présente « Enquête exclusive » sur M6, ce qui rend la fin de la phrase encore plus poilante.
Il existe une flopée d’intervenants possibles pour cette émission, qui ont bien connu Gotlib, qui ont travaillé avec lui (Léandri, Frémion, Brétecher, Mandryka etc.) pourtant, je vous livre la liste des participants, vous allez rire :
Alors à part Patrice Leconte, qui a dessiné à Pilote et réalisé son premier long métrage avec Gotlib, nous avons
« Olivier Bocquet, scénariste de bande dessinée ; Jul, dessinateur ; Pascal Ory, historien, spécialiste notamment de René Goscinny » 
et, je vous la garde pour la bonne bouche, « Catherine Robin, journaliste à Elle ».
Autant dire que les susmentionnés vont avant tout parler de Gotlib.
Non, c’est une blague, ils vont parler « de leur rapport à Gotlib », ce dont nous n'avons strictement rien à secouer.
Quoi ? Je suis de mauvaise foi ?
C’est vrai, je l’avoue, alors pour le prouver je vous laisse avec Madame Robin de « Elle » , de la pure déconnade :

«… à quel âge avez-vous lu et aimé Gotlib ?
- Bin en fait euh Gotlib j’l’ai pas découvereuh enfant euh parce que j’ai grandi dans uneuh famille qui était plutôt euh étiquetée à droite donc euh j’n’avais pas Pif Gadget à la maison on ne lisait pas l’Humanité et euh c’était plutôt Le Figaro et Les Triplés, voilà chacun (?) a l’enfance qu’il peut… et donc j’ai découvaireuh Gotlibeuh plus tardivement, j’dirais à la fin de l’adolescence vers 17/18 ans quanteuh j’ai fait connaissance avèkeuh quelqu’un qui est devenu une très bonne amie et qui elle lisait était une grande lectrice de l’Écho des Savaneuhs et donkeuh elle avait chez elle une collection, elle, elle était fan d’Edika et moi bin j’ai commencé à regarder avec elleuh enfin chez elle quand j’me retrouvais chez elleuh léééés planches de de Gotlibeuh et ensuiteuh bin j’ai j’ai découvert Les Dingodossiers et la Rubrique à Brac euuuh qui là sont devenus très viteuh des bibles installées sur euh mes bibliothèques successiveuhs et que je lis désormais euh euh religieusement à mes enfants qui eux-mêmes les lisent seuls, c’qui signifie quand même quelque choseuh euh, et c’qui est assez drôle finalement c’est que Marcel Gotlib il est d’venu une sorte de madeleine pour moi, alors même que je n’l’ai pas lu enfant, mais il y a quelque chose en lui et je pense que c’est parce que lui a su euh conserver une une grande part d’enfance en lui euh qui résonneuh en moi très très fort et et et et très régulièrement euh j’ai envie de me mettre sous une couvertureuh avec un thé des biscuits, les Dingodossiers et euh et être dans uneuh dans une espèce d’élan régressif comme ça alors même que je n’l'ai pas lu enfant. »


Je sens que vous n’êtes pas convaincu, alors je vous en remets une petite couche.
Remarque au préalable, Edika n’a jamais dessiné dans l’Écho des Savanes, mais c’est pas grave, nous pardonnons tout à la spécialiste BD de « Elle ».

