À voix nue du 06 au 10 février 2012 : " Hélène Carrère d'Encausse, pensez-vous, Hélène Carrère d'Encausse, être régicide par vos ancêtres, Hélène Carrère d'Encausse ?"
Voilà, à peine caricaturée, la manière qu'a un certain Martin Quenehen (dont le ton désagréable rappelle souvent celui de l'interrogatoire) quand il pose une question à la ci-dessus nommée (on ne peut plus dire son nom tant Quenehen nous en a abreuvé).
Encore un gâchis sur France Culture (à dire sur le rythme des annonces auto-promotionnelles). Questions : le journaliste a-t-il reçu la consigne de prononcer le nom de l'invitée au moins deux fois par question de 10 secondes ? Si oui, pourquoi ? Un quelconque décideur pense-t-il que des auditeurs prennent l'antenne en cours à chaque minute ? Qu'ils ne peuvent attendre plus d'une à deux minutes avant de savoir qui parle du sujet ? Et qu'ils vont l'oublier si on ne le leur rabâche pas ?
Il serait intéressant de connaître le pourcentage d'écoute de ces émissions "de patrimoine" en téléchargement et non en direct devant le poste. Ceux qui écoutent en différé ont choisi l'émission pour l'invité (ou pour le sujet ou pour le producteur) et savent donc très bien qui raconte ses mémoires, inutile de leur répéter son nom jusqu'à l'écoeurement.
Procédé absurde et démotivant l'écoute. Encore un gâchis sur France Culture. "Jingle"
PS. Visionné Sandrine Treiner, pour analyse, dans la vidéo de présentation de l'émission "À voix nue". Les moulinets des bras et les haussements d'épaules font visiblement partie des consignes impératives données par le vidéaste. Artificiel et ridicule. La voix ou un texte de la coordinatrice suffisaient amplement. Mais voilà, on est à la radio... selon des iconolâtres. Argent, moyens matériels et temps sont gaspillés.
Voilà, à peine caricaturée, la manière qu'a un certain Martin Quenehen (dont le ton désagréable rappelle souvent celui de l'interrogatoire) quand il pose une question à la ci-dessus nommée (on ne peut plus dire son nom tant Quenehen nous en a abreuvé).
Encore un gâchis sur France Culture (à dire sur le rythme des annonces auto-promotionnelles). Questions : le journaliste a-t-il reçu la consigne de prononcer le nom de l'invitée au moins deux fois par question de 10 secondes ? Si oui, pourquoi ? Un quelconque décideur pense-t-il que des auditeurs prennent l'antenne en cours à chaque minute ? Qu'ils ne peuvent attendre plus d'une à deux minutes avant de savoir qui parle du sujet ? Et qu'ils vont l'oublier si on ne le leur rabâche pas ?
Il serait intéressant de connaître le pourcentage d'écoute de ces émissions "de patrimoine" en téléchargement et non en direct devant le poste. Ceux qui écoutent en différé ont choisi l'émission pour l'invité (ou pour le sujet ou pour le producteur) et savent donc très bien qui raconte ses mémoires, inutile de leur répéter son nom jusqu'à l'écoeurement.
Procédé absurde et démotivant l'écoute. Encore un gâchis sur France Culture. "Jingle"
PS. Visionné Sandrine Treiner, pour analyse, dans la vidéo de présentation de l'émission "À voix nue". Les moulinets des bras et les haussements d'épaules font visiblement partie des consignes impératives données par le vidéaste. Artificiel et ridicule. La voix ou un texte de la coordinatrice suffisaient amplement. Mais voilà, on est à la radio... selon des iconolâtres. Argent, moyens matériels et temps sont gaspillés.