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Les Matins de France Culture    Page 76 sur 100

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Fontaine 


751
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Le Collège de France - Mer 20 Fév 2019, 22:40

réf: La conclusion d'Aurélien B du mercredi 20 février 2019 pour fermer les matins de France Culture.

Le collège.


AB  a écrit et ensuite causé dans le poste vers 9 h00 du mat:Rien de plus précis que mes souvenirs de collège .
Avec la falaise du bac à son extrémité, le lycée a toujours échoué à atteindre une forme stable, on s’élevait lentement sur la face d’un trapèze pour mieux tomber d’un coup dans l’âge adulte 

Non, non et non c'était pas un trapèze ( volant) mais un triangle noir comme le pubis d'une brune.

Le collège, lui, rebute plutôt les philosophes, il est trop stable, trop fataliste pour eux. C’est le domaine privilégié des sociologues, ces jansénistes qui s’ignorent et qui auraient bien passé leur vie à regarder tourner l’épaisse liqueur du déterminisme social dans ce cloître idéal formé de quatre bâtiments paillerons disposés en carré .

L'épaisse liqueur spermatique dopée à l'amiante religieuse donnant les paillettes Pailleron.

La chose principale qu’on apprend au collège c’est le déterminisme social.

Nom de dieu de Bourdieu …

l’amour, ce sentiment qui nous passionnait tous, manquait un peu de substance.

L'amour cette chose étrange qui rentre par l’œil et qui ressort par le sexe sous forme de fines gouttelettes. (Dali) . Sperme again.

Lire Proust fut sur ce point une révélation : la jalousie était un sentiment plus puissant que l’amour.

C'est tellement con que j'en reste coit quoi coït cot cot codac comme disait le coq à l'âne.
Le coq est un exemple en amour, il a lu Ronsard.

apprendre à désescalader (faute) du (?) paradis de l’enfance.

Fixette sur la grimpette...

la maison de CJ dans GTA. 

Vous voulez dire la maison du facteur Cheval et sa jument verte ?

j’ai découvert l’existence de la liberté.

Vous l'aviez déjà fait avec la statue de Barentin.

Photo d'illustration de vos propos sur votre page de France Culture : Des collégiens• Crédits : arabianEye - Getty : et le numéro 23 c'est vous ?

Un conseil : pratiquez le Curlying, aneffet d'après Wikipédia manger des Curly augmente ta capacité à délirer entre potes. Les effets sont immédiats : dès les premières secondes, tu sens une aura ...

Scusez-moi je n'ai pas de conclusion. Les Matins de France Culture - Page 76 Pom-pom-girl

Curly 

Curly

752
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La Conclusion enfin adaptée au cinéma - Jeu 21 Fév 2019, 09:17

France Culture présente

                                                    Montmartre

                                            Une A.B.Conclusion (20-02-2019)

                                                Un film produit et réalisé par
                                                                                                        Stanley Cubique

Curly 

Curly

753
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Et si six scies scient six cyprès, six cent six scies scient six cent six cyprès ? - Jeu 21 Fév 2019, 16:34

Ce matin Popo le boss a la grosse patate, et il nous la lance sous forme de question fermée, sauf aux VIP, comme il en a le secret : Et si la solution, c’était Abdelaziz Bouteflika ?
Mais oui mon Dieu pourquoi personne n’y avait-il donc pensé, mais c’est évident.
Expliquons en trois secondes la tactique du gendarme Popo : et si à chaque fois qu’on a pas d’idée pour notre chronique, c'est à dire au moins une fois par jour uniquement en semaine,  on envisageait un truc que personne y a pensé car c’est totalement improbable et qu’on faisait croire que mais pourquoi pas finalement c’est pas si bête.
Alors que une fois bien réveillé l’auditeur se dit mais bon sang mais c’est complètement stupide.
Mais trop tard, Popo l’a casé et il peut se dire tagada chapeau pointu je t’ai eu, à demain pour de nouvelles aventures socio-machins.