« … vous pouvez Catherine Robin qualifier l’humour de Gotlib ?
- Gotlib c’est pas un un un en tout cas c’est pas à mes yeux pour c’que j’connais d’lui, parce que j’crois pas connaîtreuh tout, j’ai encore plein d’choses à découvrir, c’est pas un adepte du du gros gagueuh à la fin d’la pageuh euh tagada tsoin tsoin la la chuteuh va va tout dévoiler et va vous faire exploser d’rire. Non. Quand on prend une planche de Gotlibeuh, y a à l’intérieur même de cet’ planche des tas de petits détails menus, détails parfois écrits dans uneuh calligraphie typo... enfin une taille de de caractère de de lettrage toute petite et qui s’ra le nœud euh comique de la planche, c’qui rend la chose euh euh très intéressante du point de vue formel peut-être on r’viendra à la fin mais voilà c’est c’est ça aussi qui est puissant dans l’humour de de Gotlib c’est qu’ça il se donne pas facilement et après euh euh sur euh le type d’humoureuh de Gotlib bin euh tout ça beaucoup d’gens l’ont dit avant moi mais enfin bin ses références à l’humour anglo-saxon aux Mon aux Monty Pythooon euh à l’humour juif aussi donc euh emprunt toujours d’une certaine euh forme de de de à sse soubassement quelque chose de la tragédie aussi euh euh d’ailleurs euh en réfléchissant je me disais ah bin il il a quand même comme héros récurent cet Isaac Newton qui est quand même le père de la loi sur la gravité qui peut être entendu euh sous diverseuh enfin de diverses manières. Il a créé Isaac Newton enfin il le dit euh et il va en faire un personnage récurent qui se prend toujours euh (rire) qui est toujours euh toujours plus ou moins loin d’un pommier et qui va se prendreuh systématiquement une pomme sur la tête. Pas « Fiat lux » mais « Eurêka ». Et donc il reviendra euh très régulièrement dans la Rubrique à Braqueuh comme beaucoup d’autres de ses personnages euh comme la coccinelle euh et d’autres. »


Là c’est bon, vous avez compris que la qualité des intervenants n’est plus à prouver, que c’est du costaud, du blindé sur le plan de la forme comme du fond.
Quant à ceux qui avaient peut-être des choses trop intéressantes à raconter nous pouvons supposer que :
- ils ont pointé aux abonnés absents.
- la production ne connaît même pas leur existence.
En tout cas, Dieu merci ils n’étaient pas invités, ç'aurait été trop pointu pour nous, nous n'aurions rien compris.


Donc,
Le Bon plaisir - Marcel Gotlib (13/12/1997 et non 2009 comme annoncé à plusieurs reprises dans "Toute une vie") par Ruth Stégassy - Avec entre autres Claire Bretécher, Jean Solé, Patrice Leconte, Richard Gotainer, Daniel Goossens et Gotlib - Réalisation Josette Colin

et
Le Tribunal des Flagrants Délires de Claude Villers du 21/04/1981


* Oh la vache, c’est vraiment du Lelouch.

Curly 

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Formidable et beau - Dim 20 Mar 2022, 11:07

« Toute une vie », le « Une vie, une œuvre » nouvelle version. On garde la vie, on faite péter l’œuvre parce que sans ça c’est trop élitiste. Résultat, un nouveau titre qui balance entre la rubrique people et le film de Lelouch.
Hasard ? « Toute une vie » est vraiment un film de Lelouch. Sachant la haute popularité de ce cinéaste au sein de la culture franceculturienne, il y a fort à parier que le titre a été donné en ignorance de cause.
Le 19, rediff’ de « Une vie, une œuvre » du 13-05-17 sur Stanley Kubrick, « à l'occasion de l'anniversaire de la sortie du film Orange mécanique le 21 avril 1972 ».
Une bonne occasion, celle de rediffuser pour la quatrième fois une émission de 2017 dont les trois autres diffusions sont encore disponibles à l’écoute, et qui s'ajoutent aux nombreuses émissions consacrées au cinéaste qui ont fleuri de manière opportune ces dernières années (Scies de zoeuvres et des zauteurs, chemins de la filo…) le tout encore à dispo sur le site évidemment.
Dans trois ans, on passera aux cinquante ans de Barry Lyndon. Tiendrons-nous trois ans sans réentendre ce «Toute une vie » ?

L’occasion tombait du ciel, elle remplissait une heure avec une rediff de rediff' de rediff', puisque de plus en plus la grille en est farcie. La direction avait donné comme raison suffisante lors d’un rdv avec la médiatrice la crise covidienne, qui peuchère obligeait aux rediff’, parce que faire de la radio est un métier à risque qui expose au covid tout autant que les métiers de la santé par exemple.
Maintenant que y’a plus covid, y’a quoi donc qu’est-ce ? L’Ukraine ? Les élections ? L’arrivée du printemps ? Le changement d’heure la semaine prochaine ? Le petit dernier qui fait ses dents ?
Ou alors ce serait une manœuvre de derrière les fagots de profiter du covidodrome pour faire des économies ? Mais il faudrait aller beaucoup plus loin alors !
La rediffusion chaque semaine de la même « Suite dans les idées », des mêmes « Grandes tablinettes », des mêmes « Affaires cuculrelles » passerait totalement inaperçue tant chaque émission est une répétition de la précédente, mais pas avec le même invité. Encore que...

