L'édition originale de "Paroles de Poilus - Lettres de la Grande Guerre édition intégrale", parue 2003 sous la responsabilité conjointe de France Bleu et de Tallandier, était alors une initiative de Jean-Pierre Guéno de Radio France entouré de nombreux intervenants spécialisés tant en matière radiophonique (France Bleu et Deutschlandfunk) qu'en matière historique (Ministère de la Défense, Historial de la Grande Guerre de Péronne).
Le livre a été repris sans illustration chez Librio, mais je conseille la version avec les photos et dessins qui, tout autant que le texte initial "Les saisons de l'âme" et les "florilèges", laissent le lecteur groggy.
France Bleu avait proposé en 2013 une page où l'on pouvait alors entendre une lecture de lettres choisies. Ecoutez : Lettres et paroles de Poilus. Les liens ne sont plus valides, mais l'on trouve des lectures sur d'autres sites.
Sur la page de France Bleu, on trouvera un lien vers le site 14-18 Mission Centenaire qui offre beaucoup d'informations et dont la page s'ouvre actuellement, on ne sait pourquoi, sur Le football des Poilus, un football de guerre où l'on peut lire la description d'une simple distraction de 1916 dans les termes de 2016 : "La pratique du football s'envisage donc ici, selon le 'principe responsabilité' d'Hans Jonas, comme une réponse à la vulnérabilité des soldats capable de leur fournir une situation de mieux-être." En d'autres termes, jouer au foot pour s'amuser et oublier...
Il semblerait que quelqu'un ait été payé pour écrire ceci : "L'analyse historique du football des Poilus réclame par ailleurs de prendre en compte la temporalité des combats. Son développement est en effet impacté par les différentes phases du conflit (guerre de mouvement, guerre de tranchées, guerre d'usure). Le football de guerre s'entend donc comme une pratique adaptée à la conjoncture des combats. Il est pratiqué dans un champ, sur une place ou dans la boue, à l'arrière de la ligne de front, en réserve ou au cantonnement. Le respect strict des règles, du temps de jeu ou de l'espace de la pratique n'est pas une priorité. Les Poilus sont davantage soucieux de créer un moment de camaraderie et de distraction, qu'une compétition sportive.".
"Impacté" semble ici, hélas, convenir à la situation... Comme dans le dramatique épisode relaté dans l'émission Father Browne's war photograph.
Le livre a été repris sans illustration chez Librio, mais je conseille la version avec les photos et dessins qui, tout autant que le texte initial "Les saisons de l'âme" et les "florilèges", laissent le lecteur groggy.
France Bleu avait proposé en 2013 une page où l'on pouvait alors entendre une lecture de lettres choisies. Ecoutez : Lettres et paroles de Poilus. Les liens ne sont plus valides, mais l'on trouve des lectures sur d'autres sites.
Sur la page de France Bleu, on trouvera un lien vers le site 14-18 Mission Centenaire qui offre beaucoup d'informations et dont la page s'ouvre actuellement, on ne sait pourquoi, sur Le football des Poilus, un football de guerre où l'on peut lire la description d'une simple distraction de 1916 dans les termes de 2016 : "La pratique du football s'envisage donc ici, selon le 'principe responsabilité' d'Hans Jonas, comme une réponse à la vulnérabilité des soldats capable de leur fournir une situation de mieux-être." En d'autres termes, jouer au foot pour s'amuser et oublier...
Il semblerait que quelqu'un ait été payé pour écrire ceci : "L'analyse historique du football des Poilus réclame par ailleurs de prendre en compte la temporalité des combats. Son développement est en effet impacté par les différentes phases du conflit (guerre de mouvement, guerre de tranchées, guerre d'usure). Le football de guerre s'entend donc comme une pratique adaptée à la conjoncture des combats. Il est pratiqué dans un champ, sur une place ou dans la boue, à l'arrière de la ligne de front, en réserve ou au cantonnement. Le respect strict des règles, du temps de jeu ou de l'espace de la pratique n'est pas une priorité. Les Poilus sont davantage soucieux de créer un moment de camaraderie et de distraction, qu'une compétition sportive.".
"Impacté" semble ici, hélas, convenir à la situation... Comme dans le dramatique épisode relaté dans l'émission Father Browne's war photograph.
Dernière édition par Philaunet le Sam 27 Juil 2019, 14:29, édité 1 fois