Donc le président actuel a lui aussi, car Maître Pop’ n’en a pas le monopole, la patate et que ça commence à bien faire parce que c’est le BHV dans tout le pays que c’est pas possible mais quand même ça fait notre pain quotidien, qui ceci dit, ne se marie pas trop avec la patate.
Il nous faut aussi notre Bouteflika. Donc, va pour la force tranquille le retour. Votons François Mitterrand en 2022 : mais qu’il est drôle ! L'humour sur France Culture n'est pas de retour comme ça, discretos, non, c'est Attila qui franchit les Alpes, c'est la tornade blanche, plus rien repousse après, le sérieux : totalement dévasté.
C’est ça d’avoir la patate à 6h57 pour Master Popo.
On peut essayer un truc : au prochain sommet franco-algérien quand les deux présidents sont assis côte à côte Popo va crier d’un coup, car il sera là pour chapeauter tout ce mic mac, « Oh ! Un éléphant rose s’est accroché au lustre du grand salon ! Mon Dieu faites quelque chose ! »
Tout le monde regarde et hop on fait l’échange. Ni vu ni connu. Et Bouteflika devient président de la cinquième République Française. Vu les scores qu’il fait aux élections, on en a au moins pour cinquante ans, et à nous la stabilité bien stable.
Attention Professeur Popo, ça va être la dèche.

Mais non, en fait non, car l’édito de 6h57, juste avant le journal de Michel Droit, sera assuré par Philippe Caloni. Donc c’est bon.

Philaunet 

Philaunet
Admin

754
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Invités de la Matinale - Ven 22 Fév 2019, 09:21



Une autre Matinale : Perroquets et perruches


****************
Recommandation du jour : La parole, avec François Billetdoux et Alfred Tomatis [Le programme de nuit, îlot de culture (II)]

*****************
Rappel : Rubriques récapitulatives des contributions du 11 au 17 février 2019,  semaine 7.

Curly 

Curly

755
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Passions dans les flammes - Épisode 5 - Ven 22 Fév 2019, 16:06

A.B. Production présente

                        Passions dans les Flammes
                                            (Fire and Flame in the Black Forest of Passion)
                                                                                    fidèlement adapté d'une histoire vraie, "Le Collège"

                                                                                                Épisode 5 du 13/02/2019

Précédemment dans l'épisode 24528 de Passions dans les flammes : Brett a quitté Eileen pour tomber dans les bras de Brenda. Lorsqu’il la quitte il lui avoue qu’il ne peut pas rester avec elle car «  il se passe des choses passionnantes qui donnent envie de produire de l’analyse.» Entre temps, Josh est mort dévoré par un mammouth laineux lors d’un voyage dans le temps qui a mal tourné.

