Ce vendredi 31 octobre, un peu avant 13h, interruption de 3 antennes de Radio France : violent incendie dans les étages supérieurs de la maison de la radio, depuis une zone en travaux.
.
« Nous étions en plein milieu du journal, et soudain on nous a demandé de tout arrêter et d'évacuer le studio, raconte Christine Moncla, journaliste à France Culture. Juste le temps de faire une annonce à l'antenne pour prévenir nos auditeurs et nous sommes descendus par les escaliers. » Les personnels de la Maison de la radio étaient cantonnés à l'extérieur dans une zone à l'opposé de la partie en feu.
Anyway il n'y aura certainement pas d'excuses pour l'atroce programme musical qui nous est offert en remplacement. Il n'y a donc rien d'autre à nous mettre dans ces conditions-là ? Une solution alternative serait de nous enquiller à la suite les chroniques de la semaine, séparées par une annonce "On est en panne c'est la merde voici de la chronique ça sera toujours mieux que de la musique de nazes".
Enfin en plus poli.
Quoique. La politesse est bien là mais de pure forme. Car dans la réalité des usages médiatiques, la radio d'Olivier Poivre d'Arvor chie sur ses auditeurs.On dirait bien que la technique a foiré. Pour la 345e fois cette année l'auditeur se contentera de l'explication qui n'en est pas une : l'excuse passe-partout du "problème technique".
Mais il n'y aura certainement pas d'excuses pour l'atroce programme musical qui nous est offert en remplacement. Il n'y a donc rien d'autre à donner aux auditeurs dans ces conditions-là ? Une solution alternative serait d'enquiller à la suite les chroniques de la semaine, séparées par une annonce "On est en panne c'est la merde voici de la chronique ça sera toujours mieux que de la musique de nazes".
Enfin en plus poli. Quoique. La politesse est bien là mais de pure forme. Car dans la réalité des usages médiatiques, la radio d'Olivier Poivre d'Arvor chie sur ses auditeurs.
.
« Nous étions en plein milieu du journal, et soudain on nous a demandé de tout arrêter et d'évacuer le studio, raconte Christine Moncla, journaliste à France Culture. Juste le temps de faire une annonce à l'antenne pour prévenir nos auditeurs et nous sommes descendus par les escaliers. » Les personnels de la Maison de la radio étaient cantonnés à l'extérieur dans une zone à l'opposé de la partie en feu.
Anyway il n'y aura certainement pas d'excuses pour l'atroce programme musical qui nous est offert en remplacement. Il n'y a donc rien d'autre à nous mettre dans ces conditions-là ? Une solution alternative serait de nous enquiller à la suite les chroniques de la semaine, séparées par une annonce "On est en panne c'est la merde voici de la chronique ça sera toujours mieux que de la musique de nazes".
Enfin en plus poli.
Quoique. La politesse est bien là mais de pure forme. Car dans la réalité des usages médiatiques, la radio d'Olivier Poivre d'Arvor chie sur ses auditeurs.On dirait bien que la technique a foiré. Pour la 345e fois cette année l'auditeur se contentera de l'explication qui n'en est pas une : l'excuse passe-partout du "problème technique".
Mais il n'y aura certainement pas d'excuses pour l'atroce programme musical qui nous est offert en remplacement. Il n'y a donc rien d'autre à donner aux auditeurs dans ces conditions-là ? Une solution alternative serait d'enquiller à la suite les chroniques de la semaine, séparées par une annonce "On est en panne c'est la merde voici de la chronique ça sera toujours mieux que de la musique de nazes".
Enfin en plus poli. Quoique. La politesse est bien là mais de pure forme. Car dans la réalité des usages médiatiques, la radio d'Olivier Poivre d'Arvor chie sur ses auditeurs.
Dernière édition par Nessie le Sam 24 Jan 2015, 11:17, édité 1 fois