Revenons à nos moutons comme dirait Panurge, et avant de s’en débarrasser dans la flotte, revenons à « Toute une vie » sur Stanley Kubrick.

Avant d’en lire un extrait transcrit afin de vous éviter une écoute bien douloureuse, signalons avec un drapeau rouge que les trois intervenants de l’émission sont déjà un indicateur de la haute teneur d’icelle.
Nous avons dans le même bateau :
1- un sociologue, forcément
2- une actrice et romancière, nécessairement
3- un journaliste culturel spécialiste des séries tévé & des blockbusters, évidemment

Parmi les platitudes, lapalissades et généralités distinguons les découpages en rondelle d’archives dont la tévé est déjà friande dans ce type de documentaire. France Cu a récupéré le procédé parce qu’elle ne veut surtout pas faire autre chose que ce qui se fait ailleurs. Sans ça on tombe dans l’élitisme, faut pas déc’.

Écoutons juste la présentation de « Full Metal Jacket ». A côté de tels propos, même Wikipédia est élitiste.
Pour les SM, c'est à la trentième minute passée de vingt secondes.

« Ah oui… ‘Full Metal Jacket’ (silence, on reprend son souffle, c’est le temps de la réflexion)...Full Metal Jackeeeeeet  - donc ça veut dire ‘gilet pare-balles’ en français - donc ça tra... retrace un moment de la, guerre du Vietnaaaam mais alors l’image formidable c’est quand tous ces soldats américains se jeeeettent enfiiin dans l’escalier, je crois que c’est un escalier oui, et ils montent pour voireuh ces vietcongs  qui sont lààà et qui...et qui tirent sur eeeeux, et c’est une toute jeune fille de dix-sept dix-huit ans (reprise de souffle) et elle est là avec son fusil quoi c’est c’est elle qui les (sileeeence) retenait (pause) qui se battait contre eux, et là c’est, ça c’est peut-être (cet adverbe est tellement mal articulé en raison de l’émotion qui étreint, de jour comme de nuit, qu’on le devine plus qu’on ne l’entend) la plus belle image de Kubrick»
On demande ensuite si le cinéma de Kubrick est « un cinéma masculin ou… pas si simple »
Début de réponse : « C’est vrai il raconte les hommes... »

La nouvelle analyse de l’œuvre pour les cons, donc version France Cu : on résume une scène très brièvement & approximativement, et on ajoute en guise de commentaire que c’est formidable et beau.

J'oubliais : full metal jacket ne désigne pas un gilet pare-balles, mais des munitions militaires, de revêtement intégralement métallique. Il y est fait référence lorsque le personnage de Grosse Baleine (Vincent D'Onofrio) déclare à Guignol (Matthew Modine) avant de se suicider que son fusil est réellement chargé, avec des cartouches de "de 7,62 mm, full metal jacket".
(Info récupérée sur un site élitiste).
Non seulement France Cu laisse passer des âneries, mais en plus elle les rediffuse quatre fois pour que les auditrisséteurs aient leur dose de savoirs et de connaissances qui rentre bien de traviole comme il faut dans leur cerveau.

Philaunet 

Philaunet
Admin

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Arthur Conan Doyle (1859-1930) - Sam 25 Nov 2023, 23:32

On a essayé. On a supporté le rythme lent, les phrases sur-articulées de la présentatrice et la parole diluée des dix premières minutes et puis on a été finalement vaincu par la voix de jeune fille doublant Conan Doyle à 69 ans  (une appropriation de genre et d'âge ?) : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-18.11.2023-ITEMA_23555964-2023C3330E0189-21.mp3" debut="10:06" fin="12:30"]

Arthur Conan Doyle (1859-1930), entre la raison et les esprits le samedi 18 novembre 2023.

Il est possible de lire le descriptif, mais il est surtout recommandé de passer chez François Angelier pour L'étrange cas du docteur Conan Doyle : rencontre avec François Rivière [dimanche 29 octobre 2023] où l'on pressent maturité et savoir au lieu de l'affèterie et de la puérilité qui règnent dans l'émission ayant remplacé Une vie, une œuvre il y a plusieurs années.