- Brett je ne te comprends plus depuis que je ne t’écoute plus.
- Eileen. Il n’y a rien à comprendre. Tu sais. Tu te rappelles de nos années au collège ? Eileen ?
- Oui. Et je sais que tu voulais en parler à Josh dans l’épisode précédent. Mais est-ce si important que cela alors que je souffre si fort dans ma douleur ?
- Je me rappelle. Eileen. En sixième comme on découvrait l’amour. C’était tout aussi fort que les leçons d’économie inversée.
- Nous ne connaissions rien à l’amour. Tout commençait alors. Comme lorsque grand-père a décidé de coter en bourse l’usine de vaches automatiques ondulées d’oncle Peter. Prends un whisky. Brett.
- Oui. Eileen.
- Oui. Je t’avais aidé alors à organiser un premier rendez-vous avec Delia. Tu l’avais aimée Brett. Mais cela ne te suffisait plus. Il fallait que tu en aimes plus. Et encore plus. Et toujours plus.
- Ne t’énerve pas Eileen. Tu ne sais pas ce que je sais. Je n’ai jamais réussi. Elles m’ont toute quittées lorsqu’elles ont compris.
- Compris quoi Brett ? Qu’elles étaient en réalité toutes folles de Scotty, ton meilleur ami ? Tu sais bien qu’il n’y a rien à comprendre. Tu ne les embrassais jamais, tu restais assis sur le canapé, captivé par Bloomberg Global News. Et tu sortais avec elles pour faire enrager Kenley, Billy ou Sherman.
- Tu deviens hystérique Eileen. Il faut que l’on tire un trait sur notre passé. Tu n’as pas le droit de dire ça à propos de Scotty. C’était et c’est toujours mon meilleur ami. Il a redressé l’entreprise du frère de Bob. Eileen.
- Tu séduisait mes meilleures amies uniquement pour racheter leurs actions Sedative Energy et rendre jaloux Kenley, Billy ou Sherman.
- Oui. « Séduisais » avec un « s ». Eileen. Verse-moi un whisky.
- Ne cherchent pas à détournait la conversation. Parce que cela t’arrange. Ton attitude insupportable était insupportable.
- Eileen. Je cherchais juste à me faire accepter. Je me sentais. Seul. Et déçu. Ces années étaient cruelles.
- Mais tu sais qu’il le fallait car c’était une nécessité essentielle. Brett.
- C’était le début de notre vie. Eileen. De notre vraie vie. Mes actions des usines de guanos équilatéraux commençaient tout juste à monter.
- Brett. Le monde ne tournait pas autour de ton guano équilatéral et tu devais le savoir car c’était important de le savoir. Tu as fait souffrir beaucoup de monde Brett à cause de ta cruauté envers les autres et tu n’es qu’un gr…
- Arrête Eileen tu ressasses toujours les mêmes choses et du coup je ne sais plus où j’en suis. C’est insupportable et douloureux. Mais tu sais qu’à cette époque il fallait que je tourne cette page afin que cette page soit tournée. Eileen. Définitivement.
- Tu ne peux gommer ton passé alors Brett que tu en es prisonnier. Prends un whisky. Brett.
- Oui. Tu te rappelles. Nous allions au collège dans la limousine de Jack, c’était magique. Eileen. Non tu as raison. Le passé est quelque part toujours présent dans le présent.
- Alors qu’il est, Brett, bien passé. La vie, c’est extraordinaire. Tu es injuste.
- Tu sais Eileen, j’ai retrouvé Sherman l’autre jour en amenant Brenda à la banque de son père pour l’héritage de Stanley.  Je me souviens Eileen, quand nous étions au collège, Sherman habitait loin de nous, loin de l’usine de mon oncle. Le domaine de Sherman me faisait peur. Il me fait frissonner quand j’y pense encore.
- Pourtant tu allais bien chez lui pour lire ses manuels de management.
- Oui. Mais son domaine ressemblait à celui des Forrester dans Amour, Gloire et Beauté. C’était horrible. Change de sujet Eileen, c’est très douloureux. Verse-moi un whisky. Eileen.
- Tu traînais toujours avec Sherman. C’était insupportable. Brett. Alors que père nous attendait pour faire un golf au Golf Club de Golf et pour boire quelques whiskys au Club Whisky Club, tu partais avec lui pour découvrir la réalité. Mais la réalité Brett, c’était nous.
- Tu sais Eileen. Voilà pourquoi je t’ai quitté pour Brenda. Tu t’emportes tout le temps. Je ne pouvais plus vivre comme ça.  Je vais te donner la raison de la cause de notre séparation. Tiens, prends un whisky. Eileen. Tu vas en avoir besoin.
- Merci. Brett. Beaucoup.
- Avec Sherman, un jour, c’était comme si c’était hier.
- Mais c’était. Brett. Hier.
- Oui. Passe-moi un whisky. Eileen. Avec Sherman nous étions allés voir les pauvres près du pont de Brooklyn.
- Mon Dieu quelle horreur. Brett. Ressers-moi un whisky.
- Un homme nous a parlé. Eileen.
- Encore un. Brett.
- Il nous a dit, tu sais c’est dur à admettre dans notre cœur. Eileen. D’aller nous faire voir ailleurs. Et c’est cette parole qui m’a incité. Eileen. A te dire à mon tour la même chose. Ma liberté, je l’ai choisie avec Brenda.
- Passe la bouteille. Brett.

