Suite au précédent post, voici ce qu'on peut lire dans le dernier descriptif de l'émission Par les temps qui courent, « intitulée » (si l'on peut dire) : David Delaplace: "Il n’y a pas une histoire du Hip Hop il y en a plusieurs" (07 septembre 2018) :
- L'avènement progressif du rap comme l'une des musiques les plus écoutés en France fut une façon d'apparaître pour les enfants de l’immigration comme on dit, une façon d'exister dans l’espace médiatique à défaut peut être d'exister dans l’espace politique. (une langue remarquable)
- L’exposition de David Laplace Le visage du rap, accompagnés des textes d'Olivier Cachin et qui a lieu en ce moment à la Maison de la Radio, répond à un désir d'histoire de ce mouvement du rap (Le mouvement a un désir ? Ou bien sont-ce les acteurs de ce mouvement ?)
- J’ai rencontré des bouzillés de musique
Cette jeune femme écrit des livres paraît-il.
- L'avènement progressif du rap comme l'une des musiques les plus écoutés en France fut une façon d'apparaître pour les enfants de l’immigration comme on dit, une façon d'exister dans l’espace médiatique à défaut peut être d'exister dans l’espace politique. (une langue remarquable)
- L’exposition de David Laplace Le visage du rap, accompagnés des textes d'Olivier Cachin et qui a lieu en ce moment à la Maison de la Radio, répond à un désir d'histoire de ce mouvement du rap (Le mouvement a un désir ? Ou bien sont-ce les acteurs de ce mouvement ?)
- J’ai rencontré des bouzillés de musique
Cette jeune femme écrit des livres paraît-il.