Sinon, on peut encore écouter les interprétations historiques des aventures de Sherlock Holmes, quoiqu'un peu bâclées à mon avis, mais qui ont le mérite de ne jamais ennuyer. Par exemple The Reigate Squires First broadcast on the BBC Light Programme in December 1961.

Curly 

Curly

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Féminisme & mysticisme - Mer 02 Oct 2024, 17:11

Le duo gagnant de France Cu : féminisme & mysticisme.
Plein de ismes pour un délire new age completamente décomplexado.
D' "une vie une œuvre" la chaîne a fait péter l’œuvre, il ne reste plus que la life. L’œuvre, c'est vite un peu chiant, alors que la life, c'est souvent croustillant, miam miam.
Ce ne sont plus des œuvres, mais des icônes. Tu écoutes, tu admires, tu te prosternes.
Dimanmanche 29, Alice Coltrane, la femme de son mari.
Comme pour Clara Schumann & cie, la réhabilitation de compositeurs ou musiciens de seconde zone continue (Clara c'est la seconde, mais certains sont déjà passés dans la troisième), pour des raisons popo & litiques  et certainement pas musicales. Ces musiciens ne seraient pas des femmes, y prêterait-on une oreille plus attentive ?

Le titre : "jouer comme on prie". Alléluia.
Avec comme alibi la pianiste-harpiste-chamaniste femme de, une heure de promo pour du spiritueux le plus vaseux.
"... voici le destin d'Alice, enfant du gospel et pianiste de bebop, muse de John Coltrane puis harpiste d'avant-garde. Chamane et gourou. Tout cela successivement, et simultanément."
Alléluia.
Comme c'est une femme, appelons-la Alice Tout Court, sorority obliged.
" Certains n'ont vu en elle que l'épouse d'un célèbre jazzman, ou une pianiste de second rang : tant pis pour eux, car Alice fut une femme exceptionnelle, à la fois musicienne et figure spirituelle, à la vie autant musicale que méditative. »
Si l'on s'en tient à la musique seule, oui, elle fut une pianiste de second rang, mais si l'on prend en compte la « femme exceptionnelle, « la chamane », « la gouroute », oui, elle passe au premier sans conteste.
Alléluia.
« Cet épisode de Toute Une Vie propose le portrait subjectif de la vie inspirée et cabossée d'Alice Coltrane, ou aka Swamini Turiyasangitananda, son nom religieux. Une femme fascinante et charismatique, que Guillaume Loiret tutoie, comme Alice tutoyait le divin, pour imaginer avec elle une conversation intime, spirituelle et musicale. »
Nous allons donc plonger, en compagnie d'un autre alibi, celui de la subjectivité. La subjectivité permet tout, y compris de balancer une pleine heure de promo-chamanisme new age & cie.
La religion sur France Cu, y'en a partout, ça dégouline, ça bave, ça en fout partout. Les émissions religieuses du dimamanche mamate, à côté, ont l'air rationalistes. C'est dire.
Alléluia.

Pour en causer, un musicien français multi-invité de France Cu, et puis un « ancien adepte de l'ashram d'Alice Coltrane, dont il fut le chauffeur et un proche collaborateur ; professeur de Yoga et auteur d'un livre sur sa vie avec Alice. »
et puis encore la fille de, pour le côté people,  et puis encore, indispensable, une « plasticienne et réalisatrice » qui « travaille sur les identités afro-américaines, féminines en particulier, et l'afrofuturisme. » Cooool, de l'identitarisme. Chouette, un autre isme.
Mais surtout, n'oublions pas,
alléluia.

Extrait du « Dictionnaire du jazz », collection Bouquins. Article de Philippe Carles :
« [...] D'abord influencée par l'orthodoxie be-bop (Bud Powell), puis par McCoy Tyner, elle a concentré ensuite ses efforts sur certains traits, voire des éléments secondaires, de la musique de son mari ; les amples vagues [...] sont devenues de pompeux drapés sonores sans solutions de continuité et avec de moins en moins de variations d'intensité. D'où un fond sonore confus traversé d'effets indianisants qui n'a avec l'univers coltranien et la tradition raga que des rapports parfaitement superficiels. »

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Re: Toute une vie -

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