A ne pas suivre dans Passions dans les flammes : Kenley, Billy et Sherman rachètent les actions de Doug pour pouvoir épouser Sharon. Josh, devenu mort-vivant, revient dans le présent  pour déclarer sa flamme à Eileen. Brenda et Brett retrouvent Sharon et tombent fous amoureux d’elle. Ils l’épousent.



Dernière édition par Curly le Lun 25 Fév 2019, 17:47, édité 1 fois

Curly 

Curly

756
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The Matinale of the Week of the End  - Sam 23 Fév 2019, 10:10

Le week of the end c’est le moment de décompresser, en famille ou sur France Culture, ou en famille sur France Culture mais c’est moins évident.
Toute la semaine, les neurones ont surchauffé dur dans les grillades de France Culture. Les neurones, on les emmitoufle dans une petite laine et on leur prépare un grog. Encore qu’il fasse plutôt printanier pour un mois de février. Mais non. Les neurones, quand ça fatigue, ça peut attraper la crève, c’est tout. Le chaud/froid, c’est mortel. Alors on anticipe.
En famille, alors, on s’écoute les envies du Week of the End. La présentatrice a plié la tablinette qui mouline ou un truc approchant je commence à tout mélanger mais il faut m’excuser c’est le week of the end.
Bandes annonces  prom… prescriptives de quatre minutes. Un rappeur aux vers riches sur tapis de cordes made in ascenseur nous dit que la France c’est beau et faut s’aimer. A écouter absolument. J’adhère à 60000 % et au diable si le texte est ce qu’il est c’est l’intention qui compte.
L’artiste a imaginé un week end super artistique dans un lieu super artistique. Et toute la brigade légère de la grillade franceculturienne s’y est associée alors bouche cousue les critiques négatives.
Prescription quand tu nous tiens. Et puis c’est à Paris, the center of the week of the end alors on ferme sa boîte à camembert, on met toute la famille dans le TGV Vintimille-Paris Gare of the Lyon et on se bouge pour arriver fissa avant the début of the Big Moment.

Mais attendez pépé mémé et les p’tits pious pious c’est pas fini zut, y a l'invité culture. On a rangé les sciences popos et tout le village des popos a été démonté pour the week of the end.
Une metteure en scène. Mais c’est bien ça. Enfin un peu de prom… prescription théâtre.
Mais il va pas falloir le rater le TGV des familles parce que là c’est the spectacle of the siècle jusqu’à la semaine prochaine : « quand une vie de théâtre se confond avec le théâtre de la vie ». Mais c’est totalement inédit of the week. Concept complètement fou.
Vite maman fais vite les valises faut pas le louper !
Écoute le poste, on entend « la plus talentueuse de sa génération, chef d’œuvre, une très belle réflexion sur le réel et la fiction, génie de la littérature, etc etc ... »
Ah zut y a un peu de réflexion. Tatie, fais réchauffer deux trois neurones pas trop fatigués, mets-les dans la valise de maman !

Ah non éteins pas le poste. Qu’est-ce qui se passe à 8h15 ? Mais y a des résidus de popos ! Catastrophe ! Un machin sur le référendum d'initiative citoyenne avec un popo. Y zont remonté un bout du chapiteau des popos !
Mais pas de souci. Pas la peine de faire réchauffer des neurones pour ça ; le popo du week of the end « a planché sur la question ». Donc il a déjà plein de réponses. Et puis y zan ont déjà tartiné tout plein partout dans la semaine. C'est juste une révision.
Mais faut pas nous la faire, c’est encore une mini tablinette qui mouline de la neuronade allégée.
Tant pis pour la rubrique cuisine spéciale Duras/potage poireaux pommes de terre. On l’écoutera en boucle en podcast à fond les manettes dans le TGV du week of the End.



Dernière édition par Curly le Lun 25 Fév 2019, 17:49, édité 1 fois

Curly 

Curly

757
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NNNNNNNNNNNNNNNNNNNN (Oui, pourquoi y en a-t-il autant ?) - Lun 25 Fév 2019, 15:18

Triste matinée.
En ce lundi 25 février, le Maître de la matinale des popos a fait une popose bien méritée, quoique après réflexion, totalement inexplicable car la semaine dernière il pétait du feu de Dieu, et je renvoie à son immortel billet où le Maître souhaite faire un échange entre notre président actuel et Abdelaziz Bouteflika que tous les français attendent de pieds durs. (C’est plus fort que « fermes »).
La tristesse s’abat sur l’auditeur abandonné.
Rabattons-nous sur ce qui reste. Les invités du mamatte alliaient avec brio étude socio-machin à base de sondage socio-truc et la prescription promotive pour un partenaire de Frantuture. La classe intersidérale. Les invités illustres avec ouverture sur circuit fermé étaient un type qui tient déjà boutique sur la même chaîne, la rédactrice en chef du partenaire prescripto-promo qui a déjà commencé la tournée des popottes promos-prescriptives assise à la tablinette qui mouline la semaine précédente, et, on le garde pour la fin, un authentique popo élevé en sciences popos et pas n’importe lequel, non, un des qui passent en boucle sur toutes télés-radios confondues. Et qui nous apprend des trucs dingues dans le genre je défonce à coup de bulldozer des portes ouvertes en faisant croire, car les popos sont des magiciens, que c’est d’une reflexionnité profonde et propre à convaincre l’auditeur de Frantuture qui dans l’ensemble est convaincu avant même d’avoir entendu le début du commencement de la première phrase du premier invité. On adhère tous à bloc.
Titre superbe : « Sommes-nous entrés dans le temps de la haine ? » Titre superbe car non jetable.
Exemple : « Au moment de l’Inquisition espagnole, sommes-nous entrés dans le temps de la haine ? »
Autre exemple : «Booba insulte Kaaris sur Amstramgram : sommes-nous entrés dans le temps de la haine ? »
Titre magique, titre éternel.

Passons donc à ce qui reste, à la Concluze avec de vrais morceaux d’envie de produire de l’analyse dedans.
Les gares désaffectées, avec des phrases de toutes beautés, notamment celle qui suit et que l’on nommera « phrase à aiguillages multiples » :
« Je me sens mal à l’aise quand j’emprunte une vélo-route installé dans une ligne de train désaffectée, j’ai toujours un vague sentiment d’usurpation — ces chemins creux et rectilignes ne sont pas faits pour moi, ni cette providentielle vélo-route qui me permit pourtant, après une crevaison et une averse, de me reprendre à la sortie d’Evreux, et de faire mentir la prophétie des habitués du café qui nous avaient prédit que nous n’arriverions jamais au Havre, ni cette longue ligne droite entre Neufchâtel-en-Bray et Dieppe qui descend sans danger jusqu’à la Manche, mais qui vient cruellement rappeler que la ligne la plus directe entre Paris et la mer est à jamais fermée, et que Dieppe n’est plus accessible en train qu’en opérant une correspondance dans la gare souterraine de Rouen, ni, enfin, cette ligne droite plus confidentielle entre Gometz la Ville et Limours en Essonne, dont le l’étrange rail en T,  comme une interminable memento mori ferroviaire, venait sans cesse me rappeler que c’était ici que l’aérotrain avait battu ses premiers records de vitesse, et que je n’étais pas à ma place. »
Cruauté de la ligne droite Neuchâtel-en-Bray/Dieppe. Que de haine, vraiment.

Et avis à ceux qui veulent rajouter des voies à cette phrase. Comme ça on pourra rouvrir des gares. Pensons à l’avenir de la France. Et bénissons ceux qui sont arrivés à la fin de la lecture de ce texte.

Curly 

Curly

758
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Un jeu ludique et divertissant, avec la Concluze du 26/02/19 - Mar 26 Fév 2019, 14:00

Le saviez-vous ?
Lorsqu’on clique amoureusement un peu partout sur la Concluze du Chef on tombe dans la page de l’ENS gorgée de conférences multiples et variées, qui sont tout ce que l'on veut sauf de la radio.
Serait-ce un message subliminal ?

Bon. La règle du jeu :
Voici quelques mots délicatement extraits de La Concluze du 26/02.
Il faut trouver le sujet abordé et attention, on ne regarde pas la réponse. Il y a bien quelques indices ...

Note – Pas toutouche à l’imparfait baroque du concluzonier.

« J’ai longtemps été libraire près de l’église Saint Médard dans le cinquième arrondissement
le jansénisme a connu ses ultimes soubresauts
le chaînon manquant
l’un des plus évidents chef-d’œuvre
Lego
géométriquement et matériellement
Je repensait à tout ça l’autre jour
la moins intuitive
impressionnant
étonnant
secrètement
quasiment
Rubik's Cube
plus merveilleux
Captain Toad, pépite architecturale oubliée de la Nintendo Wii U
des raisons plus sociologiques
une des plus charmantes utopies urbanistiques de l’ère moderne
le plus subtilement
les pavillons honnis de nos adolescences
piscines autoportantes
assez démocratique
rêve pavillonnaire
de plus fou et de plus raffiné
un lotissement pavillonnaire
une cafétéria à Disneyland
Dior
Twitter
une saine réaction
authentique
génie vernaculaire
mes maisons brioches
gilet jaune »

Et c'est parti !
Ajout : Attention, y a gros piège.



Dernière édition par Curly le Mar 26 Fév 2019, 14:51, édité 2 fois

Philaunet 

Philaunet
Admin

759
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Re: Les Matins de France Culture - Mar 26 Fév 2019, 14:41

Curly(https://regardfc.1fr1.net/t19p750-les-matins-de-france-culture#32401) a écrit: (...) La règle du jeu :
Voici quelques mots délicatement extraits de La Concluze du 26/02.
Il faut trouver le sujet abordé et attention, on ne regarde pas la réponse. Il y a bien quelques indices ...

Note – Pas toutouche à l’imparfait baroque du concluzonier. (...) Et c'est parti !
Je retiens les éléments ci-dessous et j'imagine que c'est une énième resucée de ses souvenirs d'ado de banlieue dont tout le monde se contrefout comme de sa première chemise.

« une des plus charmantes utopies urbanistiques de l’ère moderne
les pavillons honnis de nos adolescences
rêve pavillonnaire
un lotissement pavillonnaire
mes maisons brioches
»

Je ne regarde pas la solution.

Fontaine 

Fontaine

760
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La concluze c'est la qu'on cluze - Mer 27 Fév 2019, 08:46

Je ne veux pas mettre la philosophie face à la terreur mais le scepticisme est le désespoir du diable.
Il n'y a pas d'amour parfait et pardonner n'est pas une faiblesse comme vivre sa vie sans musique.Triste ou dépressif, turbulent ou hyperactif, le normal devient un pathologie comme ces psychopathes ayant des troubles de la reconnaissance des émotions.
Le scepticisme est le premier pas vers la connaissance et tout bonheur est une innocence.Cet enfant que j'étais n'est qu'un monstre fabriqué par les adultes avec leurs regrets mais il m'aide à comprendre l’empathie et même à l'éprouver comme un orgasme féminin par son fameux point G.
Est-ce donc nuire aux gens que de leur donner la liberté d'esprit dans ces réalités plurielles et illusion multiples?
L'autisme est une différence plus qu'une maladie, il n'est qu'à regarder comment se fait l'acquisition de langage chez le bébé bien avant la connexion des neurones de la lecture, les mots ayant le pouvoir d'illuminer la noirceur et cela dans toutes les langues sans faire l'éloge de la traduction.Ce n'est pas dans la bibliothèque de Claude Monet que l'on apprend à quoi sert le courage ni comment les neurosciences nous expliquent ce couple douleur/plaisir. Apprendre par nos succès et nos erreurs sans passer par la psychanalyse de demain nous aide à savoir ce que l'on a vraiment dans la tête  comme ce concept de soumission donné par l'exemple du patriarcat. Oui les neurosciences nous éclairent sur l'éducation et nous donnent les clefs de la conscience de notre corps, il suffit de s’inspirer de Diderot  pour comprendre cette quête du plaisir car stress et décision c'est pas bon..., le stress n'étant qu' une réponse normale à une situation perçue comme exigeante ou dangereuse.

Fin de la page 2  du renvoi donné par Monsignor Curly deux posts avant ( le déluge?)

C'était la conclusion de la conclusion par l'Orérien Bienrangé ancien élève de l'ENS créée en 1794. L’École Normale Supérieure est depuis plus de deux siècles, le foyer d’où sont sortis de grands mouvements intellectuels qui ont contribué à l’avancement des sciences et des arts. cheers

Curly 

Curly

761
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L'humeur de Maître Guillaume décryptée - Mer 27 Fév 2019, 15:02

L'humeur de Maître Guillaume enfin décryptée :

"Oui, il n’y a pas que le point Godwin dans la vie, le point au-delà duquel sur internet on va évoquer le nazisme, preuve que tout débat est impossible, il y a aussi le point sciences popos...
Car dès qu’il est question de sciences po sur Francetuture, c’est l’hystérie qui remplace la raison, plus personne n’a la tête froide à défaut de l’avoir ouverte. Et à l’occasion de cette popolémique déclenchée par l’apparition d'un popo de compétition partout sur Francetuture que le cirque Popo voulait mettre en vente, j’ai appris l’existence d’un popo, comme on dit, employé par Francepopo pour répondre à tous les messages d’insultes haineux ou simplificateurs que le cirque Popo a reçu au sujet de la mise en vente de ce popo , car que l’on soit favorable ou hostile à l’existence de ce popo, rien n’explique le torrent de haine que déclenche sur Francepopotuture l’apparition du terme « popo »… 
Et c’est pour cela que cette popolémique est aussi rude, parce que finalement aucun point de vue ne s’impopose, entre ceux qui pensent qu’il s’agit d’une manière de moderniser les popos, autrement dit d’en sortir un peu, et ceux qui considèrent au contraire qu’il s’agit d’introduire des popos dans la modernité, autrement dit de faire popo arrière, ou sciences popos arrière comme vous voudrez. 
Au sujet des popos chaque camp fourbit ses armes en permanence sur Francetuture, voilà pourquoi le point popo n’attend qu’un signe pour être franchi. Encore peut-on se féliciter que le débat n’ait pas été encore plus violent, par exemple si Francepopotuture avait proposé à la vente ce popo de compétition assorti d’un costume popo.
Ce popo est une sorte de conte moderne, même si c’est un conte qui déclenche la colère et l’hystérie, un conte moderne parce que pendant longtemps on a évoqué les popos de la modernité, et maintenant voici la modernité qui s’attaque aux popos. Chaque popo voit ainsi l’irruption d’une dose de modernité dans ses pratiques popocestrales, des petites popodiodes remplaçant les popobougies dans les amphis de sciences popos, de la fausse sociopopo à base de popolititruc remplaçant les sociopopos interdites dans la cuisine popo, des popos s'insinuant dans la tête des popos, prescription qui n’avait probablement pas été formulée à l’épopoque où la notion de popo est devenue coutumière dans une partie de Francepopotuture."

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Re: Les Matins de France Culture -

Les Matins de France Culture     Page 76 sur 100

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